L’homme aux masques

Résultat de recherche d'images pour "au revoir la haut"

 

Au revoir là-haut est un film d’Albert Dupontel sorti le 25 octobre 2017. C’est un film d’aventure épique, pour les amateurs de film policier ou de drame je vous conseils ce film. Albert Dupontel quitte ses études de médecine pour suivre des cours de théâtre, il sera d’abord humoriste puis deviendra acteur, réalisateur et scénariste. Avant au revoir là-haut il réalisera 40 autres films qui passera au cinéma mais celui restera un pari très risqué pour réaliser les combats de la première Guerre mondiale qui se passera dans les tranchées et qui sera les scènes les plus impressionnantes. 

C’est l’histoire de deux poilus après la guerre, dont l’un totalement défiguré à cause d’une dernière offensive inutile, qui va se fabriquer des masques pour cacher sa blessure. Il s’appelle Edouard Péricourt, c’est un dessinateur de génie. Son ami,  Albert Maillard, est lui comptable. Ensemble ils vont monter une arnaque à Paris pour se venger.

Albert Dupontel a réussi à rendre des scènes très émouvantes. Il se donne à cœur joie de pour dénoncer les ravages du civisme et de l’imprudence et l’immoralité des puissants comme on peut le voir quand Edouard et Albert sont dans un hôtel de luxe avec des personnes riches comme invitées et se moquent des personnes qui ont déclenché la guerre, qui ont aimé la faire, pour en avoir profiter.

Bande annonce de l’adaptation cinématographique réalisée par Albert Dupontel en 2017.

Pour ma part j’ai trouvé ce film magnifique, on pourrait croire que les scènes ont vraiment été filmées fin 1918. Cela nous semble tellement réel. En plus des images magnifiques que nous donne le film il se passe une histoire touchante avec une belle amitié mais aussi l’histoire de la fin de la guerre, le retour des soldats.  Cela nous montre aussi comment Edouard et Albert se sont débrouillés sans travail, sans argent, juste avec  un toit, une feuille, un papier et beaucoup de cran. La seule chose que je n’ai pas vraiment appréciée est la scène d’Edouard à l’hôpital lorsqu’il découvre son visage sans son bandages. Cette scène est touchante et en même temps on peut être surpris et choquer de sa blessure. 

Camille, Dekeyser, 1ES2

 

 

 

Ne pas oublier

Résultat de recherche d'images pour "homme triste" Ce que j’appelle oubli  est un roman inspiré d’un fait divers qui s’est passé à Lyon en 2009.

Un SDF qui a soif décide de boire une bière dans un supermarché mais il n’a pas un sous en poche. Il se fait remarquer par 4 vigiles qui l’emmènent de force, non pas dans leur bureau, mais au fond du magasin. Il sait très bien ce qui va se passer. Bloqué devant un mur où sont stockées les boites de conserves, il se fait tabasser à mort et succombera sous les coups. La suite de l’histoire est centrée sur le narrateur, son frère, qui nous donne des explications.

L’objectif de cette œuvre est de comprendre le comportement de ces hommes. Pourquoi ont-ils fait une chose aussi ignoble? Le point de vue de l’auteur est neutre, c’est au lecteur de se faire un avis sur cette histoire tragique.

Personnellement j’ai aimé cette œuvre qui nous pousse à une réflexion personnelle. L’histoire est bien structurée, bien que parfois longue sur certaines explications, qui sont néanmoins intéressantes, permettent de comprendre et poussent à la réflexion.

Pour conclure, ce livre est une œuvre que je vous conseille de lire pour comprendre ce que je considère comme une manifestation de la bêtise humaine. J’ai aimé le lire même si certains passages peuvent nous sembler longs, mais ils apportent quelque chose de constructif.

