La trahison des mineurs

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Photo représentant des mineurs au travail

https://fr.wikipedia.org/wiki/Fichier:Catastrophe_de_Courri%C3%A8res_-_Les_mineurs_en_gr%C3%A8ve.jpg 

Le livre La Révolte des terres est une bande dessinée parue en Août 2017 et réalisée par Koza (Maximilien Le Roy) et Mousse (dessinateur). Ce livre parle des conditions de travail lamentables des mineurs, en pleine Seconde Guerre mondiale, sous l’occupation de l’Allemagne nazie.

L’histoire débute dans le Nord-Pas-De-Calais, précisément à Montigny-en-Gohelle, avec la famille de Ferdinand, le personnage principal. C’est un mineur qui ne voulait pas se préoccuper des mouvements grévistes. Il se voit alors trahit et dénoncé à tort par les mineurs, dont son beau-frère. Il est alors envoyé dans un camp de concentration. Lors du temps qu’il a passé dans ce camp il se fait maltraiter et frapper mais il se fait aussi un ami.

Les auteurs montrent la cruauté des camps de concentration et les conditions de vie difficile des mineurs durant cette période. Les dessins représentent bien l’époque, notamment ceux des visages tristes ou dans l’ombre. Les pyjamas rayés symbolisent les camps de concentrations.Résultat de recherche d'images pour "planche de la revolte des terres"

https://www.casterman.com/Bande-dessinee/Catalogue/albums/la-revolte-des-terres

Il y a quelques pages où il n’y a pas de dialogues, ce qui les rend parfois ennuyeuses et vides mais amplifient cependant la tristesse des scènes selon moi. Pour ce qui est de l’intrigue, il n’y a pas de secrets ni de grands rebondissements, on se doute de se qu’il va se passer à la fin de l’ouvrage.

En conclusion, l’histoire en elle-même est intéressante car j’aime tout ce qui se rapporte aux périodes des guerres. Même s’il n’y a pas d’éléments qui nous bouleversent et que la fin est une évidence, je vous conseille cette ouvrage facile à lire, notamment aux personnes qui aiment cette période où l’univers de la mine et notre région.

 Koza / Mousse, Marion. La révolte des terres. Casterman, 01-08-2017. 103p.

William DELAPLACE, 1ES2

La vie de Mary

Résultat de recherche d'images pour "la couleur du lait de nell leyshon" Couverture du livre avec Nell Leyshon, autrice du livre.

Nell Leyshon est une dramaturge et romancière britannique. Elle est l’auteur du roman La Couleur du lait  qui a été sa première œuvre à être traduit en français. Nell Leyshon réalise un travail d’expert avec ce portrait magnifique de son héroïneet dont l’histoire se passe sur quatre saisons au XIXème siècle.

Ce roman nous parle de l’histoire de Mary qui vit dans une famille de paysans dans la campagne anglaise du Dorset, avec ses parents, dont un père violent, son grand-père et ses trois sœurs. Du matin au soir Mary doit enchaîner les corvées à la ferme. Un jour son père va lui apprendre qu’elle va aller vivre chez un pasteur pour servir son épouse malade. Là-bas elle va découvrir une nouvelle façon de vivre avec des valeurs et un luxe qu’elle ne connaissait pas. Mary va connaître l’humiliation avec le pasteur Graham car il va s’en prendre à elle… sexuellement !

Ce roman nous montre comment s’exerce le pouvoirs des puissants (les riches) sur les faibles (les pauvres), des hommes (son père, le pasteur) sur les femmes (Mary) et des savants (le pasteur et sa femme) sur les ignorants (Mary).

Les descriptions sont bien imaginées et originales, elles nous font souvent sourire : « j’ai tiré la porte du poulailler et le coq a sorti le premier. Il paradait comme au défilé mais sans la musique ». Ce roman nous bouleverse de sincérité, il nous montre la vérité d’une petite paysanne qui découvre la vie et porte un regard juste sur le monde.  Par contre ce roman n’est pas toujours agréable à lire, il n’y a pas de majuscule après les points, nous retrouvons un patois de paysan et il y a beaucoup de fautes de syntaxe lié à ce patois.

