Mon âme est un puzzle

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“Mon âme est un puzzle par delà le miroir

tiré du livre Le deuil des deux syllabes par Chloé Delaume.

Cette oeuvre d’art a été faite par François BOISROND.
Nous pouvons voir un visage asiatique, au dessus de celui-ci un paysage de campagne. Cela peut-être une pensée ou un espoir.
Nous pouvons voir tout en haut de l’oeuvre (au quatrième plan) une banderole de temps exemple lune, soleil, pluie, flocon, tonnerre…
Au troisième plan nous pouvons voir un champ avec un tracteur, une charrette de foin ainsi que des fourches. Au deuxième plan nous pouvons voir une maison, un puits, une haie, on imagine que ça peut-être un taureau et un cheval etc…
Le premier plan est un visage plutôt asiatique.
On pourrait penser que l’oeuvre est sous forme de puzzle en premier le ciel, le champ, la maison et son contour, puis le visage.
Nous pouvons voir un rapprochement entre ces deux oeuvres, comme la personne dans l’oeuvre de BOIROND a l’air de penser, réfléchir, se remémorer des souvenirs ou encore recomposer son passé et que la citation de Chloé Delaume fait référence à l’âme,le physique et au puzzle donc la reconstitution comme dans l’oeuvre de BOISROND.
Fanny et Sofia

Les arrosoirs ont rouillé

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On a la saison qu’on mérite
Même les arrosoirs ont rouillé”

d’après Perceptions de Chloé Delaume

Ce tableau représente un visage dans lequel on peut lire sa pensée. Ces pensées symbolisent la campagne, la nature, le ciel…
Il y a des couleurs vives ce qui nous donne de la joie en regardant le tableau.
Le personnage a les yeux bridés ce qui pourrait nous faire penser qu’il est d’origine asiatique, on dirait que au dessus de sa tête il a un chapeau.
Au-dessus de sa tête il y a une maison entourée d’animaux avec des arbres qui séparent la partie habitation de la partie des champs. On pourrait croire que c’est un enfant qui a dessiné le tableau.
On pense que la phrase de Chloé Delaume représente bien le tableau car sur le tableau il y a des périodes de saisons, et que cette phrase représente bien cela. La deuxième phrase fait penser à la mauvaise saison que peuvent avoir les agriculteurs, celle de la pluie.

Romane et Rémi

C’est quoi votre théorie ?

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C’EST QUOI VOTRE THÉORIE ?
“C’est quoi votre théorie ? Qu’on a pris quinze timbrés au hasard pour les enfermer dans une grande boîte après y avoir mis une montagne, des collines, des hectares de forêt, des points d’eau, une rivière … »

Extrait de“Transhumances” de Chloé Delaume

On voit un visage au premier plan qui nous laisse penser qu’il s’agit d’un asiatique. Ce dernier est enfermé dans son passé ou dans ses rêves car le tableau est entouré de traits reliés par des croix qui laissent penser que le personnage est enfermé.
Au second plan, au dessus de la tête du personnage, on voit une maison, un arbre, des animaux, un banc et un puits et tout ça sur un fond rouge. Derrière le fond rouge il y a une haie en vert qui peut être les cheveux du personnages. Et derrière la haie, il y a des champs en jaune qui, par leur direction laissent penser que c’est les rayons du soleil.
En arrière plan, il y a tout les temps possible représentés : la nuit par la lune, la pluie et l’orage par le mauvais temps et le soleil par le beau temps.
Dans l’extrait du livre « Transhumances », les personnages principaux sont enfermés dans une grande boîte, dans le tableau, on voit apparaître une limite ce qui enferme la tête du personnage en son centre. Et vu que le tableau reflète la campagne, donc des collines, des forêts, des points d’eau …. L’extrait est tout aussi bien choisi car dans le livre tous les éléments naturels existent…

Elise et Clément

Je m’appelle Chloé Delaume. Je suis un personnage de fiction

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JE M’APPELLE CHLOÉ DELAUME. JE SUIS UN PERSONNAGE DE FICTION.
“ Je m’appelle Chloé Delaume. Je suis un personnage de fiction. Livre et vie s’entremêlent, mon Moi en trois parcelles, auteur, narratrice, héroïne. Je suis d’une trinité forcée de s’incarner, sous peine d’être expulsée par n’importe quel autrui. A cet instant j’affirme : j’écris ce que j’ai vu, ce qui est, ce qui doit arriver ensuite. J’écris et je m’écris, car je suis l’héroïne. Ainsi sera le pacte qui me lie avec l’ange tout autant qu’avec vous.”

