Mes réflexions sur le blog en train de se faire.

Et le blog alors ?

Il y a un temps pour tout : un temps pour réfléchir, un temps pour agir. Le blog « Au fil des Tice », c’est la réflexion.

Actuellement, je suis dans l’action, mais dans une forme d’action que je n’avais pas envisagée lors de l’ouverture du blog. A l’origine, la partie « action » devait être consacrée à mes pratiques dans la classe avec mes élèves.

Mais la participation au mooc #ItyPA (j’avais annoncé très vite que je n’étais pas quitte de cette expérience) m’a fait prendre conscience de la nécessité de m’approprier davantage les possibilités et potentialités du numérique.

Pour le moment donc, je m’informe et surtout je me forme. En préparant le C2i2e où je teste, côté étudiant, l’usage d’une plateforme de cours en ligne. Où je tente aussi de réutiliser l’expérience collaborative d’ITyPA pour approfondir ce qui me fait défaut, à savoir le sens de la collaboration dans ce qu’elle a de positif.

Je viens de me créer un compte « Twitter ». Il m’a fallu le temps. Etait-ce de la procrastination ? En partie, certes. Mais l’autre partie, c’était de la réflexion consacrée au fonctionnement de Twitter (allez-donc voir ma perle de « Pearltrees » consacrée à ce réseau social!) et à la recherche de personnes que je souhaitais réellement suivre. Il y avait aussi l’élaboration de quelques principes de fonctionnement que je voulais mettre en place. Me lancer, au risque de commettre erreurs et impairs. Ne pas compter le nombre de tweets, mais peser le contenu de chacun. Prévenir les risques d’addiction (je n’ai pas envie de renoncer ni au blog, ni au pearltrees, ni au feedly et surtout pas à la recherche via la lecture de longs articles). Ne tweeter ou retweeter que des choses vraiment lues.

Au passage, merci à tous ceux qui m’ont aidée sur le chemin (Itypiens et Itypiennes que j’ai le plaisir de retrouver) et à ceux qui m’encouragent aujourd’hui (l’initiative « Twittmooc »).

Digérer ItyPA.

Certes, grâce à ItyPA, j’ai pris conscience de beaucoup de choses au sujet des possibilités qu’offre internet pour apprendre.

Mais…

J’ai aussi vécu cette expérience comme un grand moment de solitude. Un comble pour un mooc connectiviste ! Un comble pour quelqu’un qui a préparé avec le CTEU de l’Université de Caen un L3 et un master d’histoire et avec le CNED, une agrégation d’allemand et une d’histoire.

Depuis décembre, je tente donc de comprendre ce ressenti plus que tenace.

D’autant que je n’appartiens pas aux inscrits n’ayant pas participé. J’ai, en effet, posté des commentaires et rédigé des contributions sous forme de synthèses de documents par exemple. Je m’étais aussi associée à un groupe, plutôt en tant qu’observatrice.

D’où vient cette frustration ? Sans doute d’abord de mon manque de temps pour me consacrer à des sujets « lourds ».

Mais pas seulement. Le problème est qu’un mooc est un mooc. C’est-à-dire, un cours, et non pas un projet pédagogique. Il est massif, donc pas ciblé sur l’apprenant. Il est ouvert, donc sans régulation, si ce n’est celle de ceux qui occupent le plus l’espace collectif et qui ainsi donnent le ton. L’absence d’accompagnement est flagrante. Quel espace alors pour celui qui ne maîtrise pas les outils ? Quels poteaux où se tenir ?

Il y a les pairs. Leur bienveillance, posée comme un présupposé acquis. La confiance que je suis censée leur accorder parce que partageant avec eux des centres d’intérêts communs. Tout cela, comme si la vraie vie ne m’avait pas appris que des manipulateurs et des profiteurs malveillants existent partout. Je me sens mal à l’aise avec une certaine vision angélique de l’internet.

