Rédiger une conclusion

La conclusion doit récapituler le plan du devoir et elle doit se conclure par la thèse que

vous défendez. Celle-ci est celle qui figure dans la dernière partie du devoir.

Exemple de conclusion:

Dans une première partie, l’on a examiné les arguments qui permettent de défendre la thèse selon laquelle la conscience morale devrait être le produit de l’éducation. Néanmoins, cette thèse présente des limites. En effet, la conscience morale de l’individu serait alors intégralement conditionnée par l’éducation.

C’est pourquoi dans une deuxième partie, nous avons été conduit à nous demander si la conscience morale n’était pas innée. Cependant, cette thèse présente également des limites.  Il est possible de se demandersi une telle conscience morale innée ne serait pas une illusion: celle-ci peut en effet n’être qu’en définitive que le produit inconscient de l’éducation.

C’est pourquoi, en troisième partie, ce qu’il nous est apparu important personnellement de défendre c’est la capacité de l’individu à parvenir à une conscience morale autonome. Nous avons tous eu une éducation qui nous a influencé. Mais par notre réflexion personnelle et notre expérience de l’existence, nous pouvons être en mesure de nous forger une conscience morale autonome. Cette conscience morale ne vise pas pour autant l’indépendance car elle est celle d’un être conscient qu’il vit dans une société, mais qui est capable de savoir quand cela est nécessaire de ne pas se conformer à l’opinion majoritaire. Il appartient alors sans doute à l’éducation de favoriser l’apprentissage à l’autonomie de pensée.

Remarque complémentaire:

La conclusion présentée ci-dessus suppose trois thèses différentes. Mais il est toujours possible de construire un plan en trois parties à partir seulement de deux thèses. Il suffit par exemple de discuter dans la troisième partie les avantages et les inconvénients de la thèse et de l’antithèse afin de dire laquelle nous parait la plus justifiée rationnellement.

Rédiger une transition

Nombreuses sont les copies dans lesquelles les transitions sont faibles et se contentent

de juxtaposer les deux parties.

Une mauvaise transition c’est par exemple: « nous allons voir en deuxième partie

une thèse opposée à la première partie ».

Une bonne transition doit justifier le passage à une deuxième partie.

Par exemple:

« Nous avons vu pourquoi la conscience morale devait-être forgée par l’éducation.

Néanmoins, cette thèse présente des limites. En effet, si la conscience morale n’est

que le produit de l’éducation, alors la conscience morale de l’individu peut varier

en fonction de son éducation. Or il existe des éducations qui peuvent être contraire

à la morale comme ce fut le cas dans des régimes politiques totalitaires. C’est pourquoi

nous allons nous demander en deuxième partie, si à l’origine la conscience morale ne doit

pas être innée ».

Usage des références

L’usage des références philosophiques dans les devoirs, en particulier dans les devoirs à la maison:

Je constate en corrigeant les copies qu’un certain nombre d’entre vous utilisent des

références qui ne sont pas dans le cours. Cela peut être une démarche acceptable

si elle correspond à un travail intelligent de recherche personnelle.

Or il s’agit souvent au contraire d’un usage superficiel et contre-productif.

Je vous conseille donc deux options:

a) Utilisez les références du cours:

la plupart du temps à ce niveau de l’année les sujets peuvent être en partie ou totalement traité avec des références vues en cours.

Les mauvaises notes des élèves lors du baccalauréat en philosophie s’explique en partie par le

fait que les élèves ne savent pas remobiliser les références vues durant l’année: c’est pourquoi il est important de s’entraîner lors des devoirs à la maison à le faire. C’est un travail qui est très payant.

b) si vous utilisez des références qui ne sont pas dans le cours:

– vous devez restituer l’argumentation de l’auteur et ne pas vous contenter de ses thèses.

– pour cela appuyez vous plutôt sur un extrait de texte précis d’un auteur dont vous

restituez l’argumentation que sur un résumé de sa pensée.

 

Devoir n°1 (3e trimestre): Explication de texte.