 

Mauvignier, Laurent. Ce que j’appelle oubli. Minuit, 01-12-2015. 61 p.
Résultat de recherche d'images pour "4 étoiles sur 5"
Thomas LEROY, 1ES2

Un masque de fantôme

Cette fois ci, ma critique se porte sur le film Au revoir là-haut dont le réalisateur est Albert Dupontel. Ce film, qui sorti en France en 2017, est une adaptation du célèbre roman éponyme de Pierre Lemaitre. C’est grâce à cette adaptation qu’Albert Dupontel remporta 5 césars, notamment le césar de la meilleure adaptation et celui du meilleur réalisateur. Au revoir là-haut est un film sur le thème de la guerre où l’on suit principalement  l’histoire de trois personnages  après la Première Guerre mondiale :Albert Maillard, Edouard Péricourt et celle du malveillant Henri-d’Aulnay Pradelle.

Dans ce film, nous suivons donc l’histoire de ces trois hommes et la façon dont leur vie continue après la guerre, surtout pour le pauvre Edouard. Pour lui, comment faire pour reprendre une vie normale en étant devenu une gueule cassé ? Comment et où vivre quand on fait croire à sa famille que l’on est mort au front?  Malgré la difficulté Edouard ne laissera pas tout tomber. Possédant un immense talent pour le dessin, il profite de son don pour cacher son visage à l’aide de masques qu’il fabrique lui-même. Albert, qui restera au côté de son ami Edouard, avec l’aide de Louise, jeune orpheline qu’ils ont rencontré, décideront de se venger de l’Etat qui les considère comme des moins que rien bien  qu’ils aient servis pendant le conflit. Le plan est simple : l’Etat cherchant une personne pouvant leur construire un monument aux morts, Edouard présentera alors ses  dessins, sous un faux nom, et encaissera alors l’argent sans jamais rien envoyé en retour.

Pourtant pas très fan des films de guerre, je trouve l’adaptation d’Albert Dupontel vraiment belle. Edouard est un personnage très touchant, ne parlant déjà plus à sa famille, il a tout perdu dans cette bataille en voulant seulement sauver son ami. Ses masques qu’il fabrique son vraiment très jolis et son  talent est incroyable. Le personnage d’Albert est lui aussi génial. Le voir perdre son travail et sa fiancée nous fait de la peine. Il a toujours été là pour aider son ami Edouard et il est le premier à se rendre compte de qui est vraiment Pradelle. La lutte entre ces deux personnages nous pousse alors à nous demander : est-ce que l’un des deux va réussir à tuer l’autre? La fin qui nous ramène alors au début du film est vraiment incroyable car c’est un dénouement auquel on ne s’attend pas du tout ! Ce que je trouve dommage dans ce film et que l’on voit Edouard arnaquer une seule personne et je trouve assez compliqué le lien qui unit l’histoire de la famille d’Edouard à celle de Pradelle. En voyant les scènes dans la maison familiale des Péricourt, j’étais  un peu perdue.

Mais Au revoir là-haut est un très beau film que je vous conseille d’aller voir. Il est touchant et suivre l’histoire d’Edouard et d’Albert est très passionnant, on entre facilement dans le récit. On peut se poser beaucoup de questions sur le film et le seul moyen d’avoir des réponses et de le voir en entier.

 

Bande annonce du film Au revoir là-haut

Source : https://www.youtube.com/watch?v=fw0h4PZ3zRY

Joyce Hoffmann Debomy, 1ère ES2

 

 

Des relations malsaines

Myriam est mère au foyer avec deux enfants. Malgré l’avis de son mari elle veut reprendre son travail. Ils recherchent alors une nounou, ils sont très exigeants. Ils engagent Louise qui est très vite adoptée par la famille et gagne l’affection des enfants. Mais cela tourne au drame !

Le roman fait une description précise des personnages et montre la société actuelle, avec ses préjugés de classe sociale ou de culture, l’importance de l’argent et de l’éducation. Il dénonce notre société qui vit sur les préjugés. Il y a du suspense dès le début du livre, « le bébé est mort » ! On se demande pourquoi l’auteur a écrite cette phrase au tout début du livre car dans la suite tout a l’air de bien se dérouler. En effet, on découvre une nounou très attentionnée envers les enfants bien qu’elle soit très présente – trop? – dans la vie de cette famille. 

