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Méthode de commentaire à partir du texte « Bêtes » de Voltaire

Pour réussir son commentaire :

– il faut prendre le temps d’étudier le texte !

1 découverte du texte

– Première lecture pour une compréhension globale. Souligner les mots incompris.

– Relecture, tenter de comprendre les mots soulignés en s’aidant du contexte.

2 étude du texte (même méthode que pour l’explication linéaire)

Au choix : par un tableau, ou des marginalia, ou une prise de notes

Dans tous les cas : associer des citations courtes, à une analyse et à une interprétation.

Interpréter, c’est montrer ce que veut dire l’auteur, on va plus loin que ce qu’il dit.

On étudie comment il le dit.

3 recherche d’un plan précis

Contrairement à l’explication linéaire, qui suit l’ordre du texte, le commentaire cherche à organiser les idées.

Il faut prévoir les grands axes et leurs sous-parties !

(2 ou 3 axes, de 2 ou 3 paragraphes chacun > au moins 6 paragraphes de développement)

Il faut aussi choisir une problématique.

4 on rédige

-d’abord l’introduction (en un seul paragraphe !)

Une amorceDe nombreux philosophes des Lumières ont cherché au XVIII° siècle à faire évoluer les mentalités.
Une présentation du texte (auteur, titre, date de parution, contenu)C’est dans ce cadre que Voltaire a écrit son Dictionnaire philosophique, en 1764. Dans son article « bêtes », il réfute la théorie de Descartes selon laquelle les animaux seraient des machines.
Une problématiqueNous nous demanderons comment Voltaire démonte la théorie de Descartes.
L’annonce d’un planPour cela nous verrons d’abord… Nous montrerons ensuite ..

– puis la conclusion au brouillon (réponse à la problématique en reprenant les idées des grands axes + ouverture)

– on rédige le développement en suivant précisément son plan.

Chaque paragraphe commence par présenter l’idée. Puis on s’appuie sur des citations courtes analysées pour développer son interprétation.

On pense à faire des transitions.

On soigne l’écriture pour faciliter la lecture de la copie. On soigne la syntaxe (forme des phrases) et l’orthographe ! C’est un devoir de français, donc il faut montrer sa maîtrise du langage.

Texte entrainement au commentaire : Bêtes de Voltaire

Voltaire s’attaque dans cet article à la théorie élaborée par Descartes selon laquelle les animaux sont des ” machines “.

B Ê T E S

Quelle pitié, quelle pauvreté, d’avoir dit que les bêtes sont des machines privées de connaissance et de sentiment, qui font toujours leurs opérations de la même manière, qui n’apprennent rien, ne perfectionnent rien, etc. !

Quoi ! cet oiseau qui fait son nid en demi-cercle quand il l’attache à un mur, qui le bâtit en quart de cercle quand il est dans un angle, et en cercle sur un arbre ; cet oiseau fait tout de la même façon ? Ce chien de chasse que tu as discipliné pendant trois mois n’en sait-il pas plus au bout de ce temps qu’il n’en savait avant les leçons ? Le serin à qui tu apprends un air le répète-t-il dans l’instant ? n’emploies-tu pas un temps considérable à l’enseigner ? n’as-tu pas vu qu’il se méprend et qu’il se corrige ?

Est-ce parce que je te parle que tu juges que j’ai du sentiment, de la mémoire, des idées ? Eh bien ! je ne te parle pas ; tu me vois entrer chez moi l’air affligé, chercher un papier avec inquiétude, ouvrir le bureau où je me souviens de l’avoir enfermé, le trouver, le lire avec joie. Tu juges que j’ai éprouvé le sentiment de l’affliction et celui du plaisir, que j’ai de la mémoire et de la connaissance.

Porte donc le même jugement sur ce chien qui a perdu son maître, qui l’a cherché dans tous les chemins avec des cris douloureux, qui entre dans la maison, agité, inquiet, qui descend, qui monte, qui va de chambre en chambre, qui trouve enfin dans son cabinet le maître qu’il aime, et qui lui témoigne sa joie par la douceur de ses cris, par ses sauts, par ses caresses.