1) Vous expliquerez ligne à ligne l’extrait de texte suivant en ayant pris soin au préalable de dégager le problème philosophique:

Si c’était ici le lieu d’entrer en des détails, j’expliquerais facilement comment l’inégalité de crédit et d’autorité devient inévitable entre les particuliers sitôt que réunis en une même société ils sont forcés de se comparer entre eux et de tenir compte des différences qu’ils trouvent dans l’usage continuel qu’ils ont à faire les uns des autres. Ces différences sont de plusieurs espèces, mais en général la richesse, la noblesse ou le rang, la puissance et le mérite personnel, étant les distinctions principales par lesquelles on se mesure dans la société, je prouverais que l’accord ou le conflit de ces forces diverses est l’indication la plus sûre d’un Etat bien ou mal constitué. Je ferais voir qu’entre ces quatre sortes d’inégalité, les qualités personnelles étant l’origine de toutes les autres, la richesse est la dernière à laquelle elles se réduisent à la fin, parce qu’étant la plus immédiatement utile au bien-être et la plus facile à communiquer, on s’en sert aisément pour acheter tout le reste.

Rousseau, Discours sur l’inégalité.

[ Ce texte se trouve également dans le manuel de terminale, p.432, lignes: 1 à 13 ]

Expliquer un texte, suppose de définir les termes, de dégager les présupposés, de reconstituer le raisonnement de l’auteur, de dégager les conséquences de ses positions….

Pour vous aider à ne pas vous limiter à paraphraser le texte, vous pouvez appliquer au texte les types de raisonnements suivants:

Les types de raisonnement en philosophie

2) Puis vous le discuterez en vous appuyant sur un auteur vu en cours (cela peut être Freud)

3) En conclusion, vous justifierez la position qui vous semble la plus tenable.

Le devoir est à rendre:

-pour les TS: le 3 mars 2014.

– pour les TES 2: le 6 mars 2014.

Les types de raisonnement en philosophie

 

Il est nécessaire de maîtriser plusieurs formes de raisonnement pour expliquer un texte ou analyser un sujet de dissertation. Ces raisonnements font appel aux capacités de logique et d’abstraction.

 

1) L’établissement des présupposés :

 

Exemple : N’avons nous de devoir qu’envers autrui ?

 

Le sujet admet deux présupposés :

 

Thèse présupposée : Nous avons un devoir envers autrui.

 

a) que nous avons des devoirs moraux b) qu’autrui existe

 

2) L’établissement des conditions de possibilité :

 

A quelle condition l’énoncé est-il exact ?

 

Exemple : Nous n’avons de devoir qu’envers autrui.

 

Cet énoncé suppose pour être exact de considérer uniquement autrui comme une personne morale.

 

Il est faux s’il existe d’autres personnes morales qu’autrui  comme par exemple les animaux…

 

3) La classification dans un genre supérieur :

 

Exemple : Autrui comme moi-même, nous sommes des êtres humains.

 

ou

 

Autrui comme les animaux est un être vivant.

 

Autrui est l’objet d’un devoir, cela signifie qu’il est inclut dans le champ de la morale

 

4) L’analyse d’une notion

 

C’est la capacité à la définir par différence avec d’autres notions ou en faisant apparaître des distinctions internes.

 

Exemple :

 

Autrui est une personne morale, il se distingue des animaux ou des choses.

 

La réalité est composée d’humains, d’animaux et de choses.

 

5) L’établissement d’un fondement : remonter vers un principe premier.

 

Exemple : Nous n’avons de devoir qu’envers autrui

 

Autrui est une personne morale et non le reste de la nature. Cela signifie que l’être humain se distingue du reste de la nature par le fait qu’il a un esprit et donc une conscience capable de jugement moraux.

 

Cela suppose le dualisme entre l’esprit et la matière..

 

6) Formuler une hypothèse :

 

Exemple : l’existence d’une différence entre l’esprit humain est la matière inerte trouve-t-elle sa condition de possibilité dans l’existence de Dieu ou la matière peut-elle produire l’esprit ?

