Peut-on vivre au jour le jour pour notre idole?

Outre son nom étrange, Ex-Voto est une histoire bien sympathique, celle de Léa et Gus. Ce couple va retracer les étapes de son histoire. Une vie peut-être banale pour nous, avec ses soucis et ses petits bonheurs. Cette aventure commence par leur rencontre pour ensuite s’élancer dans un voyage lié à leur idole Johnny Bad Mood, chanteur de rock. Malgré leur manque de moyens financiers, ils réussissent à s’en sortir difficilement. Ils vivent dans la rue, trouvent des petits jobs pour se nourrir. Ils atterrissent ensuite dans une maison de vacance et vivent comme si cette maison leur appartenait pendant un bon moment jusqu’à ce que les vacanciers les surprennent. Ils vivent au jour le jour. A travers son livre, Xavier Durringer veut nous montrer une époque, les années 80, touchée par la crise.

source: http://isha.sadhguru.org/blog/lifestyle/relationships/one-couple-two-spiritual-paths/

Personnellement, j’ai beaucoup aimé cette pièce. Pour commencer elle est courte et facile à lire, en 1 heure vous l’aurez terminée ! Les personnages sont plutôt comiques avec quelques fois un langage un peu familier qui n’est pas trop dérangeant. Quand ils racontent leur passé, un lien se crée avec le lecteur. En effet, on entre totalement dans leur intimité et on s’attache aux personnages, c’est cela qui m’a fait accrocher à la pièce du début à la fin. Qui plus est, au fur et à mesure de l’histoire les deux personnages apprennent à survivre ensemble avec le peu de moyens qu’ils ont et ils y arrivent parfaitement, c’est ça qui est beau !

Durringer, Xavier. Ex-voto. Hatier, 2009. 89p.

Degognie Chloë 1L

Oubli

 

Cette pièce est une réécriture du Cendrillon que l’on connaît tous. Dans cette réécriture, une jeune fille perd sa mère, elle se réfugie dans le silence. Un jour son père l’emmène vivre chez sa nouvelle femme avec lui, ce qui n’est pas au goût de la jeune fille. Elle va devoir accepter ce que sa belle-mère va lui imposer sans rien dire. Tous les jours la jeune fille va répéter « je lui ai promis ». Mais promis quoi ? Je vous laisse le découvrir…

Dans cette pièce nous pouvons retrouver le déni, la tristesse ainsi que la peur de l’oubli d’une jeune fille.

Personnellement je n’aime pas cette réécriture.

Il y tout de même des points positifs. On peut en effet retrouver des aspects de la version originale de Cendrillon. Les sentiments de la jeune fille sont bien exprimés par ses paroles.

En revanche, je n’ai pas du tout aimé le vocabulaire qui est pour moi trop familier, je dirais même grossier et irrespectueux, de la jeune fille. Je n’ai non plus aimé la façon dont parle la jeune fille à son père car elle lui doit respect et elle lui dit de se taire de façon grossière… . Lors de ma lecture je la trouvais interminable et très ennuyante.

C’est donc pour cela que je ne donnerai qu’un étoile à cette pièce

Pommerat, JoëlCendrillonActes Sud, 01-06-2013. 162 p.

Sarah Flandrinck, 1èreL

Ce qu’on doit retenir

Un livre poignant que l’on ne va sans doute jamais oublier. Un monologue inoubliable, un texte à la montée dramatique et une accentuation de l’horreur. Pour l’histoire, il s’agit d’un fait réel survenu à Lyon en 2009. Un sdf se rend au magasin en début de soirée, ouvre une canette de bière et la boit. Il sera tabassé à mort par les vigiles du supermarché ! Le point le plus frustrant et révoltant de l’histoire et de savoir que cet événement est passé et qu’il est donc trop tard pour agir. Ce livre est donc un moyen de ne pas oublier cette affaire et de ne pas laisser passer pour normal cet acte inhumain. Une violence ascendante au fil de l’histoire, le narrateur est le frère de la victime ce qui nous touche d’autant plus par la proximité que nous avons l’impression d’avoir avec l’événement.