Des barbares saisissent ce chien, qui l’emporte si prodigieusement sur l’homme en amitié ; ils le clouent sur une table, et ils le dissèquent vivant pour te montrer les veines mésaraïques[1]. Tu découvres dans lui tous les mêmes organes de sentiment qui sont dans toi. Réponds-moi, machiniste, la nature a-t-elle arrangé tous les ressorts du sentiment dans cet animal, afin qu’il ne sente pas ? a-t-il des nerfs pour être impassible ? Ne suppose point cette impertinente contradiction dans la nature.

Dictionnaire philosophique, article ” Bêtes “, Voltaire, 1764


[1] Veine qui recueille le sang du gros intestin

Oeuvres étudiées en 1G3

Tu vas passer en fin d’année scolaire une épreuve écrite et une épreuve orale de français. Chacune compte coefficient 5 pour l’obtention du Baccalauréat.

Afin que tu puisses préparer ces épreuves, merci de te procurer rapidement les œuvres suivantes en respectant les éditions choisies.

Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne, Olympe de Gouges, Etonnants Classiques, Flammarion, 2,50€

Sido suivi de Les Vrilles de la vigne, Colette, Les classiques pédago, Le livre de poche, 6,20€

Cahier de Douai, Arthur Rimbaud, Folio+lycée, 3€

Le Malade imaginaire, Molière, Classiques & Cie lycée, Hatier, 2,95€

Les épreuves de Français au Baccalauréat Général

Voici plusieurs présentations schématiques des épreuves.

Afin d’avoir une vue complète des épreuves, cliquez ici

A l’écrit, vous aurez le choix entre une dissertation ou un commentaire composé.

Pour réussir la dissertation, cliquez ici

Pour connaître la méthode à suivre pour le commentaire composé, cliquez là.

A l’oral vous devrez effectuer l’explication linéaire d’un texte, répondre à une question de grammaire puis présenter une œuvre et dialoguer avec l’examinateur sur celle-ci. Pour découvrir comment gérer la première partie de l’oral c’est ici, pour savoir aborder  la deuxième partie c’est là.

Pour lire le programme complet du Français en Première, cliquez sur ce lien :  Programme français 1ere

 

 

« Je me présente »

Travail personnel

Durée : 30 minutes

En m’aidant du schéma ci-dessous, je note et classe au brouillon les informations que je veux donner sur moi. (pas plus de 10mn)

Puis, dans un texte d’au moins 20 lignes écrit directement sur une copie, je me présente au professeur en réutilisant mon brouillon et en soignant mon travail. (20 à 25mn)

Les objectifs :

pour le professeurpour le lycéen
– connaitre chaque élève, pour mieux comprendre ses choix, ses préoccupations. Pas de jugement de valeur du professeur !  – à travers cet autoportrait, réfléchir à qui il est, et quelle image il veut donner de lui-même, en ce début d’année.  
– découvrir la manière d’écrire de chacun, ses points forts et ses points faibles dans un travail de rédaction (écriture, orthographe, syntaxe, structure du texte, vocabulaire…)  – se relancer dans le travail personnel en gérant le temps, les consignes et la rédaction d’un texte.  

Conseils pour l’oral de français en Première

Voici les grilles de barème utilisées pour la notation de l’oral de l’Epreuve Anticipée de Français :

Pensez à apporter vos textes d’explication linéaire, vierges de toute annotation, le jour de l’oral.

Les 30 mn de préparation

– S’organiser sur ces 30mn : un temps (5mn max) pour répondre à la question de grammaire, 5 à 10mn max pour la deuxième partie, le reste pour relire le texte et noter quelques idées principales d’explication linéaire.

– Ecrire au brouillon sous forme de simples notes. Vous construirez vos phrases directement au fur et à mesure de votre prise de parole.

Première partie :

Cliquez ici pour un rappel du déroulé de l’épreuve.

– la lecture du texte

Il est nécessaire que la lecture soit fluide. Il faut donc bien connaitre le texte. Entraînez-vous à la maison à lire les textes à voix haute, en respectant la ponctuation.

Certains mots se ressemblent. Ex : haute, faute. Si vous lisez l’un à la place de l’autre cela enlève du sens à la phrase. Donc attention à lire exactement les mots du texte.

– l’introduction de l’explication linéaire

Elle est importante !

Prenez le temps de présenter l’auteur, l’œuvre, son contexte (historique ou littéraire).

Présentez en une phrase de quoi parle le texte et proposez une problématique.

Vous pouvez relire ici comment réussir une introduction.

