J’ai pas d’idée de titre

Faits divers, Ou presque, Marécages, Etat des lieux, Tartine, Je n’ai pas d’imagination, Il n’y a plus que la mer, La marque du collier

J’ai choisi ces textes car je trouve qu’ils me correspondent. L’idéologie des textes me plait. J’ai beaucoup aimé “Tartine”, “la marque du collier”, “marécages” car j’aime vraiment l’idée et la vision du monde qu’il fait passer, j’arrive facilement à me l’approprier. Aussi “je n’ai pas d’imagination” m’a fait penser à certaines personnes que je connais.

La force

Au delà de la crainte la force fera toujours partie de toi, malgré les difficultés la force te permettra toujours de vaincre, l’union fait la force, sache bien t’entourer pour qu’elle soit avec toi.

Le Dessert:

Peu importe combien j’en mange, il y en aura toujours de la place pour un dessert. le dessert ne va pas dans l’estomac. le dessert te va droit au cœur!!!

PS:( dessert=ami(e)s)

Poèmes choisis

Les poèmes choisis : Lettre à un ami, 171 mouettes, Tartine, Une peau de banane, Cocktail, S’ensevelir, Au fond du bol, Maçonne, Juste après la pluie.

Ces poèmes sont spéciaux, bizarres. T. Vinau ne respecte pas les règles d’une poésie (majuscules, nombre de syllabes, etc), de plus, dans la plupart de ses poèmes, il fait un rapprochement entre deux choses totalement opposées.

Par exemple, dans son poème « Tartine », il compare les humains à de la confiture de poussière.

Ses poèmes sont pas faciles à comprendre, et il faut même des fois les relire pour mieux comprendre.

Je n’aime pas trop sa façon d’écrire, mais j’ai toutefois apprécié « Une peau de banane », car il fait référence à une montée au ciel, le pouvoir de voler, aller donc au paradis.

Mon recueil

« Arme de jet » « La lune et le citron » « Yoda habite chez moi » « J’ai vu la lumière sourire » « Il n’y a plus que la mer » « Tartine » « Etat des lieux » « Juste après la pluie » « Ablutions » : J’ai choisi de rapprocher ces 9 poèmes car je trouve que par rapport aux autres ils parlent moins de la mort, ils sont plus gais. Je les ai aussi rapprochés car ils rimenttous beaucoup, et que ils sont un peu bizarres quand on les lit, on ne les comprends pas dès la première lecture.

Donner au coeur ce qu’il attend

Je ne sais pas voler,

Je ne sais pas peindre.

Je ne suis ni poète, ni sculpteur.

Je ne suis que ce que je suis.

 

Je ne sais pas lire dans les étoiles,

Ni décrocher la lune.

Je ne suis pas le ciel, le soleil…

Je ne suis que moi.

 

On peut donner des couleurs au cœurs,

On peut crier « yeah »

On peut voler, sans ailes

Être les paroles de ma chanson,

Et que ta voix me façonne.

Je ne suis pas le soleil qui embrasse l’horizon,

Je ne sais pas de quoi demain sera fait.

Je ne suis pas un prince charmant…

Je ne suis que moi.

 

Ce n’est pas le destin,

Ni la chance qui a frappé à ma porte.

Il nous suffit d’imaginer…

Et la magie vient jusqu’à nous …

Le coeur et les pieds

Thomas Vinau est né le 26 septembre 1978 à Toulouse dans le sud-ouest de la France. C’est un poète. Son poème le cœur et les pieds est un poème extrait de son œuvre juste après la pluie. Nous allons maintenant nous demander comment Thomas Vinau nous fait comprendre qu’il ne se considère pas comme un héros. Pour cela nous allons faire deux parties la première et que Thomas Vinau décrit comment il considère un héros et la deuxième et que Thomas Vinau se décrit à l’inverse de comment il considère un héros.

Thomas Vinau décrit comment il considère les héros, il dit qu’ils ont toujours de bonnes chaussures bien résistantes, “ toujours équipées de bonnes chaussures”, “ de ces bottes de sept lieues”. Mais aussi des chaussures très pratiques “ou de celle dans les talons desquelles on planque de quoi survivre”. La façon dont il décrit ces chaussures peut faire penser à celle des super héros qui ont des pouvoirs magiques.

Thomas Vinau se décrit ensuite à l’inverse de ces héros. Après avoir décrit les bonnes chaussures des héros, il décrit les siennes et dit que ce sont de mauvaises chaussures “mes vieilles baskets usées”, chaussures populaires, chaussures de sport de tout le monde, chaussures pas nobles , en plus elles sont usées.

Thomas Vinau choisit de parler des hommes en parlant de leurs chaussures, c’est ce qui sert à marcher, à avancer, c’est ce qui nous relie à la terre. C’est un objet qui renvoie bien à la personnalité de celui qui les porte.

Léa Rouquet