Trucs & recyclages

Un maraîcher urbain

Après 10 ans dans l’audiovisuel artistique, Philippe Zerr a tout plaqué pour devenir maraîcher urbain à Lyon. Depuis 2016, il transforme des espaces délaissés en jardins productifs, il y cultive des légumes qu’il vend en circuit ultra-court aux épiceries voisines, tout en utilisant des déchets de la ville pour la fertilité de son sol. Après avoir testé son modèle sur différentes parcelles, au sol ou sur les toits, il s’installe en 2020 dans un quartier de logements sociaux en plein cœur de la ville.

Tous à table : une expo à la bibliothèque municipale de Lyon

Le Kintsugi

Le kintsugi, l'art de la réparation à la japonaise

Réparer la porcelaine ou céramique cassée avec de l'or au lieu de la jeter. C'est le principe du kintsugi, un art traditionnel japonais qui met en valeur la beauté des imperfections… Voilà comment.

Publiée par Brut sur Vendredi 21 février 2020

 

Fibres écodesign

Matières et technologies : le cas Patagonia

L’utilisation du polyester recyclé réduit notre dépendance au pétrole en tant que source de matières premières. Elle permet également de limiter nos déchets, pour éviter leur mise en décharge et ainsi diminuer les émissions toxiques générées par les incinérateurs. Elle participe à la promotion d’une nouvelle filière de recyclage pour des vêtements en polyester que l’on ne peut plus porter.

BIOFIB-Catalogue

 

Pour un territoire intelligent


Concours des territoires intelligents

Connectivités – MUCEM 2019

Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (Mucem)

mucem-plaquette-institutionnelle

L’exposition Connectivités du MUCEM sur la ville mémoire, la ville à vivre, la ville à habiter, la ville à partager… pour re-penser le monde, une exposition évolutive (comme les villes)

Entretien avec Michel Agier, anthropologue. Qu’est-ce qui fait une ville ? en partant de la question périphérique des camps de réfugiés, des favellas…

Le langage d’une ville, entretien avec Saskia Sassen, sociologue. Sans jugement de valeur, l’exposée du corps de la ville aujourd’hui, différent de celui d’hier, et de celui de demain, toujours en mouvement, en vie, et en diversité(s)

Cavea : une salle de conférence nomade conçue par Olivier Vadrot | Centre national des arts plastiques

Faire voyager le savoir… fonctionnel et militant

Droomhuis de Makkink & Bey 

 

Comment protéger des hommes… engagé et poétique

PDF : Pour partager un Territoire intelligent

La Maison de Nancy de Jean Prouvé : un objet intelligent !

Loger sa famille, la mettre à l’abri dans une maison individuelle. C’est ce vieux rêve de tous les français que Jean Prouvé réalise en 1954, pour sa femme et ses enfants.

La maison est constituée d’éléments préfabriqués, comme il se doit pour une maison Prouvé, mais des pièces préfabriquées que Prouvé avait conçues pour ses autres projets et qu’il a réussi à récupérer dans les stocks de son ancienne usine. Ainsi, les panneaux de la façade équipés de fenêtres à guillotine et volets métalliques, avaient été conçus à l’origine pour des maisons d’urgence, destinées aux réfugiés des régions sinistrées de la seconde guerre mondiale, tandis que les célèbres panneaux à hublots recouverts d’aluminium viennent d’un prototype de Maison Tropicale et de l’étonnante Méridienne de l’observatoire de Paris.

Cette maison de bric et de broc, dont tous les éléments s’assemblent entre eux sans problème parce qu’ils découlent d’une même pensée constructive, devient ainsi est une sorte d’abrégé de la pensée de Prouvé sur l’habitat individuel et le métier d’architecte. La maison elle même est simple: un programme minimum, une économie spartiate de l’espace et des matériaux. Cette simplicité est la marque de Prouvé.

PDF : La Maison de Nancy de Jean Prouvé

Designers en création

PDF : Jean-Marie Massaud + Site

PDF : Erwan et Ronan Bouroullec + Site

Christophe Pillet : Clarté d’expression et recherche de simplicité. L’économie du trait comme une forme d’élégance aboutie + Site

Design with care

Vidéo Les SISMO design with care + Site

Notre état d’esprit ? indépendance et humanisme, optimisme et ténacité, pertinence et impertinence.

Nos attentions

Design with Care et milieux naturels

 

Sujet Territoires-partie-1

Sujet Territoires intelligents-partie-2

 

Pour partager un territoire intelligent

Concours des territoires intelligents

Connectivités – MUCEM 2019

Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée (Mucem)

mucem-plaquette-institutionnelle

La ville mémoire, la ville à vivre, la ville à habiter, la ville à partager… re-penser le monde

Leo Fabrizio, Scénographie Mucem, Exposition Connectivités, Nov. 2019

Qu’est-ce qui fait une ville ? en partant de la question périphérique des camps de réfugiés, des favellas…

Le langage d’une ville

Cavea : une salle de conférence nomade conçue par Olivier Vadrot | Centre national des arts plastiques

Faire voyager le savoir… fonctionnel et militant

 

Droomhuis de Makkink & Bey 

Protéger des hommes… engagé et poétique

PDF : Pour partager un Territoire intelligent

 

Les petits gris de la SNCF

« Comme les Restos du Coeur, ils appartiennent au patrimoine historique de la France! ».

Les « petits gris » –officiellement Z5300, aussi appelés « rames inox » ou « couscoussières »–, ont circulé dans la région parisienne de 1965 à 2018. Ils incarnaient avec leur caisse argentée et leurs banquettes en skaï orange, le confort moderne dans les années 1960.

« Les +petits gris+ ont accompagné la vie des gens matin et soir pendant 54 ans sur parfois de très longues distances. Ils ont marqué la vie de beaucoup de nos voyageurs et on a souhaité pouvoir leur donner une deuxième vie », a expliqué à l’AFP Alain Krakovitch, le directeur général de Transilien (la branche de la SNCF pour les trains de la banlieue parisienne).

La SNCF a permis à cinq studios de jeunes designers de transformer des pièces de ces trains en 17 objets du quotidien: un vaisselier, une table, des étagères, une poubelle, un banc, des portes, des lampes…

S’ajoutent 56 pièces originales qui raviront les amateurs de train: phares, lanternes, tabourets, banquettes, interphones, porte-bagages, manomètres, etc.

Les mises à prix sont relativement modestes.

« C’est une vente caritative, l’idée c’est d’avoir des prix attractifs (…) et que tout le monde puisse participer », a souligné le commissaire-priseur Ludovic Morand. « Si on vent un objet 100 euros, c’est 100 repas aux Restos du Coeur ».

« Surtout, c’est important pour tous les cheminots, et en particulier pour les 13.000 agents de Transilien, que cette vente se fasse au bénéfice des Restos du Coeur. Ils nous le disent, et ce n’est pas étonnant car ils sont dans l’espace public, ils voient aussi la pauvreté tous les jours ».

 

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