L’écriture est sa passion

          Didier Daeninckx est un écrivain français. Il a écrit de nombreuses nouvelles sur des sujets très différents. Personnellement j’ai beaucoup apprécier Retrouvailles, issue du recueil l’espoir en contrebande, car la chute est vraiment inattendue. C’est une nouvelle réaliste donc on se sent concerné. Il y a également une touche d’humour.

           Après avoir assisté à une interview de Didier Daeninckx, je peux affirmer que cet auteur contemporain est un auteur engagé même si ce dernier ne trouve pas ce mot approprié. Il est également très ouvert d’esprit car il a répondu à toutes les questions qui lui étaient destinées sans aucun tabou ni aucune hésitation. Didier Daeninckx n’a pas fait d’études spécifiques de littérature même si la lecture l’a toujours intéressée. C’est après plusieurs échecs qu’il a commencé à être publié dans de grandes maisons d’édition. A partir de ce jour là il ne s’est jamais arrêté de publier des romans et des nouvelles aux genres très différents.

On ressent que l’écriture est pour lui bien plus qu’un métier ou un  loisir quelconque, c’est une passion qu’il a plaisir à faire partager aux élèves auxquels il rend visite dans les lycées ou dans les collèges.

Le cadavre de Mamie Vanneau m’attendait dans la chambre

Je suis dans une classe de seconde au lycée Louis Rascol et avec notre professeur de français nous avons étudié un recueil de six nouvelles de l’auteur Didier Daeninckx. Dans cet ouvrage L’espoir en contrebande nous avons particulièrement travaillé en classe le texte l’égalité des chancres  » J’ai pris l’habitude de l’hostilité ou de l’indiférence ; par contre , je n’ai jamais pu me faire au mépris »  » à l’école de formation accélérée de police parisienne : on y aime pas les flics albinos ». Nous avons lu chez nous deux autres titres Les retrouvailles et Dernier quart d’heure. Nous étions invités à réfléchir au contenu de ces lecture, à dire ce qu’on en pensait et à justifier notre opinion. Puis, nous avons étudié Le mur de Noël en répondant à une série de questions précises pour nous permettre une analyse approfondie du texte et le message contenu. « L’autopsie confirma l’hypothèse de la crise cardiaque. Le légiste eut simplement la surprise de constater que le caillot fatal au président avait pris la forme inhabituelle d’un parallélépipède ». Enfin nous avons poursuivi par la lecture en classe de Crevaisons et L‘espoir en contrebande. Personnellement la nouvelle que j’ai préférée est Dernier quart d’heure « Le cadavre de mamie Vanneau m’attendait dans la chambre , jeté au travers du lit , gorge tranchée, les jupes relevées sur des bas épais » Il y a un horrible crime, du suspens car l’assassin reste introuvable et surtout la personnalité du personnage principal. J’aime bien ce genre de lecture et tout ce qui entretient un certain mystère. Le Lundi 6 Octobre 2014 nous avons eu le privilège de rencontrer l’auteur de ces nouvelles Didier Daeninckx. C’est une personne accueillante, d’un contact facile et accessible à nous élèves. Il est simple pas du tout imbu de sa personnalité d’auteur. Il répondait avec gentillesse et précision à nos questions développant ses réponses afin de bien nous faire comprendre ce qu’il voulait dire dans es textes. C’est vraiment quelqu’un de très intéressant et je pense que tous les élève , professeurs et auteur avons passé un excellent moment très enrichissant.

Le conducteur fou

 De toutes les histoire étudiées du livre L’espoir en contrebande, l’histoire que j’ai préférée c’est: Crevaison car j’aime énormément l’action qui se forme lorsque le personnage fait du stop, et la peur qu’il a lorsque le fou du volant le prend pour l’amener à l’aéroport. Cette histoire en la lisant on se met dans le feu de l’action et c’est ce que j’aime. Il a une grande peur dans la BMW du conducteur et ces phrases sont assez surprenantes il dit:  » J’ai inconsciemment essayé de trouver la pédale de frein sous mon pied droit quand un camion est apparu dans notre champ de vision… »

« Contrairement à mes souhaits les plus secrets, il ne s’est pas calmé en entrant dans les faubourgs »

« Un steward hilare, deux hôtesse de l’air éclatant de rire, suivis par celui qui les mettait en joie et dont j’ai reconnu immédiatement les traits  sous sa casquette de commandant de bord. Le type à la BMW »

Pour ce qui est de la rencontre avec l’auteur, c’était très bien, ce fut court malheureusement. Il a accepté de répondre à tout type de questions ce que tout le monde n’aurait pas forcément fait.