 

7) L’établissement des conséquences

 

Exemple :

Considérer que l’on n’a de devoir qu’envers autrui, c’est considérer que seuls les êtres humains sont l’objet de respect moral et de responsabilité morale.

 

Cela signifie a contrario que les animaux et les choses ne sont pas l’objet de considération morale et ne sont pas tenus à une responsabilité morale.

 

8) La détermination des enjeux

 

Exemple : Pour quoi affirmer que « nous n’avons de devoir qu’envers autrui ? »

 

L’enjeu porte sur la distinction morale entre les êtres humains et les animaux. Cela permet de poser la valeur morale supérieure de la vie d’un être humain par rapport à celle d’un animal.

 

9) L’analogie :

 

Etablir une analogie : a est b, ce que d est à c.

 

Exemple : Les êtres vivants peuvent-ils être considérés sur le plan moral comme des choses matérielles ?

 

10) Etablir une inférence

 

Exemple : Nous n’avons de devoir qu’envers autrui par conséquent nous n’avons pas de devoir envers les animaux.

En effet, les animaux ne peuvent pas être inclus dans la catégorie d’autrui car autrui est mon semblable et désigne donc d’autres êtres humains.

 

11) Justifier une affirmation

 

Exemple : Nous n’avons de devoir qu’envers autrui

 

En effet, seul les êtres humains sont capables de répondre de leurs actes. Par conséquent, ils sont les seuls auxquels on peut accorder une valeur morale.

 

Éléments sur la réussite scolaire :

Les études sociologiques sur la réussite scolaire montrent qu’elle est fortement corrélée à des conditions sociales telles que le milieu familial. Néanmoins, l’échec scolaire n’est pas une fatalité qui pourrait être renvoyé simplement à l’absence d’un don naturel inné ou à un handicap socioculturel. Des individus souffrant de troubles précoces de l’apprentissage ou issus de milieux défavorisés, ont pu parvenir à la réussite scolaire.

Afin de favoriser cela, il est sans doute intéressant d’expliciter un certain nombre de facteurs qui interviennent et favorisent cette réussite scolaire :

1) La motivation intrinsèque :

Les études menées en psychologie sur la motivation scolaire montrent que les types de motivation les plus efficaces ne sont pas les motivations extrinsèques, mais intrinsèque.

La motivation intrinsèque : consiste à étudier parce qu’on y trouve un intérêt pour comprendre le monde ou que l’on trouve du plaisir à étudier.

La motivation extrinsèque : consiste à étudier pour avoir un bon travail – rémunérateur- ou pour être reconnu par les autres.

Les études sociologiques (Charlot, Rochex et Bautier) sur le rapport au savoir des élèves en réussite et en échec scolaire montrent des différences entre les élèves sur ce plan.

Les élèves en situation d’échec scolaire pensent le plus souvent qu’il faut travailler à l’école surtout pour avoir un bon métier plus tard. Ce discours est également mis en avant par leur famille.

Les élèves en situation de réussite scolaire éprouvent également bien souvent des motivations intrinsèques : plaisir d’apprendre et intérêt personnel pour les savoirs scolaires.

La motivation intrinsèque n’est pas nécessairement spontanée, mais elle peut être construite par le sujet.

Elle implique de la part du sujet apprenant la capacité à faire des liens entre les savoirs scolaires, la compréhension du monde dans lequel il vit et ses centres d’intérêts. C’est ce qu’on appelle donner du sens aux savoirs.

2) L’engagement dans la tâche :

Une forte motivation favorise un fort engagement dans la tâche.

Le psychologues (Renzulli, Gagné) distinguent le don (ou aptitudes) et le talent. Le don renvoie à un potentiel (qui serait, selon certains, inné). Le talent renvoie à la performance effectivement réalisée.

Le talent implique donc un haut niveau d’engagement dans la tâche. L’engagement dans la tâche désigne des qualités telles que l’enthousiasme, la détermination, l’endurance, la persévérance … mises par un sujet à accomplir une tâche.

