Merci Twitter.

Ça y est : les dys arrivent dans les lycées d’enseignement général de centre-ville. Une réunion « PAI » s’est tenue, où nous avons glané quelques informations. Toute heureuse que mon blog de cours soit une aide pour notre dyslexique puisqu’il peut y retrouver la trace écrite des cours sans erreur, j’envoie un tweet de joie.

Et c’est là que je vis mon premier « miracle du réseau ». Des participants du #twittMOOC, enseignants eux-aussi, me donnent des noms de comptes à suivre sur le réseau. Les contacts sont fructueux et me font parvenir des informations ciblées. Pédagogiques d’abord : avec le logiciel « opendyslexic », une police open source qui facilite la lecture, avec le blog de C. Guerrieri qui permet de se faire rapidement et efficacement une idée des implications pédagogiques de la dyslexie. Institutionnelles ensuite avec des liens autant vers des partenaires précis que vers des textes officiels. Bilan : en deux heures, j’en sais autant que mon infirmière scolaire qui tente de débroussailler le terrain depuis l’an dernier mais uniquement par la voie administrative. Conclusion : il y a des jours où critiquer les réseaux sociaux peut ne pas paraître pertinent.