Source : https://rhinoceros.eu/2011/03/ce-que-j-appelle-oubli-de-laurent-mauvignier/

Personnellement j’ai beaucoup aimé l’histoire, nous avons toujours en tête le fait qu’il s’agisse d’un fait réel. J’ai accroché de la première ligne jusqu’à la dernière, le livre est court et entêtant. Nous devrions faire lire aux plus jeunes cette histoire car elle reflète malheureusement la violence dans le monde dans lequel on vit. Je ne sais que rajouter pour vous convaincre, tout est dans le texte, les mots employés, cette courte « fiction » sur ce fait divers bouleversant, alors je vais juste en citer une ligne :  « il ne sait pas quand vient la première claque sur le visage mais il sait que soudain on ne peut plus avancer, devant il y a un mur de conserves, il se retourne et esquive les premiers coups ».

Je dirais qu’il s’agit d’un magnifique texte qui fait réfléchir aux violences malheureusement omniprésentes dans notre société actuelle, à tout niveau. Il est important de mettre l’accent sur des faits divers, des actes d’une immense cruauté et qui reste trop peu cités. Un beau récit, simple et marquant, je vous le conseille vivement.

Mauvignier, LaurentCe que j’appelle oubli. Minuit, 01-12-2015. 61 p.

Charlotte Judas, 1ère L

L’importance des mots…

Une femme qui crie au beau milieu de la nuit en pleine rue, un homme qui vient à son secours. Il l’a raccompagne chez elle, elle se couche sur le canapé et l’homme lui parle tout au long de la pièce sans recevoir de réponse de sa part. Au fur et à mesure nous sommes confrontés au passé et au présent douloureux de cet homme mais aussi à une énorme interrogation : quel est l’événement qui a provoqué le hurlement de cette femme ?

Si l’histoire de la vie de cet homme est touchante et intéressante, je tiens à préciser que la fin de la pièce m’a laissé assez perplexe. En effet, nous sommes face à un monologue du début à la fin, sans savoir si cette femme lui racontera ce qui a provoqué son état de détresse. C’est à ce moment là qu’il faut laisser libre court à notre imagination, ce qui me déplait un peu et me laisse avec énormément de questions sans réponse.

Par ailleurs, j’aime beaucoup la façon dont est écrit la pièce, avec d’une part l’homme qui se parle et se pose des questions à lui même et d’autre part son inquiétude et sa sensibilité vis à vis de l’état de cette pauvre femme.

Je vous conseille de lire ce livre, il possède un côté poignant du début à la fin grâce à cet homme qui, bien que démuni, prend du temps pour porter secours à une personne qui semble en plein désarroi. Qui plus est, la fin qui ne nous livre pas toutes les réponses vous invitera à laisser libre court à votre imagination.

Image tirée du site: lacauselittéraire.fr et relative à la mise en scène de la pièce par Guillaume Béguin (article écrit par Marie du Crest le 25.10.17) .

Lecocq Marine, 1L

Corrélation entre bien et mal : quand la maladie les rassemble

Monsieur Blocq est condamné, une mort lente mais sûre l’attend. Dans un élan de fausse bonté, il cède ses biens, à savoir ses entreprises, à ses employés, cadeau qui se révèle empoisonné… Cependant une condition est à respecter : ils doivent créer un événement en l’honneur de leur patron (détesté) chaque année ! Et là c’est le hic : peu de gens sont pour cette idée de pièce de théâtre qu’Estelle a suggérée. C’est à reculons que les employés vont se contraindre à cette obligation, et ce, tout en étant pris dans la tourmente de ce que c’est que de gérer une entreprise…

M. Blocq, Estelle, Chi, Alain, Adeline, autant de personnages qui vous entraîneront dans cette histoire ubuesque où la mort, l’amour, le meurtre ou encore la maladie tiennent place de maîtres. Vous découvrirez une pièce de théâtre contemporaine qui vous surprendra autant par sa chute que par l’originalité de son histoire. Estelle est-elle vraiment celle que nous croyons ; une simple vendeuse à l’allure simple ? Cette histoire vous étonnera grandement !

