Dans cette pièce de théâtre qu’est Maman dans le vent, on peut ressentir trois sentiments : de la tristesse, de la solidarité et du courage. La tristesse car la mère de famille est décédée et ce sentiment est donc très présente chez son mari et sa fille. La solidarité car le père et sa fille sont présents l’un pour l’autre. Enfin le courage, qui est surtout présent chez la petite fille qui aide beaucoup son père, lequel est totalement anéanti. Pensez- vous qu’ils réussiront à surmonter cette terrible épreuve ?

En lisant cette oeuvre j’ai pu tirer deux points positifs. Premièrement l’histoire est détaillée, deuxièmement elle est facile à comprendre. La lecture du livre m’a énormément touchée car l’histoire est très émouvante. Dans cette histoire j’ai été marquée par un passage qui est particulièrement touchant, c’est celui où la petite fille et son père se rendent à l’obélisque, un endroit que la maman aimait beaucoup. Ce passage m’a émue car le père et la fille sont encore plus soudés à ce moment. En s’y rendant la petite fille se dit que ça ferait très plaisir à sa maman.

Je vous conseille la lecture de ce récit car l’histoire est intéressante, elle nous fait nous remettre en question et c’est une bonne leçon de vie dans le sens où l’auteur fait nous comprendre qu’il faut profiter de nos proches le temps qu’ils sont parmi nous.

N’hésitez surtout pas à emprunter ce livre. Il est à votre disposition au CDI !

Descorde, Jacques. Maman dans le vent. l’école des loisirs, 01-03-2012. 62 p.

Camille Myszkowski 1ST2S1

Marion, 13 ans pour toujours est un livre que j’ai beaucoup aimé car il traite du harcèlement qu’une jeune ado a vécu. Il s’agit d’un témoignage qui fait en sorte que le lecteur doive se poser des questions : Est-ce que les parents vont savoir ce qu’il s’est réellement passé ? Comment l’histoire va-t-elle se terminer ? Cela vous pourrez le découvrir seulement en lisant ce livre.

Ce témoignage nous sensibilise et montre ce que le harcèlement peut provoquer sur des personnes, comment il les détruit. Les adolescents ne veulent pas forcément avouer aux adultes qu’il se font harceler par peur de représailles. Ils gardent donc cela pour eux et encaissent les coups, que ce soit moralement ou physiquement. A un moment cela devient beaucoup trop dur à supporter et ils en viennent au suicide.

Ce que j’ai ressenti à la lecture de ce livre c’est un véritable choc car c’est une adolescente de notre âge qui a vécu ça, et cela aurait pu arriver à n’importe qui !

Fraisse, Nora. Marion, 13 ans pour toujours. Librairie Générale Française, 01-04-2016. 186 p.

Djiniline DESSINGES, 1ST2S1

Première de couverture du livre Je suis ta nuit.

Loïc le Borgne, alias Loïc Léo, est un écrivain français de romans fantastiques et de science-fiction. Il publie Je suis ta nuit en 2008. Ce livre a été sélectionné au Prix Ados de la ville de Rennes en 2010, ainsi qu’au prix festival de Cherbourg 2009. Son livre fait écho à Ça de Stephen King puisqu’on y retrouve la même évocation de l’enfance.

Pierre et sa bande de copains ont terminé l’école : place aux vacances ! C’est alors que Maël, qui a un passé très mystérieux, vient rejoindre le groupe. Pierre et ses amis sont de sortie et décident de se rendre dans un endroit abandonné… où ils découvrent un corps mutilé. Suite à cette macabre découverte, plusieurs événements se succèdent : des animaux sauvages pourchassent les enfants, des personnes proches d’eux ont soudainement un comportement très étrange, et des meurtres sont commis. Une personne est à l’origine de tous ces événements… enfin, un monstre : le Bonhomme de la Nuit ! Il cherche à tuer Maël, dont le père a déjà été tué par le Bonhomme de la Nuit.

L’histoire est racontée par Pierre, le personnage principal. C’est un de ses souvenirs qu’il raconte à son fils Tristan. Tristan vit au même moment la perte de l’une de ses amies. Pierre essaye de le réconforter et de lui montrer qu’il n’est pas seul.

L’histoire est absolument dingue et terrifiante ! Lors de la lecture nous sommes plongés dans l’horreur, les pages se succèdent sans qu’on s’en rende compte. J’ai adoré cette ambiance flippante et très oppressante !

J’ai vraiment apprécié le passage de la découverte du corps et tous les événements horribles. Le roman est très facile et rapide à lire malgré ses 370 pages.  Les personnages sont tous très différents, ce qui crée une sorte d’originalité et des liens très forts entre eux.