Extrait d’une femme avec personne dedans de Chloé Delaume

L’oeuvre “ Penser à la campagne” de François Boisrond représente un visage où au-dessus se trouve un paysage campagnard avec un champs, un jardin et une maison. On peut voir un ciel au-dessus de la tête constitué d’un soleil, d’une lune et différents phénomènes météorologiques.
Ce paysage est encerclé de croix et de traits de craies. Le visage, lui, est représenté avec de gros traits noirs. Dans le jardin de couleur rouge se trouve différents petits dessins enfantins qui nous font penser à des dessins préhistoriques. Le champs représenté en jaune avec des raies bleus ( sûrement des lignes de terre) nous fait penser aux rayons du Soleil.
Le visage de l’homme à un air naïf, il semble penser ou rêver de sa vie. Sa pensée représente le paysage au-dessus de lui. Elle semble flou, en effet il ne pense pas aux petits détails tels que la météo, le moment de la journée…
Les couleurs sont primaires et les traits de l’oeuvre sont simples ce qui nous fait penser à un dessin enfantin.
Les contours du dessin sont indiqués par des croix et des traits en intervalles ce qui nous laisse penser qu’il est dans son monde.
Les passages en gras dans la phrase de Chloé Delaume nous font penser à ce tableau comme mon Moi en trois parcelles qui pourrait représenter les trois parties dans le tableau avec une spécificité de Chloé Delaume dans chacune de ces parties. De plus, lorsqu’elle dit“ j’écris ce que j’ai vu, ce qui est ” elle peut aussi faire référence à ce tableau, ce serait peut être un endroit qu’elle a vu bien que ce ne soit pas elle qui l’ai peint !
Elsa

Plutôt qu’un poste restant

     Bonjour,aujourd’hui je vais vous parler du livre Petites natures mortes au travail écrit par Yves Pages,écrivain français né en 1963 à Paris.Ce livre est composé de vingt-trois nouvelles plus ou moins longues et c’est l’ histoire Pluto que rien qui a attiré mon attention.

Tout d’abord je choisis de vous parler de cette histoire car j ai particulièrement aimé le contexte. Cela  m’a beaucoup plu, je l’ai même trouvé plutôt comique de premier abord,un homme qui raconte son travail de mascotte à Dysneyland semble comique et amusant mais cette histoire  recèle une réflexion.En effet les conditions de travail de ce pauvre homme sont déplorables : il n’a pas droit à la parole ( dans mon contrat de travail […]ils ont acheté mon silence ), il a très chaud ( quand le soleil tape fort l’après-midi,c’est pire qu’un sauna à l’intérieur ) et il n’a qu’ une pause toutes les demi-heures.En montrant toutes les difficultés qu’endure ce pauvre employé, Pagès semble dénoncer ces camps de travail : maintenant que les camps de travail sont ouvert au public, les comédiens domestiques doivent suer sous leur seconde peau et se taire jusqu’à faire disparaître en eux la trace obscène du labeur […]si tu veux abolir le prolétariat, donne-le en spectacle.

Au commencement était l’adverbe

  • au début c’est normal les personnages sont dans un bar
  • ensuite on découvre un personnage (Héloïse) mais c’est les autres personnage qui en parle,  elle ne parle pas
  • plus loin on apprend qu’elle est morte
  • les personnage sont coincés au premier chapitre d’un livre,  ils disent que personne ne les lit
  • ça parait bizarre mais il me tarde de connaitre la suite et voir ce qui se passe
  • le personnage de Charlie est intrigant,

Le titre « Au commencement était l’adverbe » est tiré d’une phrase biblique  » au commencement était le verbe » ce qui signifie la parole.

BOYER Malaurie et AMAT Lucie

Des Transhumances particulières

arton27-49255Transhumances est un livre original et très spécial pour son histoire. La fin de l’histoire est peu attendue car aucun lecteur ne s’attendait à ce que ça soit une émission de télé réalité. Les personnages étant tous des malades internés dans un hôpital psychiatrique, cela rend cette histoire à la fois étrange et marrante car plusieurs groupes se forment avec différentes pathologies et essayent de survivre pendant huit semaines.

Dans le groupe de patients que nous suivons tout au long du livre, on peut avoir l’impression que c’est chacun pour soi car lorsqu’un des malades meurt,  le groupe l’abandonne ou même le mange car ils n’ont plus de vivres.

Il y a aussi un schizophrène, dont deux chapitres sont consacrés à sa vie, du moins, ce sont des passages de sa vie que nous voyons dans sa tête. Ce qui rend encore  ce livre plus intriguant. Mais à la fin, ce personnage meurt brûlé à vif dans sa cabane.

Elise Lassery et Laura Pomies

Premières impressions face à une Cendrillon amputée

Unknown-1Narcisse et ses aiguilles parle d’une jeune fille, Chloé, elle adore les chaussures de princesses, escarpins, ballerines… Seulement Chloé est atteinte de la Gangrene, qui est une maladie  incurable. Elle menace son organisme, selon elle, seul l’amour pouvait la soigner malgré la tumeur qui restera à vie.
Chloé se compare à une princesse, La belle au bois dormant, Cendrillon.

Karim Biegel et Fanny  Pimprenelle

Le cri du sablier

serveimageLes livres de Chloé Delaume sont différents des livres qu’on peut lire d’habitude

« Il lâcha aphasie comme on clame rhume des foins pour rassurer avril de ses éternuements. »

Mais on comprend qu’elle est triste, traumatisée par son drame familial et quand on continue à lire on s’habitue vite et ça devient intéressant.

Le titre pourrait faire référence, aux sequelles que le temps a laissé.

FRINDI Nouhayla, FUMADELLES Rémy