D’une part, la phrase dans l’incipit du roman « le bébé est mort » donne envie de lire le livre, on a envie de savoir la suite et ce qui a bien pu arriver. Le livre parle de notre société d’aujourd’hui, le lecteur s’identifie donc bien dans le roman car c’est ce qui se passe réellement dans notre entourage. Le récit montre également que faire entrer une personne dans sa vie doit être bien réfléchi et que surtout il ne faut pas lui donner trop de liberté car elle pourrait détruire certaines choses… D’autre part, le roman donne tellement de détails sur la famille et la nounou que certains passages semblent longs et ennuyant. Ce livre tient parfois, selon moi, des propos trop « directs », il utilise des termes parfois racistes comme par exemple lorsque le couple dit ne pas vouloir une « nounou maghrébine » car elle ferait apprendre de mauvaises choses à leurs enfants. L’incipit du livre est accrocheur, il crée du suspense, on a envie de découvrir la fin. Mais cette fin n’est pas comme on l’attendait, on ne comprend pas trop si les enfants sont vraiment disparus ou non et cela est décevant car on s’attend à un énorme rebondissement.

J’ai aimé ce livre, j’aime la réalité des choses évoqué dans ce roman où les gens ne se focalisent que sur l’apparence.  Même si je suis un peu déçue par le dénouement de l’intrigue qui avait l’air si passionnant au début du livre, je vous recommande ce roman.

Notons que Chanson Douce a obtenu le Prix Goncourt et a également remporté en 2017 le Grand Prix des Lectrices de Elle.

Slimani, LeïlaChanson douce. Gallimard, 01-05-2018. 244 p.

 

 

Mallaury Briois, 1ES2

 

Une maladie, un combat

C’est avec émotion que je vais vous présenter Ma mère, le crabe et moi, roman de Anne Percin également auteur de Comment (bien) rater ses vacances. Ce livre montre le combat d’une mère contre la maladie, chose qui malheureusement peut arriver à n’importe qui. Mais comment sa fille Tania, jeune collégienne, va-t-elle le vivre?

Tania n’est pas une fille comme les autres: timide, innocente mais pourtant fan de loups garous ensanglantés et autres mythes. Elle vit avec sa mère une existence paisible. Mais tout va changer lorsqu’elle va découvrir sur l’historique de sa mère les mots « sein » et « cancer ». Tania va alors nous raconter sa vie depuis ce jour.

Ce roman nous montre qu’il ne faut jamais perdre espoir et toujours aller de l’avant. C’est une très belle leçon de vie, comme nous le dit  Tania en parlant de sa mère comme « un exemple d’optimisme » d’un « modèle de positive-attitude » et d’une winneuse ». Voir le parcours de cette mère malade à travers les yeux de sa fille permet ainsi aux lecteurs de se mettre à sa place. Réagirions-nous tous de la même façon si nous étions à sa place? Dans ce genre de situation il ne faut jamais baisser les bras et garder la tête haute. Avoir une maladie n’est pas une honte, on n’en devient pas contagieux pour autant. Voilà ce que nous apprends le livre !

Ma mère, le crabe et moi est un live très touchant, à travers ce combat nous pouvons suivre l’évolution de Tania qui a gagné en maturité. Le vocabulaire employé par Anne Percin n’est pas compliqué et permet ainsi  aux lecteurs de comprendre le livre sans aucune difficulté et donc de mieux le vivre. Cependant la fin m’a laissée sur ma faim puisqu’en lisant les dernières lignes je m’attendais à une suite et non à une fin assez brutale, ce qui casse un peu le livre. On observe que le personnage de Tania  à très vite grandit sans que l’on s’y attend, notamment avec sa relation avec les garçons nous donnant l’impression d’avoir raté des passages du livre.  

Ce livre est donc une très bonne lecture avec des traits d’humour et l’on s’attache à Tania et sa mère ainsi que leur combat qu’elles vivent ensemble et que nous avons l’impression de vivre avec elles. Je recommande donc ce roman, qui peut être encore plus touchant si on a connu – de près ou de loin – cette situation, et qui peut redonner de l’espoir.