Pour finir, ce livre est vraiment une ‘’tuerie’’ ! Si vous appréciez les livres d’épouvante et de suspense, l’histoire va vous emporter et vous faire oublier le monde qui vous entoure. Je vous le conseille à 100% !

Le Borgne , Loïc. Je suis ta nuit. Intervista, 2008. 370 p.

Présentation et analyse du roman

Alyson LECAS, 1èreES2

La chambre des merveilles est un roman qui a pour sujet un jeune garçon prénommée Louis. Il a 12 ans et sa mère travaille dans une grande agence de cosmétiques. Elle n’a pas beaucoup de temps pour rester avec lui. Un samedi, alors qu’ils vont chez une amie, elle reçoit un appel de son patron et ne fait pas attention à son fils qui descend une pente à toute allure, et là le drame arrive. Louis se fait renverser par un camion et est plongée dans le Coma. En rentrant chez elle sa mère va trouver sous son matelas un petit carnet où Louis à noté tous ses rêves. Elle décide alors de les réaliser !

Ce livre est très beau à lire, il est émouvant car on voit bien l’amour d’une mère pour son fils alors qu’il est à l’hôpital. Depuis que l’accident est arrivé elle fait plus attention à son fils qu’à son travail qui lui prenait les trois quarts de son temps.

Ce roman est très intéressant à lire car il est composé de deux parties mélangées. Nous avons la version de la mère dans les premières pages et, quand on arrive à la page 23 , les mots sont alors en italique et on comprend assez vite qu’il s’agit de la version du fils qui est dans plongée dans un coma.

Ce livre paraît gros au premier abord mais il est très simple à lire. Qui plus est, je trouve que le mélange des deux versions nous fait vraiment comprendre les deux visions de l’histoire. Nous avons la mère qui nous dit ce qui c’est passé le jour où sa vie a pris un autre tournant et la vision du fils, Louis, qui nous parle alors qu’il est dans le coma. 

Dans ce roman, grâce au mélange de ces deux visions, on voit bien tout l’amour que ces deux êtres se portent mutuellement sans vraiment se le dire. Ce qui rend se livre très émouvant c’est qu’on voit vraiment la tristesse de la mère lorsque les médecins évoquent l’état de santé de son fils, puis on lit la partie du fils qui dit que ce n’est pas de la faute de sa mère s’il est dans le coma et qu’il est désolé de lui faire vivre cela…

Pour ma part j’ai aimé ce roman. C’est un véritable coup de cœur car c’est un livre juste magnifique qui mérité d’être lu par tout le monde. C’est pourquoi je lui attribue la note de 5 étoiles !

Sandrel, Julien. La chambre des merveilles. Calmann-Lévy, 01-06-2018. 264 p.

Océane BOULLIER 1ère ST2S1

Le film  Au revoir là-haut a été réalisé par Albert Dupontel. Il est sorti au cinéma le 25 octobre 2017. Ce film est une adaptation du roman du même titre écrit par Pierre Lemaitre et paru le 21 août 2013 aux éditions Albin Michel. Le roman a reçu plusieurs prix littéraires la même année dont le prix Goncourt.

Ce film raconte l’histoire qu’ont vécu deux amis rescapés de la Grande Guerre : Edouard Péricourt et Albert Maillard. L’un était comptable et l’autre un grand dessinateur. L’un des deux deviendra une « gueule cassée ». L’homme à la « gueule cassée » ne veut pas retourner dans sa famille. Il s’associe avec son ami Albert, le comptable, pour monter une arnaque aux monuments aux morts et gagner de l’argent. Grâce à cette arnaque il reverra une personne importante pour lui et qui ne pensait plus jamais le voir.

L’objectif de ce film est de montrer l’enfer de la vie pendant et après la guerre, surtout celle d’une personne ayant été blessée  au visage et rejetée par sa famille à cause de l’image qu’il renvoie. Personnellement, j’ai beaucoup aimé ce film car il nous montre les conditions de vie des soldats mais aussi les injustices qu’ils vivent durant un conflit. J’ai beaucoup aimé le moment où Edouard retrouve son père.

Le film raconte donc l’histoire touchante de deux individus qui essaient de s’en sortir après l’horreur qu’ils ont vécue pendant la Première Guerre mondiale.

Offensive française en Alsace, au mois d’août 1914. (THE ART ARCHIVE / AFP) Source :https://www.francetvinfo.fr/societe/guerre-de-14-18/le-22-aout-1914-jour-le-plus-sanglant-de-l-histoire-de-france_606567.htmlAu revoir là-haut, Albert DUPONTEL, 1h57, 2017

 Manon LHEUREUX, 1ES2

Joël Pommerat est un auteur et metteur en scène français. Il se définie comme « écrivain de spectacle » car il monte généralement ses propres textes. Sa pièce Cendrillon qu’il modernise de façon originale est un de ses grands succès. Dans sa réécriture du fameux conte de Grimm, il reprend les caractéristiques du vrai conte mais y ajoute sa touche d’originalité et d’humour.

