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BTS synthèse sur la solitude positive
Pour préparer la synthèse, on repère les idées importantes de chaque document, afin de les confronter :
| Montaigne | Olivier Remaud | Sylvain Tesson | Gaspard Friedrich | Confrontation |
| Il faut vivre pour soi, ce qui est déjà difficile. | Vivre pour soi est déjà difficile. Tesson seul doit réorganiser ses journées, sa vie. | Vivre pour soi est déjà difficile | ||
| On a besoin de recueillement (appelé « retraite »), de moment de solitude | La vie en société, pleine de mouvement, incite à souhaiter des moments de solitude. | Personnage loin de la société. Retraite solitaire | On a besoin de recueillement, de moment de solitude | |
| Parce qu’on doit mourir un jour et être séparé des autres, autant s’y habituer en se retrouvant seul par moments. | Se préparer à la solitude, c’est se préparer à la mort | |||
| Il faut prendre du recul par rapport à notre vie, afin de ne pas souffrir si l’on perd quelque chose. | La solitude volontaire est souvent un intermède dans la vie sociale. Prendre du recul permet de mieux comprendre le monde. | On voit mieux le monde tel qu’il est quand on est seul. | Personnage au-dessus du monde > il le contemple et le voit tel qu’il est. | Prendre du recul en étant seul permet de mieux comprendre le monde. |
| Il faut se recentrer sur soi, sur ce sur quoi on a un pouvoir, un contrôle. | être seul permet de se recentrer sur soi (l21) | Il faut se recentrer sur soi. | ||
| Solitude et société vont ensemble et l’on a besoin des deux pour vivre. | Les Russes qui passent par des moments de léthargie solitaire et d’actions communes oscillent entre solitude et société. | Solitude et société ne sont pas contradictoires, mais vont ensemble. | ||
| La solitude temporaire est nécessaire. Elle sert de pause dans la vie sociale. | Voyageur immobile > pause solitaire | La solitude temporaire permet de faire une pause. | ||
| Importance de la nature, belle et majestueuse que l’on voit mieux quand on est seul. | Importance de la nature |
A partir de cette confrontation, on cherche une problématique et un plan :
Problématique possible : En quoi la solitude est-elle nécessaire ? En quoi est-elle positive ?
Plan choisi
I] La solitude est positive pour l’être humain
1) Nécessité du recueillement
2) Pause dans la vie sociale
II] La solitude est positive pour la société
1) Solitude et société vont ensemble
2) Prendre du recul permet de mieux comprendre le monde
Enfin on se lance dans la rédaction du devoir, en le structurant (paragraphes bien repérables par alinéas et sauts de lignes, emploi de connecteurs logiques).
| Introduction avec amorce + problématique + annonce du plan | Depuis l’adolescent qui s’enferme de longs moments dans sa chambre pour être seul, jusqu’aux adultes qui s’isolent volontairement de la société pendant des périodes plus ou moins longues, chacun a besoin de moments de solitude. On peut ainsi se demander en quoi la solitude peut être positive. Nous montrerons qu’elle l’est à la fois pour chaque homme, mais aussi pour la société.
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| Première partie en 2 paragraphes
Chaque § développe une idée et compare au moins deux documents. |
La solitude est une expérience positive car le recueillement apparait comme une nécessité. Montaigne dans ses Essais écrits en 1580 et publiés par GF Flammarion en 1998, insiste sur l’importance de s’écarter de la société et de profiter de moments en solitaire. Cela permet de mieux se connaitre. Olivier Remaud, dans son essai Solitude volontaire publié aux Editions Albin Michel, en 2017, évoque la même idée en montrant que l’homme a besoin de périodes de solitude, pendant lesquelles il s’éloigne des obligations sociales, afin de mieux se recentrer sur soi. Etre seul, penser à soi, pour soi, est donc un besoin.