Mais je dois aussi revenir sur mes objectifs personnels d’apprentissage. L’EAP n’a jamais été au coeur de mes recherches, même s’il peut en constituer un élément. Mon objectif est de repérer ce qui, dans les technologies de l’information et de la communication dans l’enseignement, est réellement efficace afin de permettre aux jeunes d’aujourd’hui de vivre leur présent de demain. Ma communauté est d’abord là. Avec mes élèves. En leur créant les outils dont ils ont besoin pour apprendre, en leur montrant comment je tâtonne pour construire ces outils, en les associant à cette construction et à ces tâtonnements. Par exemple, en ouvrant un blog où ils pourront trouver leurs cours égarés, mais aussi où mes apprentis programmeurs pourront fabriquer des fiches de vocabulaire interactives. De ce point de vue, ItyPA n’était pas fait pour moi.

Cependant, je sais que par ailleurs que j’ai besoin d’une « communauté » pour nourrir ma réflexion. Je pense qu’elle passera par Twitter, dont je n’aurais pas saisi la dimension informationnelle… sans ItyPA.

Sentiments bien confus que tout cela… Un fond de « dysphorie » pour reprendre l’expression de Madame Merzeau, accompagné d’un gain réel en terme de savoir-faire et de savoir-oser. Pour un goût bizarre qui m’amène à me poser la question : comment choisir un mooc ?

Ma semaine ITyPA.

Je n’ai pas fait grand chose, cette semaine, dans ItyPA. Comme d’habitude, j’ai lu en diagonale les ressources proposées. Mais comme le sujet ne m’intéressait pas plus que cela, j’en suis restée là.

Je suis passée, de temps à autre, sur le mooc. Consulter les nouveautés des blogs (sur netvibes). Jeter un coup d’oeil sur le Google document créé par le groupe que j’ai rejoint. Lire les lettres quotidiennes (sur ma boîte mail, car elles n’étaient pas distribuées sur la plateforme) . Me renseigner sur ce qui circulait sur les forums (enfin quelque chose sur la plateforme!). Et je me disais : ItyPA est bien vivant. Dommage que, pour des raisons techniques, cette vie soit disséminée un peu partout.

J’ai donc pris le temps d’aménager ma veille. En réorganisant mon pearltrees. En installant « Feedly » et en le nourrissant de flux.

J’ai réfléchi à la mise en oeuvre d’un réseau social (je pars de zéro!). Deux pistes se dégagent : les tutoriels consacrés à Twitter (merci les ItyPIENS), repérer dans mon domaine de réflexion les personnes que je souhaite suivre.

Tout cela avec une interrogation lancinante : tous ces outils sont très simples d’accès, mais il faut systématiquement passer par un compte Google alimentant un big Data dont je ne sais quels intérêts il sert.

Outre le volet « outils », je me suis penchée sur la mise en oeuvre de la collaboration dans un groupe, plus intensément sur le rôle de l’animateur. Car c’est dans cette situation que je me trouve actuellement dans mon contexte professionnel.

Et que dit Michel Cornu  à ce sujet? « Ne pas essayer de mobiliser les gens », les amener à « prendre le risque de s’impliquer ».

Et que lit-on sur le site « outils-réseaux.org » ? « L’attention passe avant l’intention ». « L’animateur doit se taire et mettre ses idées de côté, mais être à l’écoute et observer, être à l’affut afin de créer des situations de coopération » en n’hésitant pas à utiliser des outils faciles. Car l’essentiel n’est pas dans les outils, mais dans les « techniques d’animation » et « la posture appropriée de l’animateur ».

Dois-je penser que l’animateur est un fainéant opportuniste proactif ? C’est une jolie formulation pour un position qui, plus simplement, exige de … l’humilité… à grosse dose.

Pourquoi, malgré tout, je persiste avec ItyPA.

Malgré tout. D’abord, le « malgré tout », ce n’est pas la peur d’écrire, la crainte de publier sur internet, le manque d’autonomie ou l’absence de ténacité.