L’explication linéaire

– elle suit l’ordre du texte

– elle a comme fil conducteur la problématique qu’on s’est donnée

– Ne cherchez pas à tout dire, c’est impossible dans le temps imparti. Votre explication doit mettre en valeur votre compréhension du texte. Pour cela vous appuyez votre interprétation sur des citations précises, analysées.

La conclusion

– vous y répondez à la problématique, ce qui vous permet de rappeler les grandes idées du texte.

– vous pouvez faire une ouverture sur un autre extrait de l’œuvre ou une autre œuvre ou un autre auteur en lien avec le parcours.

La question de grammaire

Votre réponse doit être précise. La grammaire, c’est l’étude de la structure de la langue, c’est-à-dire comment les phrases sont construites. Votre réponse doit donc employer le vocabulaire du cours de grammaire.

Les questions de grammaire peuvent être de deux types :

1 Analysez tel élément de cette phrase.

Exemples : analysez le type et la forme des propositions de cette phrase.

Ou Analysez l’expression de l’interrogation dans cette phrase.

Ou Repérez et analysez les subordonnées circonstancielles dans cette phrase.

2 Transformez

Exemples : transformez les propositions de cette phrase à la forme négative.

Ou Quelle valeur est exprimée par l’expression « tant… que » ? Remplacez cette expression par une coordination de même valeur.

Ou Remplacez « mourant d’un coup si beau » par une subordonnée de même valeur. Quelle est la valeur exprimée ici ?

Je vous conseille de réviser le vocabulaire de base : proposition, type de phrase, forme de phrase… en cliquant ici.

Vous pouvez revoir les cours de grammaire au programme de Première :

l’interrogation

les subordonnées (circonstancielles)

l’expression de la négation

l’expression de la condition

l’expression de la cause, de la conséquence et du but

– l’expression de la comparaison

l’opposition et la concession

Cette année les questions porteront uniquement sur l’interrogation, la négation et les subordonnées circonstancielles.

Deuxième partie :

Cliquez ici pour un rappel du déroulé de l’épreuve et ici pour des infos sur cette épreuve

La présentation de l’œuvre choisie

En 3mn environ, vous devez :

– présenter l’œuvre (auteur, contexte, personnage, contenu)

– justifier votre choix de manière assez développée

On ne peut pas tout dire en 3mn. Gardez certaines connaissances pour répondre aux questions. Faites des choix : par exemple pour un roman ou une pièce de théâtre, faites un résumé précis, mais sans rentrer dans les nombreux détails de l’intrigue.

L’entretien

Les questions sont ouvertes, et rebondissent souvent sur ce que vous avez dit dans la présentation.

Il faut développer ses réponses, et ne pas hésiter à élargir.

Exemple : dans la présentation, vous avez dit que tel personnage est votre préféré.

Dans l’entretien, on vous demande de préciser à quel moment de l’histoire vous avez particulièrement apprécié ce personnage.

Vous répondez d’abord à la question en racontant un passage précis de l’histoire qui permet de mettre en valeur ce que vous appréciez du personnage. Vous pouvez ensuite aller plus loin en faisant un rapprochement (ou une opposition) avec un autre personnage (de la même œuvre ou d’une autre).

Pour l’ensemble de l’oral

L’oral vous permet de mettre en valeur :

– vos connaissances sur un texte (première partie) et une œuvre (deuxième partie)

– votre capacité à parler et dialoguer !

Il faut donc soigner sa prise de parole !

>

Eviter à tout prix les mots familiers.

Toujours parler en langage courant simple, clair.

Penser aux deux éléments de la négation. Exemple : je ne crois pas que ce personnage…

Regarder son interlocuteur !

Moduler sa voix, montrer son intérêt pour l’œuvre choisie.

Commentaire de bac blanc en série technologique

Commentaire (20 points)

Vous ferez le commentaire du texte de Victor Hugo en vous aidant des axes suivants :

> un témoignage pathétique

> une dénonciation de la peine de mort

 

Bicêtre[1].

Condamné à mort !

Voilà cinq semaines que j’habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence, toujours courbé sous son poids !

