Samantha

L’histoire tourne autour d’un jeune homme qui a eu une bourse pour partir aux Etats-Unis en même temps que son ami. Ils partent là-bas pour rejoindre leurs correspondants. Leurs correspondants leur présentent des amies parce que l’une de leurs amies, Samantha, va partir à Paris et aimerait des conseils. Pris sous le charme de Samantha, l’un des jeunes hommes essaie de lui avouer son attirance sauf qu’il n’y arrive pas et attend le dernier jour de leur séjour pour se décider . Le jeune homme découvre alors que Samantha avait déjà un petit copain et donc n’avoue pas ses sentiments. Pour le jeune homme c’est une grande déception:  il repart en France anéanti et n’arrive pas à l’oublier. Puis quand Samantha arrive en France, elle rappelle le jeune homme. Ils se voient, et le jeune homme se décide enfin à avouer ses sentiments pour Samantha. Samantha ne voyait pas les choses comme ça et décide donc d’en rester là et se sépare du jeune homme pendant un moment. Samantha, avant de rentrer au Etats-Unis, se décide à aller dire au revoir au jeune homme et en partant on voit que Samantha s’effondre en larmes parce qu’elle se rend compte qu’elle l’aimait.
Samantha dans ce livre aurait pu se rendre compte que le jeune homme l’aimait et lui dire qu’elle avait un copain. La femme dans ce livre est montrée comme inconsciente et maladroite. Les dessins  sont détaillés, ils expriment bien les humeurs des personnages, leurs caractères, leurs émotions, tous les détails y sont.Ce livre raconte une histoire qui est peut-être arrivée à l’auteur et qui peut nous arriver à nous, c’est pour ça que se livre m’a plu.
Dorian Mouton

Le syndrome de Munchaüsen

j’ai bien aimé cette BD « Le syndrome de Munchaüsen ». Mme JAPP a choisi de montrer la femme comme une criminelle.Pour cela l’auteur fait souffrir cette femme du syndrome de Munchaüsen, elle perd la tête et veut tuer tout son entourage. Elle montre aussi une autre femme qui est agent de police sous sa forme héroïque, car elle sauvera un enfant sans l’aide de personne. On peut dire que l’auteur de cette bande dessinée veut montrer la femme sous ses deux formes les plus extrêmes. Le dessinateur Bernard Khattou de son pseudo Katou a réalisé les vignettes de cette BD, il a choisi seulement trois couleurs: le noir, le blanc et le bleu. Il choisi aussi des graphismes simples pour l’arrière plan des vignettes et un peu plus recherché pour le graphisme des personnages.

Adrien Bruel

Virginie

                   Virgine de tito

Sourde, Virginie vit chez sa grand-mère. Son handicap constitue-t-il une raison suffisante pour rester enfermée toute la journée? C’est ce que semble penser la vieille femme. Virginie aimerait pourtant s’amuser avec d’autres jeunes du quartier. Après une mésaventure qui aurait pu mal tourner, elle parviendra à faire comprendre à sa grand-mère qu’un peu d’autonomie ne peut lui être que bénéfique.

Aurélien Marre

Little Blade, le patrouilleur du vent

        Bonjour, dans cet article je vais vous parler de la BD, Little Blade Le patrouilleur du vent. Pour résumer, cette BD parle d’une femme     nommée Blade qui se trouve au marché des esclaves au début de la BD et qui va être engagée comme soldat par la Licorne.  Malheureusement, le patrouilleur du vent qui est le stratège des triades va être tué puis remplacer par un ancien agent des triades.

http://img.bd-sanctuary.com/bds/big/little-blade-bd-volume-1-simple-2215.gif

          j’ai bien aimé cette BD car il y a beaucoup d’actions mais le fait que la femme soit traitée comme une expérience de laboratoire et une esclave me plait moins surtout quand la Licorne dit qu’il faut la dresser. La Licorne la traite comme un fauve qu’il faut dresser.
           Je trouve que la BD est bien construite et le fait qu’elle soit bien dessinée et qu’elle soit en couleur l’avantage car on prend plus de plaisir à regarder les vignettes et je pense aussi que pour une BD il y avait pas mal de choses à lire.
Nicolas Blanc

 

De la compassion pour ces femmes

Le livre de Vera candida raconte la malheureuse vie de quatre générations de femmes, toutes condamnées à enfanter sans pouvoir révéler le nom du père.
Le roman commence par une mauvaise nouvelle : on apprend que Véra candida va bientôt mourir.
En général les débuts de roman sont plus joyeux et moins directs.
Le récit commence avec la grand mère de Vera Candida, Rose Bustamente, âgée de quarante ans, c’est une ancienne prostituée reconvertie en pêcheuse.
Sa vie bascule lorsqu’elle rencontre Jeronimo, un homme mystérieux arrivé depuis peu sur l’île Vatapuna.
Cet homme va alors lui causer plein d’ennuis. Elle tombe enceinte , Violette nait.
Quinze ans plus tard ,Violette accouche de Vera Candida recueillie par sa grand mère Rose.
La fille décida de quitter l’île lorsqu’elle sait qu’elle était enceinte à quinze ans.
Ce livre ma plu,  bien qu’il soit long, j’ai éprouvé beaucoup de compassion et d’admiration envers ces femmes et beaucoup plus de dégoût envers les hommes bien qu’il y en ait un qui soit différent.
J’ai trouvé que le personnage de Vera Candida trop mystérieux,  on voudrait en savoir plus sur elle.

Elle compte les silences.

 » Elle compte les silences … «  , ici nous allons étudier une des phrases énigmatiques de Valentine Goby.