Le « malgré tout », c’est la difficulté que j’ai à prendre en main le lieu ItyPA, à habiter cet espace, pour reprendre l’expression de Madame Merzeau. Je fais par exemple partie des gens qui ont posté un message sur le mauvais forum ou bien qui ont essayé de joindre un texte dans un mauvais format. J’ai aussi énormément de mal à retrouver les messages que j’ai laissés ainsi que les endroits où je les ai déposés. Et je sais seulement depuis cinq jours que je peux retrouver la trace des messages ItyPA sous l’onglet « activité » de mon profil. Quant aux commentaires notés sur les blogs, les chances que je remette la main dessus me paraissent réduites. Comme si je retrouvais ici mon problème de sens de l’orientation.

De plus, je ne maîtrise pas bien la plupart des outils. Certes, « ce n’est pas grave » diraient les Itypiens confirmés. Sauf que cela détourne du travail sur le fond et que j’ai beaucoup culpabilisé sur la rubrique « quoi de neuf » dont je croyais ne pas savoir me servir et qui ne fonctionne pas de manière optimale.

Il y a un autre « malgré tout » que je souhaite évoquer. Il relève de la dimension temporelle. Ajouter ses remarques sur la veille trois semaines après que le sujet a été traité n’est pas très pertinent. La contribution doit avoir lieu en temps « réel », dans l’immédiat. Or les sujets ITyPA requièrent une réflexion de fond, et donc une maturation qui ne peut se faire que dans un temps long.

Mais c’est justement pour cela que, malgré tout, je persiste. Car si aujourd’hui ItyPA me bouscule, je sais que dans un an, non seulement mon EAP aura changé, mais aussi mes méthodes de travail et d’apprentissage.

Par exemple, je vois aujourd’hui beaucoup plus clairement comment je vais construire ma veille, quel itinéraire d’outils me permettra d’obtenir efficacement l’information que j’estime utile.

Et puis, à un autre niveau, il y a des prises de conscience par rapport aux possibilités des outils informatiques. L’intervention de Frédéric Domon a été un déclencheur. J’ai compris à quoi sert un réseau. En effet, jusqu’alors, dans le cadre de travaux de recherche, il ne m’était jamais venu à l’esprit de réseauter avec des gens compétents sur les sujets qui m’intéressent. Faire une recherche, c’était nécessairement passer par un moteur de recherche, bref me livrer à des algorithmes mathématiques plutôt qu’au savoir des autres. Plus maintenant. Car je perçois l’utilité et la nécessité du réseau. Sauf que le construire prendra du temps.

Par ailleurs, j’attends avec impatience le webinaire avec Jean-Michel Cornu. Pourquoi ? A croire que l’équipe ItyPA « télépathe » ! Parce que je me retrouve coordonnateur d’un projet visant à mettre en place le contenu du site web dédié à la formation dont mes collègues et moi sommes responsables. Un travail de coopération donc.

En somme, il n’y a là que de bonnes raisons à persévérer, envers et contre les « malgré tout ».

Rythmes de veille.

Maintenant que j’ai classé mes sites de référence dans mon pearltrees, cette question du rythme de la veille surgit. Et en allant, dans un premier temps, tous les jours sur ces sites, j’aboutis à la conclusion suivante : tous les sites ne méritent pas la même veille.

Seul, le Café pédagogique requiert une veille journalière. Pour quel type de lecture ? Juste pour une lecture en diagonale des titres et des débuts d’articles. Pour quelles raisons ? Parce que la mise à jour est journalière et riche.

Vient ensuite le site de l’Union Européenne consacré à l’éducation et à la formation : s’il n’est pas nécessaire de s’y rendre tous les jours, ce site, pour ma recherche, doit faire l’objet d’une vigilance particulière car je me suis rendu compte que c’est le point de départ des réformes de fond du système scolaire français.