Extrait de captation de  Ma chambre froide écrite et mise en scène par Joël Pommerat lui même : 

Source : Youtube – https://www.youtube.com/watch?v=vNtuPYTndWI

Mise en scène pour la représentation au théâtre de l’Odéon à Paris dans le cadre des Ateliers Berthier du 07 au 24 Juin 2012.

Même si l’histoire et la chute constituent des points forts, j’ai trouvé le vocabulaire trop familier. Certes nous nous situons dans la classe du prolétariat mais je ne trouve pas que ce vocabulaire donne une bonne image de cette classe. Même s’il démocratise le texte, je suis au regret de dire que celui-ci, peu conventionnel, m’a quelque peu dérangé, mais pas au point de me faire détester la pièce. Mais pourquoi celui-ci m’a-t-il dérangé ? Parce que je ne trouve pas qu’il soit destiné à un texte écrit. Peut-être à l’oral celui-ci passe mieux mais ici je ne trouve pas qu’il se justifie. Tout au plus, cela donne un aspect bourru au texte.

J’ai détesté la lourdeur de la pièce, le manque de légèreté, peut-être voulue, certes, mais que j’ai profondément haï ! Je n’aime pas cette espèce de tableau de la société actuelle, entre un prolétariat submergé de travail, les femmes rabaissées aux yeux de tous, la violence, et le patron sadique, riche à souhait qui utilise sa puissance pour en user auprès de sa salariée. Somme toute un tableau, pas si loin de notre réalité, mais… que de LOURDEUR !

Aussi on peut relever que le découpage des actes et des scènes peut parfois être perturbant pour un lecteur novice en matière de pièce de théâtre. Le fait de couper une scène tandis que celle ci n’est pas aboutie peut-être déstabilisant.

Pour résumé, j’ai trouvé cette pièce plaisante mais sans plus. J’ai apprécie l’histoire et l’écriture à juste titre mais ça n’a pas été un « coup de coeur ». Cependant celle-ci demeure intéressante, notamment par la mise en abyme théâtrale qui est au cœur de l’histoire.

Si vous voulez en apprendre plus sur cet auteur et metteur en scène qu’est Joël Pommerat : 

Pommerat Joël, Ma chambre froide, éditions Actes Sud.

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Marie-Jeanne DEMOLIN, 1èreL

Dans la solitude des champs de coton ou quand le commerce devient un échange d’idées…

Cette pièce nous plonge dans un univers qui lui est si particulier. Un quiproquo entre un dealer et un acheteur, qui tourne vite vers une surenchère d’idées, de principes, de valeurs et de fondamentaux. Vous, lecteurs, vous vous y reconnaîtrez, au détour d’une pensée, d’une idée…

L’injuste, le juste, l’illégal, le légal, la filiation, l’amitié, l’imprévisible, le désir, les sentiments : tant de thèmes abordés avec une approche originale, celle du quiproquo. D’une seule et simple querelle, nous, lecteurs, sommes projetés dans un univers à la réflexion subtile qu’elle soit de portée idéologique ou philosophique. Présence d’intéressants points de vue pour deux personnes que tout oppose et que les idées éloignent…

L’objet d’échange devient abstrait et non pas concret comme on aurait pu se l’imaginer. Histoires de désirs refoulés, qu’il soit question de l’objet concret ou de la pensée abstraite…

Ci-dessous différents extraits de vidéos montrant différentes mises en scène du texte initial :

Dans la solitude des champs de coton de Bernard-Marie Koltès, mise en scène par Roland Auzet.

https://www.youtube.com/watch?v=1BJeTyPR7EY

Dans la solitude des champs de coton de Bernard-Marie Koltès, mise en scène par Charles Berling.