Marie.G est dans sa cellule, assise, patiente, à moitié rassurée . Souvent le soir, elle entend le bruit du personnel de prison se chargeant d’installer le matériel pour exécuter les prisonniers, mais ce soir là,  elle n’entend rien, elle attend , mais toujours rien.
Par habitude elle est attentive aux bruits car ceux-ci sont synonymes de mort pour elle .
Elle va être exécutée dans les jours qui viennent , elle le sait . Dans cette phrase citée elle est juste soulagée, elle est sûre que la mort n’est  pas pour aujourd’hui. Mais pour être sûre elle compte les silences , elle énumère tous les bruits qu’elle n’entend pas ce soir ,  des bruits très familiers.  A travers ces quatre mots, nous pouvons voir que Marie ressent différents sentiments en un corps.
Aujourd’hui à l’aube elle peut donc s’endormir calmement elle sait que la mort n’est  pas pour aujourd’hui .
Tricia Massol

C’est une femme transparente qui disait mon prénom. Je me sentais comme elle.

Henry D exprime l’absence physique de sa mère, qui  meurt un peu plus chaque jour. Sa mère est dépressive et tuberculeuse p 30. Henry a un frère et tous les deux font trop de bruits pour sa mère malade qui lui répète  » tu me tues », cette phrase obsédante lui donne l’impression d’avoir tué sa mère. « Elle est debout, pas transparente encore, le moment est proche mais il reste quelques semaines ou quelques mois, et elle dit que je la tue » .Une fois morte, il devient mutique. C’est à dire qu’il ne dit plus rien , il se sent coupable de la mort de sa mère.
Mathilde Cabrol

Le tissu craque à cause de mon père…

Le tissu craque à cause de mon père…

Son père envoie Lucie.L chez sa tante où elle pourra intégrer une école de chant puisque son père trouve qu’elle a une merveilleuse voix. Le père de Lucie.L, homme d’affaires n’a pas été souvent prèsent au domicile conjugal. Par contre, Lucie.L entretenait de très bonnes relations avec sa mère, en effet elles étaient très proches et partageaient de nombreuses activités tel que le tissage au grenier. Malheureusement, suite au départ de Lucie, sa mère a déprimé mais n’a porté aucun jugement sur la décision du père du Lucie. Elle s’est tue. Ce silence montre également la soumission des femmes vis à vis des hommes dans les années 40. L’homme de maison n’est pas souvent là mais c’est lui qui prend les décisions. Comme le dit Lucie, elle est outrée, vexée et fachée que sa mère n’ait rien dit pourtant sa fille était tout pour elle; Lucie Lux, la lumière.

Pour moi comme elle raconte ça lors de son avortement, cela nous montre aussi les raisons qui poussent Lucie.L à avorter. On peut également penser que le tissu peut être le placenta qui craque :  à cause de son père elle s’est séparée de sa mère et de ses tissus et elle a été poussée à avorter.
Quentin Bonnafous

Trois vies condamnées en vingt-quatre heures

En passant

Ce roman Qui touche à mon corps je le tue de Valentine Goby nous mène au coeur du sujet, à travers trois personnages qui ont vécu de près ou de loin  cette journée du 29 juillet 1963 à Paris.
Les trois personnages prennent tour à tour la parole dans l’ouvrage, Marie G faiseuse d’anges dans sa cellule, condamnée à mort; Lucie L, femme avortée enfermée dans sa chambre,  Henri D, exécuté qui “ attend son heure ». Chacun, quel que soit son rôle, victime au bourreau, coupable ou innocent, donne une certaine émotion au lecteur. Marie G. à la prison de la petite Roquette imagine ses dernières secondes de vie avant que la guillotine ne tranche sa tête. Lucie L. dans son appartement vide “attend avant que la foetus glisse hors d’elle ». Henri D. “exécuteur en chef des arrêts criminels » se projette dans sa mission matinale .
L’ouvrage commence à l’aube et s’achève à l’aube. Valentine Goby décrit les émotions de ces trois personnages aux profils opposés et pourtant que tout raproche.
Shérif Bérisha

Toutes les chairs craquent

Après avoir lu le roman Qui touche à mon corps je le tue, tiré d’une histoire vraie de Marie-Louise Giraud, on peut voir les différentes conditions de vie, les véritables douleurs et les vraies souffrances endurées par 3 personnages dans ce livre.Les trois personnes de ce texte sont :  Lucie L. qui avortera dans l’obscurité de sa chambre, Marie G. qui sera condamnée et guillotinée puis Henri D. t bourreau, qui exécutera la condamnée.
Tout d’abord, nous trouvons beaucoup de descriptions sur les corps blessés des personnes qui nous montrent leur souffrance ; on imagine alors les conditions atroces dans lesquelles ils ont vécu : « Elle ne touche pas son ventre. Hier, la sonde plantée dans l’utérus, elle a roulé des heures à bicyclette. Elle a choisi les rues pavées. Elle a freiné fort, elle s’est retenue de vomir, de hurler à cause de la selle en couteau de boucher ».
Ensuite, ce roman nous parle de la mort, durant toute la lecture, il nous montre que dans les années 1940,la mort était omniprésente:  on pouvait mourir guillotiné, mourir des mauvaises conditions de vie ou avorter : « La manette est posée. Tout à l’heure, une simple pression du doigt actionnera le mécanisme, ouvrira la grenouille qui retient la flèche, libérera l’énorme masse du mouton surmontant le couperet. Le paravent, la corbeille sont mis en place, pour la tête. Pour le corps, la baignoire ».
En outre, les descriptions des corps nous font ressentir la souffrance comme si elle était en nous, en tant que lecteur. On imagine les véritables douleurs : « Toutes les chairs craquent. Tous les tissus. Tissus trop larges ou trop étroits, tissus de peau, tissus de soi ».