Il est aussi bon pour l’homme de se retrouver seul, afin de faire une pause dans la vie sociale. En effet la vie en société multiplie les obligations familiales et professionnelles. Cela fait du bien par moments d’arrêter le mouvement, la ronde dans laquelle la société nous entraîne. Cette idée est évoquée par Olivier Remaud qui rappelle que nombreux sont ceux qui choisissent de s’isoler volontairement de manière temporaire. On la retrouve aussi dans le tableau de Caspar David Friedrich, Le Voyageur contemplant une mer de nuages, réalisé en 1818. Le personnage représenté par le peintre, dans une position qui suggère son immobilité, fait une pause solitaire et contemplative, comme l’annonce le titre. Faire une pause à l’écart de la société semble donc positif pour chacun.
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| Phrase de transition | S’il est vrai que la solitude est positive pour l’homme car elle permet de se recentrer sur soi-même et se remettre des fatigues de la vie sociale, elle est positive aussi pour la société.
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| 2° partie en 2 paragraphes
Chaque § développe une idée et compare au moins deux documents. |
En effet comme le fait remarquer l’essayiste Olivier Remaud, solitude et société vont ensemble, et l’on a besoin des deux pour vivre. Ces deux notions ne sont pas contradictoires. Nous ne profitons bien de la solitude que si nous faisons partie intégrante de la société. C’est parce que nous vivons des moments intenses et mouvementés socialement que nous ressentons le besoin régulier de nous ressourcer temporairement dans la solitude. Inversement, vivre seul longtemps et de manière subie serait insupportable. Sylvain Tesson, dans son livre « Dans les forêts de Sibérie« , publié en 2011 aux éditions Gallimard, collection « Blanche », évoque des Russes qui peuvent servir d’exemple à cette association solitude / société. Ceux-ci sont capables de passer de moments en léthargie solitaire, assis à ne rien faire, à observer ou méditer. Puis tout-à-coup, ils se lèvent et se retrouvent pour des actions communes et solidaires. Ils sont un exemple type de l’oscillation nécessaire entre solitude et société. La solitude apparait alors comme une nécessité aussi pour que la vie sociale soit harmonieuse.
Mais la solitude apporte encore quelque chose de plus. Elle permet à l’homme de mieux comprendre le monde qui l’entoure. C’est ce que veut dire Montaigne lorsqu’il montre l’importance de prendre du recul par rapport à notre vie, afin de ne pas souffrir si l’on perd quelque chose ou quelqu’un. Etre seul offre à l’homme des temps de réflexion sur la vie, la mort, et notre rapport aux êtres et aux choses. Cela permet de mieux comprendre le monde pour mieux vivre. L’idée se retrouve chez Renaud, qui souligne à quel point la solitude permet d’observer la société et de mieux en comprendre les rouages, et aussi chez Tesson qui avoue ne plus voir le paysage de la même manière à partir du moment où il se retrouve seul. La solitude offre à l’homme des occasions d’observer et d’analyser le monde afin de mieux le comprendre.
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| Conclusion
avec bilan et ouverture |
La solitude apparait donc comme une nécessité pour chacun, car elle permet de faire une pause dans le tourbillon de la vie sociale. Cette pause individuelle est positive et productive pour la société, puisqu’elle permet à chacun de se ressourcer et de mieux comprendre le monde, pour ensuite de nouveau participer à l’œuvre sociale. On peut se demander quelles activités en solitaire sont les plus propices à un épanouissement personnel.
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Dans chaque paragraphe, on trouve : – une idée développée / – la référence à un document / – la référence à un deuxième document. Exemple :
La solitude est une expérience positive car le recueillement apparait comme une nécessité. Montaigne dans ses Essais écrits en 1580 et publiés par GF Flammarion en 1998, insiste sur l’importance de s’écarter de la société et de profiter de moments en solitaire. Cela permet de mieux se connaitre. Olivier Remaud, dans son essai Solitude volontaire publié aux Editions Albin Michel, en 2017, évoque la même idée en montrant que l’homme a besoin de périodes de solitude, pendant lesquelles il s’éloigne des obligations sociales, afin de mieux se recentrer sur soi. Etre seul, penser à soi, pour soi, est donc un besoin.
BTS sujet 2019 l’écriture personnelle
Selon vous, notre société nous rend-elle solidaires ?
Analyse du sujet
Qui ?
- notre société / nous
Quoi ?