Des réponses préfabriquées

Dans le recueil de Didier Daeninckx nommé : »l’espoir en contrebande », j’ai préféré la nouvelle : »L’égalité des chancres » car c’était celle qui dénonçait très bien un problème de notre société qui est la discrimination avec un exemple qui n’est pas si simple, l’albinisme. Cela démontre aussi que Daeninckx a beaucoup de qualités d’écrivain et qu’il est capable d’écrire des textes pertinents et marquants sur des sujets divers et pas seulement sur son domaine de prédilection, les romans policiers.
J’ai aussi beaucoup apprécié que le contraste habituel de l’école au monde adulte soit ici rapproché et montre que, au final il n’y a que peu de différences de jugement, et que finalement le rapport à l’autre est le même.
Il y aussi un passage très intéressant qui m’a marqué où il est dit, je cite :« je ne retournerai jamais à l’école de formation accélérée de la police parisienne: on n’y aime pas les flics albinos. »
Cela désigne bien que même au centre de ce qui est censé dénoncer la discrimination, des discriminations y sont aussi faites, cela porte à la réflexion et interpelle.
J’ai aussi eu l’occasion de rencontrer cet auteur lors d’une entrevue avec le reste de ma classe, j’ai pu observer qu’il avait vécu énormément de choses variées et qu’il possédait de nombreuses connaissances diverses mais demeurait cantonné aux mêmes réponses « préfabriquées » qu’il réutilise à chaque interview.
M’étant un peu renseigné sur sa vie et ses œuvres au préalable, son intervention n’a pas eu beaucoup d’intérêt pour ma part.

Daeninckx, le célèbre écrivain parisien

Avec notre classe de seconde 4 à Rascol, depuis le début de l’année nous avons travaillé sur de nombreuses nouvelles de Didier Daeninckx. Particulièrement celle du recueil l’espoir en contrebande.J’ai bien aimé la nouvelle « L’égalité des chancres » car elle raconte la discrimination, et montre qu’elle est partout et même dans les centres de police. (page 11 l.69-71) »Je ne retournerai jamais a l’école de formation accélérée de la police parisienne, on n’y aime pas les flics albinos. » Mais aussi car elle est facile à lire et qu’il y a du suspens jusqu’au bout avec la découverte à la fin de la nouvelle que l’histoire se passe dans une école de police.
Le lundi 6 octobre, nous sommes allés à la rencontre de Didier Daeninckx, le célèbre écrivain parisien. Pendant un peu moins de deux heures, tous les élèves de deux classes de seconde dont la mienne ont posé des questions sur sa vie, son métier, comment il a fait pour arriver jusqu’ici, son style d’écriture, ses livres et il nous répondait honnêtement. J’ai trouvé ce moment intéressant et enrichissant car on a appris à le connaître et c’est un métier plutôt sympa mais quelque peu ennuyant par la fin.

Daeninckx, sa vie, résumé

Didier Daeninckx est un auteur de romans et de nouvelles. A la base, il n’est pas voué à être écrivain mais plutôt ouvrier. Il va écrire 4 livres dans le but de se faire publier mais ça n’arrivera que quelques années après. Pendant ce temps il abandonne l’écriture pour être animateur culturel. Il reprend l’écriture quand il voit que ces 4 livres sont publiés, c’est à ce moment-là que sa carrière d’écrivain commence réellement. Au début, même ses proches ne le soutiennent pas, seul sa femme le soutient. Ses principales sources d’inspirations sont la vie qui l’entoure, la télévision et il écrit sur des sujets plus précis comme la discrimination, il dénonce les problèmes de la société.

