les rôlets des 5eD
Suite et fin des créations audiophoniques des 5e à partir du rôlet de La farce du cuvier : Merci aux élèves présents aujourd’hui de les avoir enregistrés :o) !
BONNES VACANCES AUX 5e et 4e !
Suite et fin des créations audiophoniques des 5e à partir du rôlet de La farce du cuvier : Merci aux élèves présents aujourd’hui de les avoir enregistrés :o) !
BONNES VACANCES AUX 5e et 4e !
Fin de cette semaine consacrée aux ceintures orthographiques pour les uns, aux activités à mettre en ligne sur le blog pour les autres. Pour vous les 4e, la publication des derniers exercices se fera lundi prochain, car je suis partie du collège sans mettre votre travail sur ma clé :o(… Pas d’inquiétude, juste un peu de patience, donc. Pour les judorthographieux, je vous ferai parvenir les résultats. Maiween, de la 4e E, vous a concocté une dictée de ceinture bleue qui est de circonstance : Décès du roi de la Pop. Vous pouvez, en attendant que je mette en place mon projet de ceintures orthographiques en ligne, vous entraîner en la faisant, seuls !
Bonnes révisions aux 3e, et bonnes vacances à ceux qui ne reviennent pas lundi.
Suite des créations audiophoniques des 5eD autour du rôlet que Mère Jacquette impose à son Jacquinot : aujourd’hui, je mets en ligne les travaux de deux groupes. Le premier est la version longue des vingt pauvres secondes de la première publication, c’est-à-dire la version de Jordan, Dylan et Dorian. Le second est celui de Jade, Juliette et Manon.
Bonne écoute !
Une autre version moderne de la scène 2 de la farce du cuvier ? Voici la version de Clara, Corentin, Mélody et Pascal :
Avec vous les 5e, nous sommes en train d’explorer la poésie sous toutes ses formes à travers le thème de l’objet : nous avons vu qu’ils étaient des symboles, des sources d’inspiration, nous avons vu aussi qu’ils pouvaient être non seulement le thème, mais aussi la forme du poème, avec les calligrammes, et que le poète le personnifiait parfois, en faisant un véritable personnage … Je vous laisse chercher les raisons pour lesquelles je vous mets en ligne ce court-métrage d’animation ;o) :
[dailymotion]http://www.dailymotion.com/video/x960hl_bendito-machine-iii-obey-his-comman_shortfilms[/dailymotion]
Quelques précisions pour vous les 5e concernant la publication de vos travaux sur le blog :
Pour les autres visiteurs du blog, n’hésitez pas à aller voir les nouveaux articles et à laisser des commentaires.
Nous avons déjà répertorié les différentes classes grammaticales, et amorcé l’étude des mots invariables. Il est temps de rentrer un peu plus dans le détail : voici la carte heuristique sur les adverbes qui vous servira de leçon bientôt … Les plus grands peuvent bien sûr la télécharger, histoire de se rafraîchir la mémoire ;o)…
Pour la télécharger, c’est ici.
Vous pouvez télécharger ci-dessous la séance corrigée sur les expansions du nom : tout y figure, notamment la toute dernière activité, dans laquelle il fallait démêler le groupe nominal minimal, les expansions du nom, et les compléments de ces expansions.
Encore une aventure de Saint-Brendan à faire pâlir de jalousie leurs auteurs médiévaux ! Décidément, même si vous avez eu du mal à lire ce récit, vous m’avez écrit de bien belles choses (non, non, sûr, ce n’est pas de la flatterie ;o) !) : merci à Marie, Chloé, Stacy et Lisa, et bonne lecture à tous !
Saint-Brendan et ses compagnons arrivèrent en vue d’une île minuscule. Mais malheureusement, des énormes rochers empêchaient le Grand Coracle de contourner l’île. Ils décidèrent donc d’accoster. Le sable de la plage qui s’étendait devant eux était si doré et chaud qu’on l’aurait confondu avec de l’or. À chaque pas, Brendan et ses compagnons s’y enfonçaient jusqu’aux genoux. À quelques mètres de là, il y avait une forêt. Le chant des rossignols les y attirèrent.
Arrivés à la lisère, ils décidèrent de faire une pause et s’endormirent, adossés contre des arbres.
Un cri les réveilla en sursaut. Il y avait bien, quelques mètres au-dessus d’eux, un singe suspendu à une branche et tenant à bout de bras leur sac de provisions. Puis, en leur faisant des grimaces, il s’enfuit en bondissant de branche en branche. Les moines se lancèrent à sa poursuite. Ils arrivèrent très vite au coeur de la forêt. Le chant des rossignols avaient cessé, il faisait presque noir et les arbres semblaient se murmurer quelque chose. Pas très confiants, Brendan et ses moines avancèrent. Ils marchèrent plusieurs heures sans la moindre trace du singe. Ils allaient renoncer et faire demi-tour lorsqu’ils aperçurent un morceau de nourriture que le singe avait dû faire tomber. Ils se le partagèrent et continuèrent leur route.