- idée de solidarité, d’entraide, de mis en commun
- « nous rend » veut dire « fait devenir », suppose qu’on ne l’est pas de base
- Oui / non : peser le pour et le contre
Où ?
- en France (notre société)
Quand ?
- à notre époque
Pourquoi ?
- intérêt financier des actions solidaires
- intérêt écologique
- intérêt social
Comment ?
- réseaux sociaux / espaces numériques collaboratifs
- systèmes collaboratifs (coworking, covoiturage, habitats partagés…)
Présentation de la problématique dans l’introduction
Soit directement :
Notre société nous rend-elle solidaire ?
> point d’interrogation + inversion sujet-verbe
Soit indirectement :
Nous allons nous demander si notre société nous rend solidaire.
> affirmation en début de phrase puis question dans une subordonnée.
Attention si vous reformulez la question !
On fait d’abord apparaitre la question du sujet dans son intro
Ensuite on peut la reformuler (pas obligatoire)
Dans ce cas ATTENTION ! Ne pas transformer ou restreindre la question !
Annonce du plan dans l’introduction :
– nuancer le propos pour paraitre plus cohérent
Dans la première partie nous verrons que la société nous rend solidaires et dans la deuxième partie nous verrons qu’elle ne nous rend pas solidaires. = maladroit à corriger
> Dans la première partie nous verrons que certains aspects de la société nous rendent solidaires. Dans une deuxième partie nous montrerons cependant que d’autres aspects de cette même société incitent à l’individualisme voire à l’égoïsme.
Emploi de nous / on
Dans une phrase, on ne mélange pas 1° et 3° personne
Est-on obligé de se priver des autres ?
Ou
Sommes-nous obligés de nous priver des autres ?
Dans chaque paragraphe, importance d’exemples référencés
On reprend au moins un exemple du corpus
+ des exemples de sa culture personnelle (notamment ce qui a été vu dans l’année) : livres, films…
Dans la conclusion, on répond à la question posée !
On répond précisément, en donnant son avis tranché.
BTS sujet 2019 tableau de synthèse des documents
Pour voir le sujet de mai 2019 cliquer ici
Pour voir les éléments de corrigé pour la synthèse, cliquer ici
Ci-dessous je vous propose un exemple de tableau de synthèse.
On remplit son tableau en lisant le premier document. (= première colonne)
Puis en lisant le 2° document on note les idées en les plaçant en face d’idées semblables (ou contradictoires) du 1er document.
On fait la même chose jusqu’au dernier document. Puis on confronte pour trouver les idées communes, point de départ d’un plan.
| Doc 1 Daudey et Hoibian
la société collaborative |
Doc 2 Andreani-Facchin et Mestres le coworking | Doc 3 Giono lettre aux paysans sur société et paix | doc 4 Illustration de Libé
Malingrey le covoiturage |
Confrontation |
| Titre > essai qui prévoie de faire le point et corriger les préjugés sur ce qu’est une société collaborative | ||||
| Vrai : de + en + de pratiques collabo dans notre société (covoit°, achat entre part°…) | ||||
| Pratiques associées à certaines croyances | ||||
| 1 croyance collabo° = solution à tous les pb (environnement, économie, social) | ||||
| Autre croyance collabo° = risque de tout monnayer même l’entraide | ||||
| autre croyance collabo° = économie + sociale car suppose que les gens donnent d’eux-mêmes mais c’est faux | ||||
| enquête CREDOC les gens participent surtout pour gagner de l’argent (67%) | ||||
| +sieurs auteurs cités considèrent que les pratiques participatives fonctionnent très bien dans société capitaliste et/ou individualiste | ||||
| autre idée fausse : collabora° renforce liens sociaux
cela dépend de l’activité ( achats et association) |
||||
| Faux de croire qu’échanger du matériel crée du lien. Svt sur sites qu’on ne fait qu’utiliser sans coopérer |
Sujet BTS 2019
| Doc 1 Daudey et Hoibian
la société collaborative |
Doc 2 Andreani-Facchin et Mestres le coworking | Doc 3 Giono lettre aux paysans sur société et paix | doc 4 Illustration de Libé
Malingrey le covoiturage |
Confrontation |
| Titre > essai qui prévoie de faire le point et corriger les préjugés sur ce qu’est une société collaborative | ||||
| Vrai : de + en + de pratiques collabo dans notre société (covoit°, achat entre part°…) | de + en + de coworking en France : bureaux partagés multipliés par 8 en 5 ans | |||