Une écriture fine et un style unique ont su conquérir mon cœur. J’espère qu’il en sera de même pour vous ! Même si vous êtes réticent aux pièces de théâtre, vous serez subjugués par la beauté de l’écriture et les pensées véhiculées par le texte.

Bernard-Marie KOLTÈS disait :

« Faire du théâtre est la chose la plus superficielle, la plus inutile du monde, et du coup on a envie de la faire à la perfection. »

Je crois qu’avec cette pièce le pari est réussi. Maintenant à vous d’en juger…

Koltès, Bernard-Marie. Dans la solitude des champs de coton. Minuit, 2004. 60 p.

Marie-Jeanne DEMOLIN, 1èreL

Résultats Prix littéraire Carnot 2017

Ce samedi 10 juin a eu lieu la remise des récompenses pour les élèves méritants du lycée Carnot. Ce fut l’occasion de dévoiler le palmarès du Prix littéraire Carnot 2017 dont la thématique était le théâtre contemporain.

Les lauréats sont les suivants :

Concernant les critiques écrites

1er Prix : Valentine PRUVOT pour la critique Parce que c’était toi, un peu comme une évidence sur la pièce Ex-voto de Xavier DURRINGER

2ème Prix : Caroline KMIEC pour la critique La Rencontre du Blanc et du Noir sur la pièce Le Petit Chaperon rouge de Joël POMMERAT

3ème Prix : Aymeric IVARS pour la critique Au secours! Mon prof est un troll! sur la pièce Mon prof est un troll de Dennis KELLY

Concernant les présentations vidéos

1er Prix : Morjana OULMI et Clara RUMEAUX pour leur vidéo sur la pièce Juste la fin du monde de Jean-Luc LAGARCE

2ème Prix : Joris GUISELIN pour sa vidéo sur la pièce Occupe-toi du bébé de Dennis KELLY

3ème Prix : Gaëlle CHODOROWSKI et Chloé FAUQUEUR pour leur vidéo sur la pièce Screens de Sarah CARRÉ

Un grand bravo à eux et un grand MERCI à celles et ceux qui parmi vous ont pris de leur temps pour voter !  J’espère que leurs productions vous ont donné envie de lire les œuvres ou d’aller au théâtre…

Bonne fin d’année à vous et à l’année prochaine pour une nouvelle aventure littéraire !

Les lauréats 2017 !

M. DETEUF

Une vie tout à fait banale

Il y a 20 ans de cela, Estelle se fit passer pour une sœur dans un couvant. De nos jours, elle est polyvalente dans un magasin dont la chambre froide fonctionne une fois sur deux. Son entourage est aussi surprenant qu’elle, un frère meurtrier, un patron qui va l’obliger à tromper son mari, son mari retrouvé mort …

Représentation du 27 mars 2011 au Théâtre de l’Europe à Paris

Cette pièce de théâtre est très surprenante car de nombreuses péripéties viennent bouleverser la vie d’Estelle qui les accepte même si cela ne lui plait pas. On peut se rendre compte qu’elle est prête à tout pour garder son travail, que ce soit pour elle ou ses collègues. Estelle va être nommée « chef » de l’entreprise que son patron laisse à ses employés lorsqu’il apprend qu’il est malade et condamné à mourir. De plus cette pièce met aussi en avant le coté bipolaire d’Estelle. En effet celle-ci ce déguise en homme en ce faisant passer pour son propre frère et ceci va avoir un impact sur la relation qu’elle entretiendra avec ses collègues. Grâce a l’autorité qu’elle exerce sur eux en étant un homme, elle parvient à créer sa propre troupe de théâtre.

Cette pièce repose sur la thématique du changement. Selon Estelle, les hommes sont bons de nature, seules leurs idées sont mauvaises. Même si son patron est une ordure, elle ne le juge pas. De plus, nous pouvons aussi remarquer le comportement des employés qui change lorsque l’entreprise est entre leurs mains. Enfin la condition des femmes est mise en avant dans cette pièce puisque Estelle est battue par son mari, elle est peu respectée lorsqu’elle se présente telle qu’elle est et non sous les traits de son frère… On perçoit également les différentes places des autres femmes dans cette pièce. Alors selon vous, arriveriez vous à vivre dans un cadre de vie comme celui d’Estelle? 