Derrière sa couverture ce livre nous cache un véritable trésor. Nous suivons avec émotion cette jeune adolescente qui a une force étonnante pour son âge. Elle n’a seulement que 15 ans. Nous retrouvons aussi la confession d’une fille qui vient du milieu paysan, c’est pour cela qu’on retrouve aussi un style enfantin car Mary vient seulement d’apprendre à lire et à écrire.

Leyshon, NellLa couleur du lait. UGE, 01-09-2015. 179 p.

Camille DEKEYSER, 1ES2

Pour une bonne dose de mystère

Le livre que j’ai lu s’intitule les feuilles mortes, un roman policier de Thomas H.Cook, romancier réputé pour sa finesse psychologique privilégiant les thèmes des secrets de familles, de la culpabilité et de la rédemption.

Souce : http://www.gallimard.fr/Catalogue/GALLIMARD/Folio/Folio-policier/Les-feuilles-mortes

C’est l’histoire de famille d’Eric Moore. Son fils Keith, âgé de 15 ans, garde un soir la petite Amy, la fille de ses voisins. Le lendemain, les parents de la fillette annoncent sa disparition. Hypothèses et soupçons vont envahir la vie de famille des Moore. On veut avoir la réponse à la question que tout lecteur de ce thriller se pose : qu’est-il arrivé à Amy Giordano ? On apprend à connaître l’enfance d’Eric, ses problèmes de famille en même temps que lui. Il était petit pour s’en souvenir et ne voulais pas voir la vérité en face à l’époque.

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Source : http://www.sysyinthecity.com/o-maman/les-feuilles-defi-du-jeudi/

« Les photos de famille mentent » c’est ce qu’avait compris Eric. Les gens ont l’air heureux mais qui sait ce qui se cache derrière ces photos !

Moi qui ne lis jamais de roman, celui-ci m’a beaucoup plus et j’en ai aimé la lecture car il y a beaucoup de mystère. Je l’ai lu rapidement car je voulais vite connaître le dénouement de l’histoire.

Je vous conseille de lire ce thriller parce que ce n’est pas un roman ennuyant. On se plonge très vite dans l’histoire, dès le début je me suis attachée aux personnages et aux mystères qui les entouraient.

 

Histoire d’escroquerie

Au revoir là haut est une comédie dramatique française sortie en 2017 et réalisée par Albert Dupontel, qui est également le scénariste et un des acteurs principaux du film. Tout au long du film Albert Dupontel ( autrement dit, Albert Maillard, le soldat dans le film ) explique son histoire à un officier de la gendarmerie. Le film est basé sur la fin de la Première Guerre mondiale et sur l’amitié entre Albert Maillard et Édouard Péricourt, qui est un fils de bonne famille dont le patriarche règne sur la classe politique parisienne.

L’intrigue se passe à Paris, la ville où habite Albert et Édouard. Après la guerre, suite à la défiguration d’Édouard à cause d’un obus lors du conflit, les deux hommes décident de monter ensemble une opération d’escroquerie, mais c’est sans compter sur le retour de Pradelle, leur ancien lieutenant ( qui terrifier tout le monde sur le front ) qui lui aussi est un escroc et qui est parvenu a intégrer la riche famille Péricourt…

A travers cette expérience de la guerre, on peut constater que de forts liens s’y crées, comme par exemple ici, entre les deux soldats. On a cette opinion dès le début du film quand Édouard risque sa vie pour sauver son ami, on peut retenir ici que toutes les bonnes actions finissent par être récompensées. En effet, Albert prend énormément soin de son ami et l’empêche de se suicider. L’auteur veut également nous faire comprendre que les escrocs et les mauvaises personnes finissent toujours par se faire avoir et que les escroqueries ne peuvent pas durer une éternité.

Ce film est génial ! Il dure quasiment deux heures, mais je vous assure qu’on ne voit pas le temps passer. A chaque fois, il y a une nouvelle intrigue qui fait que nous sommes entièrement plongés dans le film et qui nous amène même à nous poser des questions. Enfin bref, on ne s’ennuie jamais! En plus de ça, les acteurs jouent parfaitement bien leur rôle. Le film nous permet de voir un autre coté de la guerre : l’après guerre et les histoires d’escroqueries.