| Pratiques associées à certaines croyances | Pratiques associées à certaines croyances : c’est l’avenir | |||
| 1 croyance collabo° = solution à tous les pb (environnement, économie, social) | ||||
| Autre croyance collabo° = risque de tout monnayer même l’entraide | Ex concret Mélissa : il faut payer pour travailler avec d’autres +tôt que rester seul | |||
| autre croyance collabo° = économie + sociale car suppose que les gens donnent d’eux-mêmes mais c’est faux | ||||
| enquête CREDOC les gens participent surtout pour gagner de l’argent (67%) | ||||
| +sieurs auteurs cités considèrent que les pratiques participatives fonctionnent très bien dans société capitaliste et/ou individualiste | ||||
| autre idée fausse : collabora° renforce liens sociaux
cela dépend de l’activité ( achats et association) |
– Description d’un espace de coworking pensé pour permettre les échanges
– Ex concret Pierre ce n’est qu’un plus mais pas l’essentiel |
|||
| Faux de croire qu’échanger du matériel crée du lien. Svt sites utilisés sans coopérer | Ex concret Mélissa : Bcp utilisent l’espace coworking pour travailler sans coopérer |
Sujet BTS 2019
| Doc 1 Daudey et Hoibian
la société collaborative |
Doc 2 Andreani-Facchin et Mestres le coworking | Doc 3 Giono lettre aux paysans sur société et paix | doc 4 Illustration de Libé
Malingrey le covoiturage |
Confrontation |
| Titre > essai qui prévoie de faire le point et corriger les préjugés sur ce qu’est une société collaborative | Opposition de 2 modes de vie > comparaison économie individualiste et collaborative | |||
| Vrai : de + en + de pratiques collabo dans notre société (covoit°, achat entre part°…) | de + en + de coworking en France : bureaux partagés multipliés par 8 en 5 ans | le travail est devenu collabo° : ex chacun fait une part de fabrication d’1 chaussure | ||
| Pratiques associées à certaines croyances | Pratiques associées à certaines croyances : c’est l’avenir | |||
| 1 croyance collabo° = solution à tous les pb (environnement, économie, social) | l’ex de Giono montre que la collabo crée la précarité | |||
| Autre croyance collabo° = risque de tout monnayer même l’entraide | Ex concret Mélissa : il faut payer pour travailler avec d’autres +tôt que rester seul | |||
| autre croyance collabo° = économie + sociale car suppose que les gens donnent d’eux-mêmes mais c’est faux | son père donne + de lui-m seul à faire la chaussure qu’1 ouvrier qui répète le même geste | |||
| enquête CREDOC les gens participent surtout pour gagner de l’argent (67%) | ||||
| +sieurs auteurs cités considèrent que les pratiques participatives fonctionnent très bien dans société capitaliste et/ou individualiste | ||||
| autre idée fausse : collabora° renforce liens sociaux
cela dépend de l’activité ( achats et association) |
– Description d’un espace de coworking pensé pour permettre les échanges
– Ex concret Pierre ce n’est qu’un plus mais pas l’essentiel |
le système Bata enferme l’ouvrier dans un lieu, un système / le père de G était + libre | ||
| Faux de croire qu’échanger du matériel crée du lien. Svt sites utilisés sans coopérer | Ex concret Mélissa : Bcp utilisent l’espace coworking pour travailler sans coopérer |
Sujet BTS 2019
| Doc 1 Daudey et Hoibian
la société collaborative |
Doc 2 Andreani-Facchin et Mestres le coworking | Doc 3 Giono lettre aux paysans sur société et paix | doc 4 Illustration de Libé
Malingrey le covoiturage |
Confrontation |
| Titre > essai qui prévoie de faire le point et corriger les préjugés sur ce qu’est une société collaborative | texte qui casse l’idée trop idéalisée du coworking | Opposition de 2 modes de vie > comparaison économie individualiste et collaborative | dessin qui illustre idées sur le covoiturage | |
| Vrai : de + en + de pratiques collabo dans notre société (covoit°, achat entre part°…) | de + en + de coworking en France : bureaux partagés multipliés par 8 en 5 ans | le travail est devenu collabo° : ex chacun fait une part de fabrication d’1 chaussure | ex le covoiturage | |
| Pratiques associées à certaines croyances | Pratiques associées à certaines croyances : c’est l’avenir | |||