Sandra, renommée par ses deux demi-sœurs « Cendrier », est une jeune fille qui est gravement affectée par le décès de sa mère et par la nouvelle vie qu’a décidé de mener son père. En effet,  ce dernier décide de se remarier à une femme qui, par la suite, fait vivre un enfer à la jeune fille. L’auteur ajoute une touche moderne à ce conte en y intégrant par exemple des téléphones portables, lesquels sont indispensables aux deux demi-sœurs, ou encore le style vulgaire de la fée qui est dans la pièce un personnage complètement décalé et rempli d’humour.

À travers l’histoire de Cendrillon, Joël Pommerat nous montre, en nous faisant passer par l’amour et le deuil, que dans la vie tout n’est pas beau, tout rose, et qu’il y a toujours des épreuves difficiles à surmonter. Nous pouvons voir dans la pièce que Sandra est affectée par le décès de sa mère et pense qu’elle ne pourra jamais s’en remettre. Lorsqu’elle rencontre le jeune prince, elle se lie d’amitié avec lui. Ils ont tous deux un point commun : le décès de leur mère, lequel ne peut être accepté ni pour l’un ni pour l’autre puisque Sandra a, pour sa part, mal compris les dernières paroles de sa mère et, concernant le prince, on lui fait croire que sa mère est toujours en vie !

J’ai beaucoup aimé cette pièce car Joël Pommerat à transformé le conte traditionnel en une pièce de théâtre  moderne remplie d’humour et y a ajouté une « morale » qui est parfaitement réaliste. J’ai également adoré la façon d’écrire de l’auteur car j’ai pu me mettre dans la peau des personnages et me plonger dans l’histoire.

Je conseille cette pièce à tous les amateurs de contes de fées mais aussi à ceux qui aiment les livres avec de l’humour !

                         Représentation de la pièce Cendrillon au Théâtre de la Porte Saint-Martin en 2017.

https://www.moustique.be/10605/cendrier-la-formidable-cendrillon-de-pommerat

https://www.telerama.fr/sortir/avec-cendrillon-joel-pommerat-console-et-epouvante-a-la-fois,158453.php 

 Pommerat, Joël. Cendrillon. Actes Sud, 01-06-2013. 162 p

Mélanie BRASSART, 1èreES2

Le roman que j’ai lu raconte l’histoire dramatique d’un SDF. Un jour, pris d’une envie, il entre dans un magasin pour y trouver quelque chose à boire. Malheureusement il n’en sortira pas vivant. Les vigiles ne lui pardonneront pas… d’avoir bu une canette !

Comment en est-on arrivé à cette extrémité ?

J’ai trouvé ce livre très intéressant. Il m’a énormément plu !

Le thème abordé est celui de la violence gratuite, celle qui s’en prend aux plus faibles qui n’ont souvent rien demandé. Dans ce livre on insiste fortement sur le fait que cette violence peut se produire n’importe où et n’importe quand. J’ai pu ressentir beaucoup d’émotions à la lecture de ce texte, de la tristesse et de la pitié. De surcroît, j’ai trouvé que le narrateur de l’histoire – il s’agit du frère de la victime – est toujours dans le questionnement tout au long du déroulement des faits grâce aux nombreux mots interrogatifs tels que  « pourquoi » ou encore « comment », ce qui dynamise notre lecture. Tout au long de la lecture je me suis demandée pourquoi cette situation a pris de telles proportions, allant jusqu’à la mort.

L’utilisation des mots familiers dans cette histoire nous facilite la lecture. Je trouve également que cette histoire n’a pas été assez médiatisée : c’est pourtant un fait grave et surprenant !

Je conseille vivement ce livre, car c’est une histoire inspirée d’un fait réel qui s’est déroulé à Lyon en décembre 2009. De plus, la présence de nombreux détails nous permet d’accrocher à la lecture et le suspense nous tient en haleine jusqu’à la fin du livre.

Mauvignier Laurent. Ce que j’appelle oubli. Minuit, 01-12-2015. 61 p.

Marine PICQUET, 1ST2S1

En finir avec Eddy Bellegueule est un roman d’Édouard Louis. Il s’agit d’un roman autobiographique constitué de deux parties, « livre I » et « livre II », suivies d’un épilogue. Ce livre raconte plus précisément son enfance et son adolescence.