Valentine CAPRON, 1ère ES2

Cette mystérieuse nourrice

Chanson douce. Ce titre ne vous rappelle-t-il pas les comptines que vous chantaient vos parents quand vous étiez petits  ? Vous allez complètement être trompés, comme moi je l’ai été ! Quand Myriam et son mari engagent Louise comme nounou, ils pensent avoir tiré le gros lot : elle est parfaite. Elle va se montrer attentionnée avec les enfants et les parents, va parfaitement s’intégrer à la famille… jusqu’au drame !

Lequel ? Pour le savoir, plongez-vous dans la lecture !

J’ai beaucoup aimé lire ce livre, j’ai aimé le fait qu’il suscite en moi plusieurs émotions, arrivant, tantôt les unes après les autres, ou parfois toutes en même temps. Le mélange de violence, d’amour, de souffrance et de jalousie m’a glacé le sang ! Les tout premiers mots de ce roman, où l’auteur commence par « le bébé est mort », créent tout de suite un effet de suspense, rendent curieux et donne envie au lecteur de lire la suite. J’ai aimé en plus la présence de flash-back comme dans les films.

Ce roman est agréable à lire. C’est intéressant et épanouissant de lire une histoire qui nous plaît et nous procure de l’émotion. Par contre, ce qui arrive aux personnages est tellement triste et dramatique que l’on n’aimerait pas être à leur place !

L’histoire de cette famille m’a laissée sous le choc car peu de personnes se méfient et donnent trop rapidement leur confiance aux autres. La morale de cette histoire est qu’il faut toujours se méfier des apparences car cette nourrice était irréprochable, mais au final…

Slimani, Leïla. Chanson douce. Gallimard, 01-05-2018. 244 p.

 

 

Émeline Chaussiez, 1ST2S1

L’achèvement de ma douleur

Ce roman présente la vie, ou plutôt le combat, de Anne Bert, 59ans. Cette femme est atteinte de la maladie de Charcot, dite « Sclérose latérale amyotrophique ». C’est une histoire vraie, écrite par Anne Bert et c’est pour cela que ce livre m’a donnée envie de le lire.

Cette femme va tout au long de son œuvre évoquer l’annonce de sa maladie et son cheminement intérieur. Son histoire est vraiment touchante. Dans son  livre, Anne Bert fait une sorte de témoignage. Son discours porte sur « la liberté de choix ». Cela rend le livre encore plus poignant. Mais lorsque son livre a été publié, Anne Bert n’était déjà plus de ce monde… Elle a décidé du jour de sa mort, et pour cela, elle s’est rendue en Belgique pour se faire euthanasier.

Deux passage m’ont particulièrement plu et m’ont fait ressentir la vie dure qu’elle a surmontée. Lorsqu’elle énonce « Ma mise à mort est programmée ».  En effet sa maladie, la SLA, lui a tout pris. Son espérance de vie, ses projets, ses envies, son intégrité physique, son autonomie. Elle n’a plus sa liberté d’avant. Tout disparaît peu à peu. Après avoir profité de la fin de sa vie avec ses proches et les personnes qu’elle aime, elle décide de mourir, ce qui pour elle est l’ultime liberté qu’il lui reste. Elle souhaite mourir en paix avant d’être torturée par sa maladie.

Un autre passage m’a plu, lorsqu’elle écrit ses remerciements. Elle dit « Puisque la mort fait partie de la vie, à défaut d’être gaie, elle mérite d’être belle et non souffrante. »

Je recommande ce livre aux personnes qui aiment les histoires vraies. Ce livre est poignant, on s’attache vite à l’histoire et à son auteur.

https://www.liberation.fr/france/2017/10/02/anne-bert-la-fin-d-un-ete_1600422

Bert, Anne. Le tout dernier été. Fayard, 01-09-2017. 157 p.

                                                        Léa Martel. 1ST2S1

Une disparition, un couple accablé !

Un couple laisse sa fille de 6 mois seule chez eux, faute de pouvoir l’emmener au dîner chez les voisins auquel il est convié. Les deux parents se relayent toutes les demi-heures pour aller prendre de ses nouvelles… Jusqu’au moment où le bébé n’est plus là !!!