Quelques heures plus tard, Brendan et ses moines arrivèrent au pied d’une montagne. Là ils virent, à quelques mètres d’eux, le singe, escaladant la paroi rocailleuse couverte de neige en bondissant. Les pieux prièrent puis le suivirent. Ils escaladèrent la montagne avec courage, glissant à chaque pas et risquant de tomber au pied de la montagne. Et ce qui devait arriver arriva. Un moine tituba puis tomba en arrière. Ils l’entendirent crier puis le silence revint.
Ils arrivèrent enfin au sommet de la montagne. Là-haut, la neige semblait faite de milliers de diamants. Le signe les attendait, terminant les derniers morceaux de nourriture qui leur restaient, puis il s’enfuit en glissant le long de la paroi enneigée. Brendan et ses compagnons se remirent à prier. Quand tout à coup, un messager de Dieu descendit du ciel et vint leur parler. Pour les récompenser de leur courage, il leur donna de nouvelles provisions et leur ouvrit un chemin pour permettre au Grand Coracle de passer. Brendan et ses moines retournèrent à leur bateau et empruntèrent le passage ouvert par le messager et en finirent pour toujours avec l’île au singe.
Kilian, Pascal, Juliette et Clara, vous pouvez télécharger ci-dessous vos textes afin de les améliorer. Le travail est à finir pour jeudi 22.
La neige et la rentrée ont eu un effet comme qui dirait… euphorisant : il y a du neuf sur le blog des 5e ! La musique de l’échelle de Glasgow, six nouveaux articles, et une nouvelle page sur À mort l’innocent !. Cela mérite d’être amélioré (j’ai juste corrigé l’orthographe), mais on ne va pas attendre cent sept ans non plus (j’en ai laissé beaucoup aux blogueurs !), sinon le prix sera décerné que l’on n’aura à peine eu le temps d’en faire profiter les internautes… Je rappelle aux futurs visiteurs que vous pouvez laisser des commentaires, les blogueurs les liront avec plaisir :o) !
L’objectif était d’écrire la description de la forêt des dieux, celle du film de Miyazaki, Princesse Mononoké. Voici la copie d’Agathe, avec les félicitations du chef ;o) !
En ce moment, je me trouve au bord de la rivière. Je perçois tout autour de moi le chant de quelques petits oiseaux discrets. Peut-être des rossignols ? En tous cas, je ne les vois pas. Je remarque au loin des troncs d’arbres morts recouverts d’une mousse épaisse et d’un vert timide. Les rochers aussi sont habillés de cette matière étrange… on dirait qu’ils sont parfaitement stables et pourtant quand on marche dessus, on glisse sans s’en rendre compte.
Quand je contemple le paysage tout autour de moi, je suis fasciné par la taille de ces arbres, si hauts, si majestueux, on dirait qu’ils veulent atteindre le ciel… Lorsque je scrute le sol, j’aperçois quelques jeunes pousses d’arbres et de petites fleurs éparpillées mais il y a aussi des feuilles mortes. L’automne doit approcher… J’écoute les bruits de la rivière. J’ai envie de m’asseoir et d’écouter ses clapotis…
Lorsque je traverse cette futaie, je remarque quelques petites cohses : il y a des champignons au sol. Ils doivent être délicieux à déguster car ils n’ont pas l’air toxiques. Les racines des hauts arbres qui s’étendent devant moi sont, elles aussi, recouvertes de cette sorte de mousse étrange et il faut que je fasse attention à ne pas marcher dessus. Des fougères bordent le chemin avec leurs feuilles, époustouflantes même si elles sont cachées par quelques buissons pauvres en feuilles. Je me laisse charmer par le chant des oiseaux. Autour de moi, quelques papillons violets virevoltent. Maintenant je ne quitte plus des yeux ces étranges bonhommes si amusants : les sylvains. Ils me conduisent à leur arbre : c’est le plus beau de tous. Il est immense avec une ramure impressionnante, tellement grande, et les feuilles sont si bien organisées … C’est une vraie maison.
Dans les marécages, les arbres sont absolument grandioses. Les troncs sont immenses et les feuilles y sont tellement tassées qu’on a l’impression que le jour tombe alors que nous sommes en plein après-midi. Malgré cela, quelques rares taches de lumière s’étalent délicatement au sol, laissant apercevoir la mousse presque blanche et moelleuse. Les feuilles craquent sous mon poids mais le plus inquiétant, ce sont les oiseaux : ils se sont tus. J’écoute quelques instants le clapotis discret de l’eau qui coule. Une matière très spéciale la recouvre. Cela lui donne un air assez sinistre. Décidément cette forêt est très étrange !