Pour ce qui est des autres sites, il n’y en a que trois auxquels je réserve une visite hebdomadaire. Pour les derniers, un petit tour par mois suffit.

Pourquoi cette vision « spartiate » de la veille ? Parce que, tout d’abord, de nombreuses informations sont redondantes. Ensuite parce que la veille se limite à l’information, et plus précisément à l’actualisation de l’information. Or la veille sert un projet qui la dépasse. Elle est un outil et, qui plus est, un outil dont le champ temporel est restreint. La recherche est donc plus que la veille, que l’actualisation de l’information : elle puise aussi dans les ressources du passé qui ne dépendent pas des structures de veille.

Il me paraît donc nécessaire de cadrer la veille dans le projet qui est le mien.

Itypa ou pas Itypa ?

Depuis un an, je me suis lancée dans une recherche sur les TICE. Ciblés sont les usages efficaces des TICE en cours. Ce qui induit d’autres questions :

  1. celle de la délimitation des savoirs que doit enseigner l’école

  2. celle des outils permettant ces usages

  3. celle de mes compétences en tant qu’enseignante

  4. celle des usages déjà mis en oeuvre, par ailleurs, par les élèves.

La résolution de ces questions passe nécessairement par une recherche en … sciences et pratiques de l’éducation. Actuellement, je m’y attèle avec pour objectif du moment de construire ma veille informationnelle.

Mais que vient faire Itypa là dedans ? J’ai découvert ce MOOC français sur une des pages du site du CIEP grâce à des liens que je ne suis pas capable de remonter. J’ai regardé la vidéo de la semaine 2 sur l’environnement d’apprentissage personnel (EAP). La semaine prochaine, sera abordée la question de la veille. Voilà qui colle avec mes objectifs. Alors y aller ou ne pas y aller ? S’inscrire ou pas ?

Y aller parce que la réflexion qui y est lancée est stimulante. Y aller parce que c’est un dispositif expérimental. Y aller pour ne plus être seule dans ma recherche. Y aller pour travailler la dimension collaborative dont j’ignore si j’en ressens le besoin.

Mais ne pas y aller parce que le rythme de réflexion et de progression est rapide. Je crains que quatre heures par semaine ne me suffisent pas. L’informatique est chronophage, les intervenants de qualité et les questions importantes. Ne pas y aller car je redoute de me détourner de mon objectif initial centré sur les usages des élèves. Certes, la formation de l’enseignant aide l’élève à structurer ses apprentissages. Mais la pratique collaborative avec mes pairs que je maîtrise mal ne risque-telle pas de voler du temps à ceux dont j’ai la charge ?

Ma veille avec Pearltrees.

A mon sens, Pearltrees n’est pas vraiment un outil de veille car il ne comporte pas de fonction push indiquant qu’un nouvel article a été publié.

Par contre, il a une fonction irremplaçable dans le cadre d’une recherche, qui plus est, d’une recherche sur le net. Il permet de répertorier les sources d’information, de les classer et de toujours disposer d’un lien vers elles. Il oblige ainsi à affiner les critères qu’on se donne pour cibler la recherche.

Par contre, avec cet outil, on court un risque majeur : celui de plus collecter les perles que de les observer et les retravailler. Je constate qu’avec Pearltrees ma lecture de contenus est plus superficielle. J’amasse plus que je ne lis.

Enfin, il est indispensable d’installer le perleur sur son moteur de recherche car celui qui fonctionne à l’interne de Pearltrees est limité aux seules perles collectées par la communauté.

Pearltrees est donc un outil qui permet d’organiser mes sources mais il ne satisfait pas pleinement la veille que je veux mener. Quant à sa fonction collaborative, je ne me suis pas, pour l’instant, penchée dessus plus que cela. Certes, je suis allée quelques fois sur les perles des autres, mais je sens qu’en le faisant, je me disperse plus que je ne structure mes connaissances.

Veille informationnelle.