Une étude (Roe) menée aux Etats-Unis dans les années 50 sur soixante scientifiques très reconnus dans leur domaine a montré qu’ils ne se distinguaient pas du reste de la population par des aptitudes particulières, mais par leur capacité d’engagement dans leur discipline.

3) L’attitude active en cours

L’engagement dans la tâche commence durant l’heure de cours.

Les travaux menés sur le travail personnel des élèves en réussite scolaire et celui des élèves en difficulté scolaire montre des différences.

Les élèves en difficulté scolaire pensent qu’un bon élève est quelqu’un qui écoute (passivement) en cours.

Les élèves en situation de réussite scolaire ont une attitude active. Cela peut passer par différentes attitudes.

Ils ont une attitude mentale active : ils essaient de comprendre, se posent des questions, font des liens avec d’autres disciplines…

Ils participent en posant des questions et/ou en répondant aux questions.

Ils sont actifs dans leur prise de note en sélectionnant l’information et en l’organisant spatialement (mise en page).

4) Les processus de secondarisation : abstraire et donner du sens.

L’attitude active en cours et dans l’apprentissage en général est important car apprendre n’est pas une activité passive, mais implique des processus de secondarisation.

Acquérir une connaissance, ce n’est pas seulement être capable de la répéter sans en comprendre le sens ou être incapable de la réutiliser dans un autre contexte.

La réutilisation dans un autre contexte suppose un processus d’abstraction : dégager la règle générale ou une hypothèse à partir de cas particuliers.

Comprendre le sens consiste à dégager les enjeux qui se trouvent au-delà des mots. Cela implique par exemple d’être capable de faire des liens entre ce qui est appris en cours et le monde extérieur.

C’est ce que le sens commun illustre par le proverbe chinois : « lorsque le sage montre la lune, l’idiot regarde le doigt ». « L’idiot » serait celui qui est incapable de percevoir le sens qui se trouve au-delà du son émit par les mots.

Ces processus impliquent des capacités de méta-cognition, c’est à dire la capacité à réfléchir à ses apprentissages. C’est la condition de possibilité de l’esprit critique.

Pourquoi par exemple l’enseignement de la philosophie en classe terminale ?

La philosophie est considérée comme une discipline qui suppose la mise en œuvre de capacités d’abstraction et de réflexivité importante. Elle permet donc de préparer les élèves aux opérations mentales que l’on attend d’eux dans l’enseignement supérieur.

5) La mémoire sémantique

Des travaux scientifiques (Lieury) ont montré que mis à part en mathématiques où c’est le raisonnement qui domine, la réussite scolaire est corrélée à la mémoire sémantique.

Les psychologues distinguent deux types d’intelligence.

L’intelligence fluide est liée aux capacités de raisonnement des individus indépendamment de leur culture générale.

L’intelligence cristallisée désigne l’intelligence qui s’appuie sur les connaissances acquises.

La mémoire sémantique est une forme de mémoire à long terme qui se caractérise par la compétence à retenir le sens des mots.

Les études scientifiques montrent que la faible estime de soi et en particulier le fait d’attribuer ses échecs à un manque d’intelligence inné est un facteur négatif dans la réussite scolaire. C’est en outre une attitude qui touche davantage les filles que les garçons.

Parmi les élèves ayant des fortes capacité de raisonnement (QI élevé), seul un 1/3 est en réussite scolaire et 1/3 est en échec scolaire. Cela s’explique sans doute par l’importance de la mémoire sémantique plus que du raisonnement pur dans la réussite scolaire.

L’étude d’Ann Roe sur les scientifiques (un type de personnalité talentueuse) montre là également que ce n’est pas l’intelligence générale (facteur G- intelligence fluide) qui les caractérisent. Mais pour la plupart des disciplines, la capacité de raisonnement verbale.