Autrefois, car il me semble qu’il y a plutôt des années que des semaines, j’étais un homme comme un autre homme. Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée. Mon esprit, jeune et riche, était plein de fantaisies. Il s’amusait à me les dérouler les unes après les autres, sans ordre et sans fin, brodant d’inépuisables arabesques[2] cette rude et mince étoffe de la vie. C’étaient des jeunes filles, de splendides chapes[3] d’évêque, des batailles gagnées, des théâtres pleins de bruit et de lumière, et puis encore des jeunes filles et de sombres promenades la nuit sous les larges bras des marronniers. C’était toujours fête dans mon imagination. Je pouvais penser à ce que je voulais, j’étais libre.

Maintenant je suis captif. Mon corps est aux fers[4] dans un cachot, mon esprit est en prison dans une idée. Une horrible, une sanglante, une implacable idée ! Je n’ai plus qu’une pensée, qu’une conviction, qu’une certitude : condamné à mort !

Quoi que je fasse, elle est toujours là, cette pensée infernale, comme un spectre de plomb à mes côtés, seule et jalouse, chassant toute distraction, face à face avec moi misérable, et me secouant de ses deux mains de glace quand je veux détourner la tête ou fermer les yeux.

Elle se glisse sous toutes les formes où mon esprit voudrait la fuir, se mêle comme un refrain horrible à toutes les paroles qu’on m’adresse, se colle avec moi aux grilles hideuses[5] de mon cachot ; m’obsède éveillé, épie mon sommeil convulsif[6], et reparaît dans mes rêves sous la forme d’un couteau.

Je viens de m’éveiller en sursaut, poursuivi par elle et me disant : — Ah ! ce n’est qu’un rêve ! — Hé bien ! avant même que mes yeux lourds aient eu le temps de s’entre ouvrir assez pour voir cette fatale pensée écrite dans l’horrible réalité qui m’entoure, sur la dalle mouillée et suante de ma cellule, dans les rayons pâles de ma lampe de nuit, dans la trame grossière de la toile de mes vêtements, sur la sombre figure du soldat de garde dont la giberne[7] reluit à travers la grille du cachot, il me semble que déjà une voix a murmuré à mon oreille : — Condamné à mort !

Victor Hugo, Le Dernier jour d’un condamné, chapitre I, 1829

[1] Bicêtre : Prison à Paris

[2] Arabesques : Lignes sinueuses

[3] Chape :  manteau de cérémonie

[4] Aux fers : en prison

[5] Hideuses : horribles à voir

[6] Convulsif : agité de mouvements violents et désordonnés

[7] Giberne : boîte de cartouches

Essai et dissertation

Dans les deux cas, on produit un écrit argumentatif. On répond dans la conclusion à une question (problématique) posée dans l’introduction, après avoir développé des éléments de réponse argumentés.

Composition d’un essai ou d’une dissertation :

Introduction (amorce, problématique, annonce du plan)

Développement argumenté et illustré d’exemples

Conclusion (réponse à la problématique et ouverture)

 

Bien différencier essai et dissertation :

L’essai

 – travail de 2 heures

– sur une œuvre de litt. d’idées

– On peut y défendre un seul point de vue

– développement en 2 axes, voire un seul

– développement en 3 à 6 paragraphes.

La dissertation

 – travail de 4 heures

– sur une œuvre littéraire

– On doit peser le pour et le contre (thèse et antithèse)

– développement en 2 ou 3 axes

– développement contenant au minimum 6 paragraphes.

 

Composition d’un paragraphe argumenté :

– une phrase présente l’idée à développer dans ce paragraphe

– plusieurs phrases développent l’idée en s’appuyant sur des références précises et concrètes à une œuvre littéraire (point de vue ou intention de l’auteur, évocation d’un personnage, ou d’un moment du récit, ou d’un choix narratif …) On peut même citer, mais il faut expliquer sa citation.

– une phrase qui clôture le paragraphe en rappelant l’idée évoquée.

Ma fiche d’évaluation de l’oral de français en Première

A l’occasion des oraux blancs de cette semaine, voici la fiche que j’utilise pour évaluer l’épreuve.

Elle reprend les items de la fiche d’autoévaluation.

Mon évaluation entre « bien » et « insuffisant » fonctionne comme un curseur. Je coche une croix par ligne. Plus cette croix est située vers la gauche, plus le critère est réussi. Cela facilite mon évaluation et aide l’élève aussi à se situer par rapport à ce qui est attendu.