Percin, Anne. Ma mère, le crabe et moi. Éditions du Rouergue, 01-09-2015. 126 p

 

Résultat de recherche d'images pour "ma mère le crabe et moi"

http://www.cancerdusein.org/

Blog de Anne Percin: http://annepercin.blogspot.com/

  Joyce Hoffmann Debomy, 1ES2

Lauréats du Prix littéraire Carnot 2018 !

A l’occasion de la représentation théâtrale des 1ère L « Je Tue IL » ce samedi 26 mai, ont été remis – en présence de M. Cédric BONFILS – les prix récompensant les lauréats du Prix littéraire Carnot 2018.
 
Dans la catégorie « critiques écrites » :
 
1er Prix : Sofia MEZOUARI pour la critique « L’argent, une perte d’humanité? » sur la pièce Monkey Money de Carole THIBAUT
 
2ème Prix : Cassiopée DENIS pour la critique « Leçon de vie »sur la pièce Art de Yasmina REZA
 
3ème Prix : Marie-Jeanne DEMOLIN pour la critique « L’énigme insoluble » sur la pièce Votre regard de Cédric BONFILS et Claire RYBARCZYK pour la critique « Les mots peuvent causer des maux » sur la pièce Cendrillon de Joël POMMERAT
 
Dans la catégorie « vidéos » :
 
1er Prix : Ludivine HULOT et Naomie LEPRETRE pour leur vidéo sur la pièce Cendrillon de Joël POMMERAT
 
2ème Prix : Asma LOUH et Adélaïde MINNEKER pour leur vidéo sur la pièce Antigone de Jean ANOUILH
 
3ème Prix : Auban CARON pour sa vidéo sur la pièce Screens de Sarah CARRÉ
 
Toutes nos félicitations aux lauréats 2018 !
 
M. DETEUF

« Je Tue Il »… quand les 1èreL montent sur scène !

Ce samedi 26 mai 2018 les élèves de 1èreL, M. Deteuf et Mme Wadoux ont présenté, dans le cadre du Prix littéraire Carnot 2018, la pièce de théâtre « Je Tue Il » abordant le harcèlement sous toutes ses formes. Cette pièce est le fruit de plusieurs mois de travail – tant d’écriture que de mise en scène et de jeu – et de collaboration avec M. Cédric Bonfils, auteur, animateur de théâtre.
Le public était au rendez-vous : plus de 150 personnes sont venues applaudir la prestation des élèves. Un grand merci aux professeurs et personnels du lycée, aux familles et amis des élèves pour leur présence !
Encore un grand BRAVO aux élèves de 1èreL pour leur sans-faute lors de la représentation !
M. Deteuf

La jeune rebelle

Une nouvelle vision d’un  célèbre mythe antique, c’est ce que nous offre la pièce Antigone de Jean Anouilh. Mais ce n’est pas seulement la réécriture d’une pièce emblématique de l’antiquité, non, c’est une nouvelle histoire d’une famille pleine de problèmes. Antigone, pour ceux qui ne la connaîtraient toujours pas, est une jeune fille perdue dans le chagrin et la tristesse depuis la mort de son frère. Face au roi, tyran qui n’a voulu enterrer ce dernier, elle décide de se faire justice soi-même. Mais c’est sans compter sur les gardes qui protègent le corps du défunt. Une chose est sure, Antigone est prête à tout pour parvenir à ses fins… Plonger dans la réécriture de ce mythe antique et découvrez comment elle y parviendra. Vous en apprendrez aussi sur l’importance du rôle de chacun dans notre société. Le  roi finira-t-il par faire preuve de clémence ? Je ne vous en dit pas plus, mais le genre de cette pièce pourrait sans doute vous éclairer. Nous n’appelons pas ce type de pièce une tragédie sans raison !

Résultat de recherche d'images pour "représentation Antigone"

Antigone – Spectacle vivant – Le Parvis Scène Nationale Tarbes-Pyrénées

Résultat de recherche d'images pour "quatres étoiles jaunes"

Anouilh, Jean. Antigone. La Table ronde, 01-03-2008. 122 p.