C’est ainsi que commence une histoire palpitante, pleine de rebondissements qui vous fera frissonner pour différentes raisons. Vous serez partagés entre votre mépris face à l’attitude des parents – Comment ont-ils pu laisser leur enfant seule ? – et l’attente de découvrir, enfin, le fin mot de l’histoire.

Est-ce un meurtre ou un kidnapping ? Que s’est-il réellement passé ?

Serait-ce pour de l’argent ou simplement par pure méchanceté ?

Ce que j’ai aimé dans ce thriller, c’est qu’il nous tient en haleine jusqu’à la fin et qu’il est impossible de savoir ce qui se trouve à la page suivante. Il pose énormément de questions pour lesquelles il faut patienter afin de connaître les réponses. En effet, ce que l’on pense savoir peut en réalité se révéler infondé.

De fait, le suspens est très présent, d’autant que l’auteur ménage bon nombre de rebondissements qui nous assurent des frissons : les secrets de cette famille et de ses voisins n’ont pas fini de nous étonner… Si vous voulez les découvrir, je vous conseille vivement de courir au CDI emprunter ce roman palpitant !

Lapena, Shari. Le couple d’à côté. Presses de la cité, 01-10-2017. 330 p

Caron Amélie, 1ère ST2S1

Le combat de l’obésité

P’tit gros est un roman qui parle d’un jeune garçon de 13 ans qui est obèse. Un jour il décide de vaincre l’obésité grâce à la boxe. Avec l’aide de son frère et de sa copine Julie, il va combattre l’obésité et essayer d’atteindre son rêve : devenir champion du monde de boxe !

Pour moi, ce livre est juste magnifique et émouvant, il nous montre le dur combat de la vie avec toutes les étapes qu’il peut y avoir à l’intérieur, qu’elles soient bonnes ou mauvaises. Même si ce roman parait volumineux au premier abord, il est très simple à lire et à comprendre, même pour quelqu’un qui n’aime pas lire .

Les thèmes qui sont abordés dans ce livre sont très pertinents et beaucoup de personnes peuvent s’identifier avec par exemple le thème du combat contre l’obésité ou encore la perte d’un proche très cher.

Pour ma part je ne trouve pas de points négatifs à ce roman. Il n’en ressort que du positif comme exemple le fait qu’il soit très émouvant, comme j’ai pu le dire au début de cette critique, ou encore la couverture qui nous montre directement les thèmes abordés, lesquels peuvent justement nous inciter à acheter ou emprunter ce livre. Pour mon cas personnel, j’ai été séduite avant même la lecture grâce à la quatrième de couverture.

Je donnerai quatre raisons pour vous inciter à acheter ou emprunter ce livre au CDI : il est fort émouvant, il est rempli de suspense, il est simple à lire, il s’articule autour d’une histoire vraie et beaucoup de personnes en surpoids peuvent s’identifier à ce jeune garçon. Pour ma part, j’ai réussi très facilement à m’identifier à lui et c’est un des aspects qui m’a rendu la lecture de ce livre plaisante.

Pour moi , ce roman est une très grande surprise, au bon sens du terme, j’ai complétement adoré et c’est un véritable coup de cœur ! C’est pour cela que je lui accorde la note de 5 étoiles.

Grelaud, Benoit. P’tit gros. Fleurus, 01-09-2017. 365 p.

Océane BOULLIER, 1ère ST2S1

Plus fort que la mort !

Dans ce roman, Tania, une jeune fille de 14, 15 ans, nous raconte naturellement le combat de sa mère contre la maladie puisqu’elle est atteinte d’un cancer. Elle nous raconte également les différents défis qu’elle s’est lancés. Son père les a quittées il y a quelques années pour une autre femme tandis que son frère, lui, est dans une école et ne rentre quasiment pas. Elles ne vivent alors qu’à deux. Tania nous explique la découverte du cancer de sa mère et les différentes étapes auxquelles elle doit faire face. Un sujet difficile mais l’auteure montre surtout les relations entre mère et fille, leurs mois de complicité et leur courage incroyable. Soudées pour surmonter cette épreuve, elles affrontent ce drame, ces souffrances, le regard des autres, toutes les deux – chacune à leur façon – avec leurs propres armes, mais ensemble. La situation ne prête pas à rire mais elle est pleine d’optimisme et de positive attitude.