Nom et Prénom : ……………………………………………………………………………… Classe : ……………

PARTIE I                                                                                                                                                       LECTURE             /2

                                                                                                                                             EXPLICATION LINÉAIRE             /8

TOTAL :_ _ _ _  /12                                                                                                                                GRAMMAIRE             /2

   Bien     <————————————————————————–>     Insuffisant
LECTURE  
Fluide
Respecte la ponctuation
Expressive
EXPLICATION LINEAIRE DU TEXTE
Correction et qualité de la langue
Introduction
Situe l’auteur, l’œuvre, le texte
Présente l’enjeu (projet de lecture)
Fac : annonce des mouvements du texte
Développement
Choisit des exemples appropriés à l’enjeu
Pertinence et profondeur des analyses
Suit l’ordre du texte
Propose une interprétation du texte
N’oublie pas de points essentiels
Conclusion
Présente et pertinente
GRAMMAIRE  
Utilise un vocabulaire adéquat
Pertinence de la réponse
 

PARTIE II

TOTAL : _ _ _ _ /8

 

PRÉSENTATION DE L’ŒUVRE CHOISIE  Bien   <—————————————————————————>    Insuffisant
Présentation synthétique de l’œuvre  
Expression pertinente justifiée et convaincante d’un choix personnel  
Force de conviction, engagement  
ENTRETIEN  
Correction et qualité de la langue  
Mobilisation pertinente des connaissances culturelles et artistiques en lien avec le propos  
Capacité à répondre et réagir aux questions  
Capacité à dialoguer  
Capacité à approfondir sa réflexion  
Vivacité, assurance, force de conviction

 

Fiche-type d’autoévaluation de l’oral

Vous avez eu à réaliser une fiche pour auto-évaluer vos entraînements à l’oral.

Je vous en propose une fiche type en format PDF si vous cliquez ici, ou à lire ci-dessous.

Fiche d’autoévaluation de l’oral – Première partie

Ce que j’évalue : Non Oui
INTRODUCTION
J’ai lu le texte de manière fluide.
J’ai lu le texte avec expressivité. (Je module ma voix pour donner le ton et mettre en valeur le sens)
J’ai présenté l’auteur en 1 phrase
J’ai présenté l’œuvre en 1 phrase
J’ai présenté le contenu du texte.
J’ai éventuellement précisé le parcours associé.
J’ai proposé un projet de lecture (Problématique)
DEVELOPPEMENT DE L’EXPLICATION LINEAIRE
Je suis l’ordre du texte
J’explique le sens du texte.
Je donne une interprétation du texte.
Mes explications aident à répondre à la problématique posée dans l’introduction
J’appuie mes explications sur des citations.
J’appuie mes explications sur une analyse des citations.
CONCLUSION
Je fais un bilan en répondant à la problématique. Je donne mon point de vue sur le texte.
Je propose une ouverture, sur le parcours, sur un autre texte du même auteur, ou sur une autre œuvre.
SUR L’ENSEMBLE DE CETTE PREMIERE PARTIE
Je m’exprime en respectant la langue française

(langage courant, adapté à la situation).

Je m’exprime clairement.

(J’articule, et je parle d’une voix audible)

J’ai respecté le temps imparti de 10mn.

(environ 2mn de lecture puis 8mn d’explication)

GRAMMAIRE
J’ai réussi à répondre totalement à la question sans aide.
J’ai apporté une réponse partielle, que j’ai complétée avec l’aide de l’examinateur.

 

Fiche d’autoévaluation de l’oral – Deuxième partie

Ce que j’évalue : Non Oui
PRESENTATION DE L’ŒUVRE ET JUSTIFICATION DE SON CHOIX
Je présente l’œuvre choisie.
J’explique mon choix avec précision et originalité.
DIALOGUE AVEC L’EXAMINATEUR
Je réponds aux questions posées avec précision.
Je montre que je connais bien l’œuvre.
Je suis capable de faire des liens avec d’autres œuvres (littéraires ou artistiques, et avec le parcours associé)
J’ose aller plus loin que la question posée et donne d’autres informations pour élargir la réflexion.
SUR L’ENSEMBLE DE CETTE DEUXIEME PARTIE
Je m’exprime en respectant la langue française

(langage courant, adapté à la situation).

Je m’exprime clairement.

(J’articule, et je parle d’une voix audible)

J’ai respecté le temps imparti de 8mn.

(environ 3mn de présentation puis 5mn de dialogue)

 

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