Dans un village de Picardie, Eddy subit le rejet, les violences et les humiliations de la part des habitants du village, de ses camarades de classe et même de sa propre famille à cause de ses manières efféminées et de sa voix aiguë. Il vit dans un milieu où il endure des injures telles que « pédés », un monde où règne la misère, une société qui affirme que les garçons doivent sortir avec les filles et les filles avec les garçons. Il finit par prendre conscience de son attirance envers les hommes mais essaie de rentrer dans la norme pour convaincre tout le monde, et lui-même, qu’il est « normal », qu’il est un « dur ». Aussi, lorsqu’il rejoint un lycée à Amiens, il découvre une autre classe sociale dont les codes sont différents. Je ne vous en dit pas plus et je vous laisse découvrir cette histoire.

J’ai bien aimé ce livre et le conseille, car même si certains termes sont assez durs il s’agit de son histoire qui est réelle. C’est un livre où le monde qui est montré est cruel mais aussi émouvant car le courage dont Eddy fait preuve est incroyable,ce livre raconte l’histoire d’un adolescent qui ne correspond pas à celui que les autres voudraient qu’il soit, le livre est une invitation à être soi-même, Eddy Bellegueule est marquer comme un individu qui est rejeté de la société.

Louis, Édouard. En finir avec Eddy Bellegueule.  Seuil, 2014. 219 p.

Dutailly Lucie 1ère ES2

  Nell Leyshon est une dramaturge et romancière britannique, elle a écrit de nombreux livres comme Black Dirt ou encore Memoirs of a Dipper. La couleur du Lait est son premier roman qui est paru en 2004. Ce roman a eu un succès triomphal, mais dans ce roman il y a des hauts comme des bas.

       En 1831, Mary une jeune fille de 15 ans, fermière à temps plein, voit sa vie basculer du jour au lendemain. Son père l’envoie travailler en tant qu’accompagnante de la femme du pasteur Graham. Elle va alors nous raconter l’enfer qu’elle a vécu avec ce dernier. Elle va vivre le pire cauchemar qu’une femme peut vivre dans sa vie !

Au niveau de l’écriture ce roman est vraiment magnifique. Cette jeune fille est très touchante, elle arrive très bien à nous transmettre ses émotions à travers quelques mots. Le passage suivant m’a particulièrement touchée :  » quand j’écris ces mots je me rends compte que j’étouffe, je m’approche de la fenêtre pour l’ouvrir car j’ai besoin d’air mais je n’y arrive pas alors je mets mes mains sur le papier et ma tête par-dessus. Je sombre dans un sommeil court et noir qui m’apporte un peu de réconfort. mais maintenant je suis réveillée et je dois continuer.» L’aspect négatif de ce livre est la traduction. Certains passages ne sont pas compréhensibles. Il y a aussi le manque de majuscules ainsi que le manque de « – » dans les dialogues, ce qui est, pour une lectrice comme moi, assez troublant. 🙁

Ce roman raconte une histoire mais aussi et surtout la tragédie d’une fille. Ce livre écrit en 2004 et dont l’action se déroule au 19ème siècle est toujours d’actualité. En effet, connaissez- vous l’histoire des 200 pasteurs au Etat-Unis ? Non ? Alors je vous conseille d’aller y jeter un œil. Ce roman est touchant, je vous conseille donc d’aller le lire… et vite 😉

Leyshon, Nell. La couleur du lait. UGE, 01-09-2015. 179 p.

Laure LANNOYE 1ère ES2

Sources : https://www.alexandreduyck.com/ fr/auteur.html

L’histoire parle d’un homme prénommé Pascal qui a été victime dès la naissance d’une maladie qui  a déformé son visage. Il se sentait mal dans sa peau, son seul espoir résidait dans l’obtention d’une greffe pour vivre une vie « normale » et éviter surtout d’être dévisagé par les autres. Cet espoir voit le jour quand le professeur Lantieri, un des plus grands chirurgiens mondial plastique, intervient.

Cela à l’air d’une histoire touchante n’est-ce pas ? Tout est bien qui finit bien ? C’est peut-être une belle histoire, intéressante à découvrir mais j’ai eu l’impression d’être à la place de Pascal, le patient, c’est-à-dire vivre l’opération pendant plus de 4h ! Plus je tournais les pages plus je trouvais cela ennuyant.  Je pensais que l’opération n’allait jamais se terminer. Je vous mentirais si je vous disais que je n’ai passé aucune page… Pour ça j’aurais préféré regarder un film plutôt que de perdre mon temps à lire toutes ces pages.

Lantieri, Laurent. Duyck, Alexandre. Chaque visage a une histoire. Flammarion, 2012. 200 p.

Justine Leroy, 1ES2