Rencontre au sommet

Le 6 octobre le lycée Rascol reçu un écrivain Didier Deaninckx.

Cette rencontre a été enrichissante pour toutes personnes présentes,  ce jour là en effet nous lui avons  posé des questions auquel il a répondu précisément.Toutes ses réponses étaient sous forme : introduction/ argument un parfois deux ou trois puis la conclusion. De fait à la fin de cette entretien avec lui, plus personne n’avait de questions à lui poser.
Dans le recueil « L’Espoir en contrebande » je vais vous parler de la nouvelle « Crevaisons » page trente. Cette nouvelle est la seule du recueil à avoir un titre explicite puisqu’elle raconte les mésaventures d’un homme qui débute par la crevaison d’un de ses pneumatique. Celle ci lui fera avoir énormément de problèmes. Dans cette histoire je trouve qu’il y a une pointe d’ironie voire d’humour noir. En effet le personnage principal est contraint de faire du stop pour pouvoir se rendre à un aéroport puis en avion jusqu’à son lieu de rendez vous pour une réunion. La personne qui le prend en stop est un chauffeur fou il roule trop vite. Mais cela lui permet de se rendre à l’aéroport en avance et cela lui redonne espoir mais quand il monte dans l’avion, il se rend compte que le chauffeur fou est aussi son pilote, il décide de quitter l’avion oubliant sa valise de documents au passage. L’ironie est que la personne qui lui redonne espoir est aussi la personne qui va faire qu’il va rater sa réunion.

La solitude du flic albinos

Ce lundi 6 octobre, les élèves de seconde du lycée Louis RASCOL ont accueilli l’auteur Didier DAENINCKX. Cet auteur a fait de nombreux romans et de nombreuses nouvelles. Il a écrit notamment la nouvelle « L’Egalité des Chancres » mais il a écrit également le roman « Mort au Premier Tour » qui fut son premier roman. La nouvelle « L’Egalité des Chancres » parle d’un jeune homme qui entre dans une école de formation de police. Il s’avère que cet homme est albinos. Dans son école, il est discriminé, personne ne veut rester avec lui, personne ne veut jouer avec lui. Il est seul. Cette nouvelle peut paraître assez humoristique étant donné que la discrimination se passe dans une école de police.
L’auteur a commencé des études de secrétariat comptabilité. A 16 ans, il décide d’arrêter ses études car ça ne lui plait pas. Il va donc travailler dans une imprimerie durant 4 ans. Au bout de 4 ans, il décide de se mettre au chômage pour écrire ses livres.

Un auteur, son vécu et son écriture contemporaine

Parmi les nouvelles du recueil L’ espoir en contrebande de Didier Daenickx, une de ses nouvelles m’a personnellement marqué : « L’ égalité des chancres ». Dans cette nouvelle, l’ écriture permet au lecteur de vraiment se mettre à la place du personnage subissant la discrimination. C’est écrit de façon que le lecteur puisseressentir ce que ressent le personnage principal. Cette nouvelle est aussi marquante par le fait que la discrimination est un problème réel de nos jours elle est subie par de nombreuses personnes. Dans sa nouvelle, il arrive à dénoncer un problème majeur touchant la population et la société tout en réussissant à le faire paraître dans un lieu et une situation qui semblent sérieux : Une école de police.

Lors de la rencontre avec l’auteur, j’ai personnellement trouvé que lorsque que nous lui posions des questions, l’écrivain y répondait directement et indirectement par le biais d’un fait réel voire vécu. Dans toutes ses réponses et ses idées, un vécu personnel ou une personne connue par l’auteur étaient évoqués. Il arrivait à répondre à nos questions précisément de manière distincte.

Question/réponse

Nous  avons posé plusieurs questions à l’auteur et  il nous a toujours donné une réponse. J’ai remarqué qu’il répondait toujours à la question donnée mais toujours avec des détails  très intéressants.
Le seul point négatif que je pourrais ajouter c’est que des élèves lui ont posé des questions par rapport à l’argent qu’il gagnait, personnellement je trouve ça assez indiscret.