| 1 croyance collabo° = solution à tous les pb (environnement, économie, social) | l’ex de Giono montre que la collabo crée la précarité | 1 seule voiture qui pollue (fumée) pour 18 personnes / coût partagé (billet) / mixité sociale ( couleurs de peau) | ||
| Autre croyance collabo° = risque de tout monnayer même l’entraide | Ex concret Mélissa : il faut payer pour travailler avec d’autres +tôt que rester seul | |||
| autre croyance collabo° = économie + sociale car suppose que les gens donnent d’eux-mêmes mais c’est faux | son père donne + de lui-m seul à faire la chaussure qu’1 ouvrier qui répète le même geste | Le chauffeur n’a pas l’air très à l’aise | ||
| enquête CREDOC les gens participent surtout pour gagner de l’argent (67%) | Peut-être fait-il cela pour l’argent (billet comme une carotte) | |||
| +sieurs auteurs cités considèrent que les pratiques participatives fonctionnent très bien dans société capitaliste et/ou individualiste | bijoux, vêtements, sac à main renvoient à société de consommation | |||
| autre idée fausse : collabora° renforce liens sociaux
cela dépend de l’activité ( achats et association) |
– Description d’un espace de coworking pensé pour permettre les échanges
– Ex concret Pierre ce n’est qu’un plus mais pas l’essentiel |
le système Bata enferme l’ouvrier dans un lieu, un système / le père de G était + libre | Nbx personnages mais qui ne se regardent pas ; ils regardent devant (leur point d’arrivée) | |
| Faux de croire qu’échanger du matériel crée du lien. Svt sites utilisés sans coopérer | Ex concret Mélissa : Bcp utilisent l’espace coworking pour travailler sans coopérer |
Sujet BTS 2019
| Doc 1 Daudey et Hoibian
la société collaborative |
Doc 2 Andreani-Facchin et Mestres le coworking | Doc 3 Giono lettre aux paysans sur société et paix | doc 4 Illustration de Libé
Malingrey le covoiturage |
Confrontation |
| Titre > essai qui prévoie de faire le point et corriger les préjugés sur ce qu’est une société collaborative | texte qui casse l’idée trop idéalisée du coworking | Opposition de 2 modes de vie > comparaison économie individualiste et collaborative | dessin qui illustre idées sur le covoiturage | 4 documents qui opposent idéal et réalité sur une société collaborative |
| Vrai : de + en + de pratiques collabo dans notre société (covoit°, achat entre part°…) | de + en + de coworking en France : bureaux partagés multipliés par 8 en 5 ans | le travail est devenu collabo° : ex chacun fait une part de fabrication d’1 chaussure | ex le covoiturage | constat notre société pratique la collaboration |
| Pratiques associées à certaines croyances | Pratiques associées à certaines croyances : c’est l’avenir | la collaboration peut avoir effets positifs | ||
| 1 croyance collabo° = solution à tous les pb (environnement, économie, social) | l’ex de Giono montre que la collabo crée la précarité | 1 seule voiture qui pollue (fumée) pour 18 personnes / coût partagé (billet) / mixité sociale ( couleurs de peau) | collaborer peut être une réponse à certains pb | |
| Autre croyance collabo° = risque de tout monnayer même l’entraide | Ex concret Mélissa : il faut payer pour travailler avec d’autres +tôt que rester seul | mais risque de tout monnayer | ||
| autre croyance collabo° = économie + sociale car suppose que les gens donnent d’eux-mêmes mais c’est faux | son père donne + de lui-m seul à faire la chaussure qu’1 ouvrier qui répète le même geste | Le chauffeur n’a pas l’air très à l’aise | pas sûr que les gens donnent plus d’eux-m en collaborant | |
| enquête CREDOC les gens participent surtout pour gagner de l’argent (67%) | Peut-être fait-il cela pour l’argent (billet comme une carotte) | collaboration souvent pour raisons financières | ||
| +sieurs auteurs cités considèrent que les pratiques participatives fonctionnent très bien dans société capitaliste et/ou individualiste | bijoux, vêtemenst, sac à main renvoient à société de consommation | société capitaliste et fctmt collaboratif sont compatibles | ||
| autre idée fausse : collabora° renforce liens sociaux
cela dépend de l’activité ( achats et association) |
– Description d’un espace de coworking pensé pour permettre les échanges