Pommerat, Joël. Ma chambre froideActes Sud, 01-09-2011. 101 p.

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Fauqueur Chloé 1L

Ce village peu soudé

Dans un petit village, l’idiote trouve un nourrisson qui va bouleverser toute la petite communauté! Cependant personne ne veut s’occuper de ce bébé! Pourquoi? Au fur et à mesure nous apprenons les secrets cachés des habitants, lesquels sont révélés à cause ou grâce à ce bébé…

Dans cette pièce écrite en 2012, Carole Thibaut mélange mensonges, rumeurs, et le passé des personnages est au cœur de l’intrigue. Tout nous révèle que dans chaque personne ordinaire un monstre est enfoui. C’est par exemple le cas avec la mère du maire, femme envahissante qui ferait tout pour qu’aucune rumeur soit fondée sur son fils, quitte à se débarrasser du bébé.

On ressent cependant une atmosphère répétitive qui donne un côté monotone au texte. Celui-ci ne m’a pas vraiment plu et le manque de ponctuation renforce cette idée d’histoire interminable. Cette pièce met en avant la place du handicap dans la société et de la figure féminine. Certes je trouve que cela est très intéressant de mettre en avant la femme mais pas dans le contexte d’une communauté malfaisante qui peut faire ressentir un sentiment d’amertume, c’est ce qui ne m’a pas plu… Et vous, comment comprenez-vous cette pièce? 

                                                            L’enfant, Carole Thibaut Théâtre de la Tempête,Paris, 20 octobre 2012.

Cette pièce réaliste est assez dure à lire, on ne peut pas vraiment se concentrer sur le texte. On perd le fils de l’histoire au fur et à mesure. Mais peut-être vous en tirerez une certaine morale…

Thibaut, Carole. L’enfant : drame rural. Lansman Editeur, 01-06-2012. 91 p.

CHODOROWSKI Gaëlle, 1L

Au secours! Mon prof est un troll!

Max et Alice sont deux enfants qui, par des questions stupides, ont rendu folle leur professeure. Celle-ci ayant été placée dans un hôpital psychiatrique, il fallait donc lui trouver un remplaçant. La surprise fut de taille pour les élèves, comme pour les professeurs ! Car le nouveau directeur de l’école n’est autre qu’un troll…

Une lecture amusante, des illustrations enfantines, une histoire absurde et sortant de l’ordinaire, voilà les trois points qui, pour ma part, décrivent le livre de Dennis Kelly. C’est plaisant, absolument plaisant, et même si l’histoire paraît être dédiée aux enfants on s’y plonge avec le plus grand plaisir. Aux premiers abords cette pièce peut sembler simple d’accès mais elle cache une réelle complexité.

Le thème principal en est… la tolérance à la différence. En effet, le troll ne parle pas du tout le même langage que les enfants : il ne sait dire que des « AK AK AK AK!!!« . Alors, pour régler ses problèmes avec les enfants, il a trouvé la meilleure solution du monde : il va…. les MANGER. Certains passages nous  rappellent quant à eux la place de l’enfant dans le monde. Les élèves de l’école vont devoir travailler à la mine ce qui dénonce, d’une certaine manière, l’esclavage des enfants dans les pays étrangers.

Ce livre est une petite merveille. Il nous fait retomber en enfance, il nous fait rêver, et cette histoire, qui peut sembler absurde aux premiers abords, nous enchante merveilleusement bien. Une pièce que je conseille de lire… AU PLUS VITE !

Signé : AK AK AK AK !!!

Représentation de la pièce de théâtre à l’espace Courbet du quartier des Boiffiers, le 27.01.2017. 

Kelly, Dennis. Mon prof est un troll. L’Arche, 2010. 81 p.

IVARS Aymeric, 1ère Littéraire