Condette Sophie, 1èreL

L’injustice d’un monde influencé par l’argent

     Si il fallait que je désigne la pièce de théâtre qui a le plus de contenu, je n’hésiterai pas une seconde pour annoncer que Monkey Money obtient le premier prix. L’auteure a tellement encombré ses personnages de malveillance dans leurs actions que j’ai réussi l’exploit de détester cette pièce. En effet, quand on juge une pièce comme ayant du contenu, cela ne peut signifier que deux choses : soit elle est vraiment géniale, soit elle est horrible. Je n’ai pas besoin de vous signaler que j’ai particulièrement détesté cette pièce, si ?

     Dans sa pièce de théâtre, Carole Thibaut nous décrit un monde dirigé par l’argent, où les riches et les pauvres sont séparés par un mur. Celui-ci met ainsi une limite entre deux mondes, deux sociétés complètement différentes. Un soir, alors que la Bee Wi Bank (entreprise familiale de vente de crédits à la consommation) fête son anniversaire, un homme surendetté apparaît et menace de s’immoler par le feu si le directeur de la banque ne veut pas supprimer ses dettes. A la suite de la réponse du directeur, le pauvre homme prend la décision de s’immoler…

Les personnages, tous autant qu’ils sont, n’ont pas froid aux yeux. Entre le suicide du père et la vulgarité excessive des propos des enfants, rien n’aspire à l’intelligence, même si le père a de bonne raisons pour se suicider. Il ne veut plus vivre à cause de son endettement (même si le suicide n’est jamais la bonne décision). K, la fille du directeur qui décide de franchir le mur pour s’occuper de la fille de l’homme décédé fait quant à elle preuve de courage.

     Puis, après les personnages, vient le mur ! Construit afin de séparer les riches des pauvres, il est inutile et le résultat d’une mentalité enfantine, ou, devrais-je dire, d’une mentalité inférieure à toute autre, une mentalité qui est et qui restera à des milliards d’années lumières de ce monde, même si celui-ci symbolise la séparation de deux classes sociales qui n’ont absolument pas recours aux mêmes ressources économiques. Aussi, ce mur peut représenter une séparation invisible mais qui également présente dans notre propre société. Je conçois que Carole Thibaut l’ait instauré dans son oeuvre pour rendre l’inégalité évidente mais cela m’a beaucoup dérangé car c’est beaucoup plus choquant de représenter cette séparation sociale et économique par un mur que par l’invisibilité. Malgré tout, l’auteure dénonce ici la transgression de l’un des droits fondamentaux de toute personne : l’égalité. Comprendre que tout le monde est égal devrait être un devoir. Hors ce n’est pas le cas dans notre société.

Représentation de Monkey Money à l’Idéal de Torucoing (du 12 au 22 novembre 2015). Source : https://lestroiscoups.fr/monkey-money-de-carole-thibaut-theatre-de-lideal-a-tourcoing/

Cassiopée Denis, 1ère L

Un mouchoir pour un père

Le mouchoir de Jacques Descordes est un des livres que j’ai préférés lire. Il se lit plutôt rapidement. Il est basé sur une histoire dans laquelle certaines personnes peuvent se retrouver. C’est une petite fille qui vit avec sa mère et voudrait retrouver son père. Un jour elle perd le mouchoir que lui avait donné son père. Elles décident alors de partir à sa recherche. Malheureusement la fillette rencontre un homme qui dit être son père, mais est-ce vraiment lui ? C’est ce que tout le monde se demande sûrement car la fillette ne lui fait pas confiance. En lisant ce livre je m’y suis vraiment retrouvée car elle a cette détermination qui se fait ressentir à travers ses paroles, on voit qu’elle ne baissera pas les bras si facilement. Je pense d’ailleurs que ce mouchoir est un prétexte, une métaphore qui rappellerait l’absence et la quête de son père. Personnellement j’ai vraiment beaucoup aimée lire cette pièce qui m’a particulièrement émue.

 

Descorde, Jacques. Le mouchoir. l’école des loisirs, 01-11-2016. 63 p.

 Codron Ambre élève de 1èreL