– Ex concret Pierre ce n’est qu’un plus mais pas l’essentiel |
le système Bata enferme l’ouvrier dans un lieu, un système / le père de G était + libre | Nbx personnages mais qui ne se regardent pas ; ils regardent devant (leur point d’arrivée) | cela peut créer des liens sociaux mais pas toujours |
| Faux de croire qu’échanger du matériel crée du lien. Svt sites utilisés sans coopérer | Ex concret Mélissa : Bcp utilisent l’espace coworking pour travailler sans coopérer | même idée |
BTS : création d’un vrai/faux sur la synthèse de documents
Test créé par les BTS ATI 2 scolaires, pour réviser la méthode concernant l’épreuve de synthèse de documents :
| Affirmation concernant la méthode de synthèse : | Vrai ou faux ? |
| La synthèse se rédige en un seul paragraphe.
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| Il faut passer des lignes et mettre un alinéa à chaque changement de §
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| Il y a plus de 5 parties dans l’introduction
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|
| On peut citer une phrase d’un document.
|
|
| On doit reformuler les idées des documents.
|
|
| On doit donner un avis personnel.
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|
| On ne traite pas tous les documents.
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|
| On peut citer un document extérieur au corpus.
|
|
| On peut utiliser une encre claire.
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|
| Il y a un nombre limité de pages à produire.
|
|
| Faire des fautes d’orthographe ou de syntaxe est pénalisé.
|
|
| Il faut organiser ses idées au brouillon.
|
|
| Au début de l’épreuve, il faut vérifier le nombre de pages du sujet.
|
|
| Il faut énoncer une problématique.
|
|
| Il faut confronter les idées contenues dans les documents.
|
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| La conclusion n’est pas obligatoire.
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| Il faut nommer les auteurs et les titres des documents.
|
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| On doit utiliser un document dans plusieurs parties.
|
|
| On doit utiliser une même idée plusieurs fois.
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|
| Chaque paragraphe doit avoir un titre.
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|
| Ce plan est correct :
I. Des individus en quête de solidarité [causes] 1 Entraide économique 2 Besoin de liens 3 Volonté de créer ensemble II. Les failles de la société collaborative [conséquences] 1 Limites dues aux intérêts particuliers et égoïstes 2 Difficultés à créer ensemble 3 Mal être. |
Correction
| Affirmation concernant la méthode de synthèse
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Vrai ou faux ? |
| La synthèse se rédige en un seul paragraphe.
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Faux
Il faut organiser son travail : introduction, développement, conclusion. Le développement est lui-aussi divisé en paragraphes.
|
| Il faut passer des lignes et mettre un alinéa à chaque changement de §
|
Vrai
Cela permet au correcteur (et à vous aussi) de bien visualiser la manière dont la synthèse est organisée. |
| Il y a plus de 5 parties dans l’introduction
|
Faux
Une introduction est un seul paragraphe contenant 4 éléments : une phrase d’amorce, une phrase de présentation des documents, une annonce de la problématique choisie et une annonce du plan.
|
| On peut citer une phrase d’un document.
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Faux !
On doit reformuler les idées contenues dans les documents. |
| On doit reformuler les idées des documents.
|
Vrai
On exprime les idées contenues dans les documents en employant ses propres mots.
|
| On doit donner un avis personnel.
|
Faux
Une synthèse présente uniquement les idées et exemples contenus dans les documents.
|
| On ne traite pas tous les documents.
|
Faux
La synthèse doit présenter tous les documents sans exception ! |
| On peut citer un document extérieur au corpus.
|
Faux
Une synthèse présente uniquement les idées et exemples contenus dans les documents.
|
| On peut utiliser une encre claire.