Organiser sa veille informationnelle prend du temps. D’où la moindre régularité dans l’écriture de ce blog.

Quel temps ? D’abord le temps de prospecter les sources. Puis celui de les organiser. Et ce dernier temps est long. Car, comme le souligne Madame Louise  Merzeau dans l’article « Les usages à l’ère du net », consulté le 22 septembre 2013 , il n’y a pas de mode d’emploi pour le net. Alors je cherche comment organiser cette veille.

Le contexte professionnel n’est pas porteur. La veille ne fait pas partie des pratiques courantes des enseignants que je côtoie. Il me faut donc chercher à la mode « internet » c’est-à-dire tâtonner. D’abord dans les moteurs de recherche qui renvoient plutôt vers des articles louant l’intérêt d’une veille bien menée. Puis dans les tutoriels vidéo, finalement plus efficaces mais succincts car ne fournissant que les grandes lignes d’utilisation d’un outil.

Jusqu’au jour où on trouve… un livre. Merci donc à Xavier Delengaigne pour son ouvrage « Organiser sa veille sur internet » aux éditions Eyrolles. Car malgré la complexité de celui-ci, j’avance. Oui, la veille est complexe. Les outils sont nombreux et les fonctionnalités variées, avec aussi des disparitions comme celle de Google Reader. Mais surtout, la veille est personnelle. Je me retrouve donc à creuser au fond de moi ce que je veux vraiment chercher. Comme si l’outil web, superficiel dans ses hyperliens, m’amenait à être de plus en plus précise avec moi-même. Comme si on touchait là un autre web, profond. Se peut-il que le nom du blog « Au fil des TICE » soit mal choisi ? N’aurait-il pas mieux valu l’appeler « Spéléologie des TICE » ? C’est peut-être avec ce genre de propos que, parfois, j’ai le sentiment de nager à contre-courant.

De la difficulté à gérer une recherche sur les TICE.

Je rencontre des difficultés à mener ma recherche sur les TICE.

  1. Parce que c’est une recherche sur le temps présent. Et le flux du temps est tel que demain est déjà hier.

  2. Parce qu’il s’agit d’une recherche ouverte où préside l’idée de voir ce qu’on ne voit pas encore : distinguer les tendances faibles pour anticiper demain.

  3. Parce que cette recherche est vaste. Certes des algoryhtmes nous renvoient systématiquement à notre sphère d’intérêt. Mais les champs de l’information sont énormes car mondiaux et très investis.

  4. Parce que cette recherche est une errance. On saute de lien en lien et on perd, au cours de ce périple, justement le lien qui nous paraissait le plus intéressant.

Le moment est venu pour moi d’organiser cette recherche. La jungle des sites de référence s’est (un peu) éclaircie. Désormais, je me mets en quête de l’outil qui me permettra de gérer les liens et les flux qu’ils génèrent. J’apprendrai à m’en servir , en essayant de ne pas trop procrastiner. Mais me mettre à un nouveau logiciel est pour moi plutôt un défi à surmonter qu’une nouvelle contrée à découvrir.

Le fil du blog change.

Ce que j’affiche aujourd’hui sous forme d’article apparaîtra sous forme de page à la place du « pourquoi et comment du blog ».

Car depuis février, ma vision de la recherche à mener a évolué. Certes je continue à mettre en place ma réflexion sur la révolution du numérique en pédagogie. Je poursuis donc mon analyse sur la manière dont les savoirs sont élaborés avec ces nouveaux outils et les conséquences qui en découlent. Mais je dois y ajouter l’étude des tendances du web 2.0 ainsi que les répercussions sociétales qu’elles impliquent.

Surtout, je suis de plus en plus convaincue qu’on ne peut pas dissocier une recherche sur la pédagogie du numérique d’une réflexion globale sur ce qui fait réellement progresser les élèves que ce soit numérique ou non. Désormais figureront dans le blog aussi des articles n’ayant pas directement trait au numérique.