Enfin, les psychologues ne s’accordent pas sur le caractère inné ou pas des capacités de raisonnement général. En effet, certains considèrent qu’il s’agit d’aptitudes qui peuvent être développées par des entraînements cognitifs par l’usage par exemple des logigrammes. Cette position rejoint les travaux actuels sur la plasticité du cerveau.

5) L’importance des lectures personnelles

Les lectures personnelles sont une méthode excellente pour travailler plusieurs compétences qui augmentent la réussite scolaire :

– les lectures personnelles permettent de travailler la mémoire sémantique

– elles permettent de travailler la littératie. Ce terme désigne « l’aptitude à comprendre et à utiliser l’information écrite dans la vie courante, à la maison, au travail et dans la collectivité en vue d’atteindre des buts personnels et d’étendre ses connaissances et ses capacités. » (OCDE)

– elles permettent d’approfondir le cours.

– elles permettent de travailler sa culture générale sur d’autres sujets que ceux abordés en cours en fonction d’autres centres d’intérêt personnels.

Enfin, les lectures personnelles impliquent la capacité à effectuer une recherche documentaire de manière à trouver les informations pertinentes.

6) La scolarisation du temps de loisir

La capacité à donner du sens aux savoirs scolaires peut être sans doute connectée avec la capacité du sujet à effectuer des liens en dehors des cours avec les savoirs scolaires en écoutant les informations ou durant ses loisirs.

La scolarisation du temps de loisir est un processus qui a été mis en valeur dans différents travaux sociologiques. C’est le cas par exemple dans les familles appartenant aux professions intellectuelles, où les enfants sont en situation de réussite scolaire. Les loisirs sont tournés vers des activités scolairement rentables : musique, cinéma, musées…

Il est possible de constater également un tel processus dans les classes préparatoires économiques. Les activités de loisirs sont utilisés par les étudiants comme des moments qui pourront être réutilisés lors des oraux de culture générale.

7) L’apprentissage autodétérminé

La finalité des processus d’apprentissage scolaire n’est pas uniquement l’acquisition de connaissances, mais le développement de la capacité du sujet à apprendre par lui-même.

En effet, un certain nombre de connaissances sont périssables et il est donc nécessaire d’être capable de se former tout au long de son existence.

Il s’agit de produire des personnalités autonomes qui soient capables de se fixer les objectifs de leurs apprentissages, de sen fixer les moyens, d’organiser leur temps personnel d‘apprentissage, de rechercher l’information pertinente et de maîtriser les méthodes leur permettant d’acquérir de nouveaux savoirs.

Cela passe en particulier par la capacité à se donner une discipline de travail c’est-à-dire des règles et des habitudes de travail régulières que le sujet apprenant suit.

8) La créativité

Renzulli dans son modèle de la personnalité talentueuse inclut la dimension de la créativité. Il est possible de distinguer deux niveaux de créativité dans un domaine. Le premier est la capacité à trouver des solutions originales à un problème. Le niveau supérieur de la créativité est ce que Kant appelle le génie qu’il définit comme celui qui est capable de révolutionner les règles d’un domaine donné.

Il est intéressant de constater que durant l’histoire humaine, on s’est souvent interrogé sur le décalage entre l’enfant prodige (qui fait preuve de performances précoces exceptionnelles dans un domaine donné) et l’adulte génial. Les enfants prodiges sont rarement des adultes géniaux, à l’exception par exemple de Mozart. Ils sont des virtuoses précoces, mais ils ne révolutionnent pas leur domaine d’excellence.

Il est possible que la créativité est plus rapport avec l’engagement dans la tâche qu’avec des aptitudes exceptionnelles.

La créativité suppose la capacité à affirmer ce qu’il y a de singulier dans sa personnalité à travers la tâche effectuée.

Une telle compétence suppose un certain rapport avec le travail effectué qui ne peut pas souffrir le détachement, l’extériorité ou l’indifférence. Ce rapport semble également peu compatible avec un simple calcul utilitariste. En effet, il implique une certaine prise de risque.

buy windows 11 pro test ediyorum