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Faux, à éviter
Les copies sont scannées et la correction se fait en format numérique. Rendez le travail du correcteur plus facile grâce à une écriture lisible avec une encre foncée qui passera bien au scan.
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| Il y a un nombre limité de pages à produire.
|
Faux
Il n’y a pas de norme de longueur. Cependant soyez raisonnable : un travail trop court ne rendra pas compte de toutes les idées essentielles des documents. Un travail trop long n’est plus une synthèse et sera chronophage, alors qu’il faut ensuite rédiger une réflexion personnelle.
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| Faire des fautes d’orthographe ou de syntaxe est pénalisé.
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Vrai
A l’épreuve de mai 2019, 12 points sur 40 portaient sur la rédaction de la synthèse : respect des codes de l’écrit (écriture, ponctuation, orthographe, conjugaison) et de la syntaxe (construction de vos phrases)
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| Il faut organiser ses idées au brouillon.
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Vrai
A l’épreuve de mai 2019, 12 points sur 40 portaient sur l’organisation de la synthèse. Seul un travail préalable au brouillon permet de structurer sa synthèse en décidant d’un plan, en prévoyant dans quel paragraphe vous parlerez de quels documents.
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| Au début de l’épreuve, il faut vérifier le nombre de pages du sujet.
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Vrai
On vérifie que le document distribué correspond bien à l’épreuve prévue et qu’il est complet. |
| Il faut énoncer une problématique.
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Vrai
La confrontation des idées des différents documents doit vous amener à trouver une question portant sur un thème commun aux documents. Cette problématique sert de fil conducteur pour construire le plan de la synthèse.
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| Il faut confronter les idées contenues dans les documents.
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Vrai
Chaque paragraphe doit confronter au moins deux documents : selon le plan choisi, vous pouvez montrer qu’une même idée se trouve dans deux documents ou bien que deux documents s’opposent ou bien qu’un document en complète un autre, ou encore qu’un document sert d’illustration à une idée contenue dans un autre …
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| La conclusion n’est pas obligatoire.
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Faux
La conclusion est nécessaire pour répondre à la problématique posée en introduction, en reprenant les principales idées développées dans les grands axes de votre plan.
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| Il faut nommer les auteurs et les titres des documents.
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Vrai
Il est important de préciser les références exactes du document évoqué la première fois. Il faut toujours préciser dans quel document se trouve l’idée que vous reformulez.
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| On doit utiliser un document dans plusieurs parties.
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Vrai
Un document contient plusieurs idées importantes, donc cela suppose d’en parler dans plusieurs paragraphes, toujours en le confrontant avec au moins un autre document.
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| On doit utiliser une même idée plusieurs fois.
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Faux
Une synthèse nécessite d’être efficace dans la présentation des idées. Il est inutile et contreproductif de parler d’une même idée dans deux paragraphes différents de son devoir.
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| Chaque paragraphe doit avoir un titre.
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Faux
Votre synthèse est entièrement rédigée. Ce sont la typographie (passage à la ligne, alinéa…) et l’emploi de mots de liaison qui permettent de repérer l’organisation de votre devoir.
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| Ce plan est correct :
Introduction I. La société collaborative, un engouement actuel 1 Une rupture avec les fonctionnements anciens (économie capitaliste ; travail hiérarchisé) 2 Succès de nombreuses formes nouvelles de collaboration II. Des individus en quête de solidarité [causes] 1 Entraide économique 2 Besoin de liens 3 Volonté de créer ensemble III. Les failles de la société collaborative [conséquences] 1 Limites dues aux intérêts particuliers et égoïstes 2 Difficultés à créer ensemble 3 Mal être. Conclusion |
Vrai
Ce plan est fait au brouillon et sert ensuite à rédiger sa synthèse.
Ce plan proposé à gauche est très complet. Un plan plus court est possible avec une intro, une conclusion, un développement en deux grands axes de deux ou trois paragraphes chacun. [intro I) 1)2) II)1)2) concl] |
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