J’ai apprécié la lecture du roman d’Anne Percin. C’est une histoire à ne pas rater, elle est à la fois émouvante et très réaliste et Anne Percin va introduire de l’humour pour qu’elle ne soit pas pesante. Je la recommande aux personnes qui sont malheureusement démunies devant la maladie d’un de leurs parents. Ce roman peut vous faire tenir bon et ne pas désespérer, il vous aidera à relever la tête ! C’est peu dire que j’ai beaucoup aimé ce récit !

https://www.infobae.com/horoscopo/2018/10/12/cancer-813/

Percin, AnneMa mère, le crabe et moi. Éditions du Rouergue, 01-09-2015. 126 p.

 Célia Verpraet, 1ST2S1

La nuit des révélations

L’Aube sera grandiose, écrit par Anne-Laure Bondoux, a été récompensé lors de la dernière édition du Prix vendredi. Malgré deux longues années d’écriture pour l’auteure, nous pouvons percevoir à travers les lignes de ce récit la joie et l’enthousiasme que celle-ci a mis pour écrire ce fabuleux roman.

Ce roman m’a tout simplement bouleversée ! Après n’avoir lu que dix pages, nous sentons déjà l’émotion des personnages, nous arrivons déjà à entrer dans leur peau. Chacun d’entre nous peut se comparer à l’un des protagonistes, que ce soit Rose-Aimée, Consolata, Orion, Octo ou même encore Vadim, Lulu et Pietro. Dans chaque individu nous pouvons reconnaître une partie de nous-mêmes.    

À la sortie du lycée, Nine (de son vrai prénom Antonine), 16 ans, est emmenée par sa mère Titania au fin fond d’une forêt sur les bords d’un lac. Après une longue nuit passée dans une cabane à attendre que l’aube se lève en écoutant sa mère lui exposer des histoires de famille, plus étranges les unes que les autres – celle de l’existence du père de Nine, les séparations familiales, les différentes vies de chacun, les histoires d’amour –  Nine comprend enfin la vraie vie de sa mère, Titania. C’est une vie extraordinaire, remplie de bouleversements que raconte la jeune femme. Rose-Aimée, sa grand-mère, a également fait face à de nombreuses épreuves dans sa vie après ses grossesses. Cette femme a souffert mais s’est toujours battue pour ses enfants. Même si cela a été dur, chacun d’entre eux a dû prendre des voies différentes pour une vie meilleure. C’est donc ce que nous raconte ce livre.

Il va falloir remonter le fil de la vie de Titania, bien avant la naissance de Nine, en passant par la vie de sa propre mère, pour comprendre le fond de cette fabuleuse histoire. C’est grâce à la vie de la mère de Titania que celle-ci a réussi à construire sa propre vie.

L’aube sera grandiose nous tient en haleine jusqu’à la fin. Entre péripéties et révélations surprenantes, Anne-Laure Bondoux a réussi en un seul livre à nous faire ressentir toutes les émotions humaines existantes. Elle parvient à nous faire croire que cette histoire est réelle. Nous sentons tellement la complicité entre les personnages que nous pourrions croire être assis à leur côtés dans la cabane !

Durant la lecture, nous nous prêtons également au jeu de la résolution des énigmes. L’histoire est tellement intrigante qu’on ne peut s’arrêter de lire. Cet ouvrage nous fait comprendre que personne ne peut savoir qui nous sommes réellement car tout le monde a ses secrets et nous seuls pouvons juger utile ou pas de les dévoiler.

Si vous êtes à la recherche d’une histoire remplie d’émotions mais aussi de suspense, je vous conseille fortement ce roman que j’ai agréablement lu et surtout adoré !

Source : https://o2.llb.be/image/thumb/5a007aeccd707514e89c4514.jpg

 

 

 Camila CHAUSSIEZ, 1ère ES2