Une atmosphère familiale pesante

ClickHandlerLe roman « Le magot de Momm » met en scène cinq femmes qui vivent dans la maison familiale. Bien qu’elles soient proches, elles n’ont pas une relation harmonieuse et il n’y a pas de réelle communication au sein de la famille. Les tensions sont nombreuses. Nann est une veuve mère de trois filles, Lili 16 ans, les jumelles Violette et Wanda 10 ans. Elles ont été hébergées par la mère de Nann, Momm qui elle aussi est veuve. Le mensonge est constamment présent chez chacune de ces femmes. Momm cache une grosse somme d’argent dans la maison. Lili a découvert le magot et s’est enfuie avec son copain que personne ne connaît. Nann a une relation avec un homme qui prétend venir pour mettre de l’ordre dans les finances.

On découvre plus en détail les personnages principaux au fur et à mesure de l’histoire. La psychologie des personnages apparait au travers de leurs actes et de leurs paroles. Momm est assez naïve, veut tout savoir, est intrusive et fait des remarques déplacées. Nann ne se sent pas épanouie dans cette vie de famille, entre sa mère qui l’infantilise et ses filles qu’elle n’arrive pas à gérer. Cela provoque un ras le bol, qui est en réalité partagé par toutes. Lili est malheureuse, rebelle et rêve de liberté. Quant aux jumelles elles sont très complices, sournoises et malines.

Le dialogue entre Momm et Nann est mon passage préféré (page 55, ligne 13). Dans ce dialogue Momm veut encore donner son avis et on sent bien que Nann en a assez de se justifier auprès de sa mère. Cependant elle ne sait pas où se trouve Lili, alors même qu’elle dit être la seule responsable de sa fille.

  • Elle est à un anniversaire.
    – Quel anniversaire ?
    – Ne t’en mêle pas, s’il te plait, j’ai convenu avec elle…
    – Je te demande pardon, mais je suis tout aussi responsable et j’ai quand même le droit de savoir où et avec qui Lili qui n’est pas majeure, je te rappelle, même si tu as l’air, comme elle, de vouloir bruler les étapes…
    – Il n’y a que moi qui sois responsable de Lili, dit-elle d’une voix que la pluie fine du jet d’eau adoucit, frissonnant comme si elle venait d’entrevoir les conséquences concrètes de cette phrase qu’elle n’a formulée que dans l’intention d’écarter d’un seul coup sa mère et le souci éventuel qui la tourmentera bien à temps si Lili n’est pas avec ses amies, un accident, quelque chose…

Le magot de Momm a de nombreux points communs avec Tilleul. Il y a un amour secret tout comme dans Tilleul avec Jonas et Sophie. Il y a également la présence de personnages secondaires qui participent à la logique de l’histoire. On reconnait le style différent de l’auteur. On suit les pensées des personnages, on est tour à tout dans leur tête, ce qui permet de voir l’histoire du point de vue de chacun.

BOCQUEL Anaëlle

Des nouvelles qui réfléchissent nos vies, nos mensonges et nos espoirs

ClickHandlerLe livre “l’Entracte” d’Hélène Lenoir, que j’ai choisi de lire est paru en 2005, il est constitué de cinq nouvelles “: L’entracte ; Les étrangères ; Les escarpins rouges ; Le verger et L’infidèle.”Il s’agit de son septième ouvrage.

Le premier est  l’Entracte, au début de cette histoire, un homme et une femme se rencontrent  lors de l’entracte d’un concert, ces derniers se reconnaissent, mais ne savent plus où ils se sont rencontrés. Une histoire d’amour va se créer entre eux. La femme ne supporte plus son mari et ne pense plus qu’à cet homme qui s’avère être en fait, une connaissance du couple.

La deuxième nouvelle s’intitule Les étrangères. Dans Les étrangères on nous raconte l’histoire d’une entreprise qui recrute des étrangères comme stagiaires, qui sont logées dans des “famille d’accueil”, Nelly est une de celle ci qui va être chamboulée par le remplacement de la directrice de l’entreprise qui s’occupait  de choisir ses femmes. Ensuite on apprend que Gilles, le fils de Nelly, séduit les adolescentes recrutées par l’entreprise. Nelly va donc remettre ses choix en question suite à cette révélation et ce changement.

La troisième nouvelle est “ les escarpins rouges”, il s’agit d’une histoire de romance entre un homme et une femme, l’homme est “perdu” dans ses sentiments, il ne sait plus s’il l’aime ou si elle le “dégoûte”. Sa compagne se retrouve dans l’incompréhension.

Dans Le verger, c’est l’histoire d’une vielle  femme  ayant des problèmes de santé, ses enfants sont dans l’obligation de s’occuper d’elle. Son fils ne la supporte plus, car  elle ne fait que se plaindre. Il est agacé de ne pas pouvoir vaquer à ses occupations. Il s’occupe donc en observant le verger des voisins, en ayant l’espoir de voir quelqu’un. Lors de la fin  de la nouvelle, mère et fils sont devenus plus proches comme au premier jour de son arrivée.

L’infidèle est la dernière nouvelle du livre qui raconte l’histoire d’un couple qui n’a plus de relations sexuelles. La femme va donc devenir paranoïaque  et s’imaginer qu’il la trompe. Un jour elle va se réveiller et voir qu’il est parti en prenant ces affaires, ce qui va confirmer son idée finalement son mari  reviendra le dimanche, celle-ci avait oublier qu’il était en séminaire à Genève pour le week-end.

Dans ce livre on retrouve des  caractéristiques d’écriture de Tilleul, notamment les noms des personnages récurrents ( Sophie, Gilles..) . Le style est aussi semblable, on est d’abord dans l’incompréhension puis il y des  moments de description.

Dans ce livre à la fin de chaque nouvelle, l’auteur nous fait comprendre des sortes de “ morales” qui “ réfléchissent” nos vies, “nos mensonges”,”nos espoirs”…

Mon passage préféré dans ce livre est :” Aussitôt il l’a reconnu : Szpak, la femme de Szpak. Et il s’est souvenu d’elle. Szpak l’aperçut et son visage s’éclaira. Il lui  répondit d’un bref hochement de tête et s’empressa de disparaître. Très vite dans la voiture, il prononça son nom: Zellinger, c’était lui, à la sortie, sur le trottoir d’en face. Je suis sûr qu’il m’a vu. Il est parti très vite. Bizarre…”
Il s’agit de mon passage préféré car on sait enfin d’où ils se connaissaient levant un mystère, et il donne aussi envie d’en savoir plus sur la suite de la nouvelle.

Alycia Pouget

Un livre captivant

s3736279La Brisure est un recueil de dix nouvelles (Le Tableautin ; De mères en filles ; Le Bois ; Les Après-midi ; Une île en Grèce ; Les sports d’hiver ; Un sale quartier ; Trahison ; La chienne ; L’ogresse). Dans ce recueil les nouvelles sont reliées pour la plupart par le téléphone ainsi que par la présence d’un personnage féminin et d’un personnage masculin .Par exemple dans la nouvelle Les Après-midi  une femme parle à sa fille surnommée « Moune » par téléphone ,on n’entend que sa voix, jamais celle de sa fille,  elle parle beaucoup de Caroline (la fille de Moune) et de son mari Charles .

Les personnages de ces nouvelles ont des caractères tous différents mais réalistes car nous avons tous connu une grand mère trop soucieuse de la santé de sa fille comme dans Les Après-midi ou une femme au tempérament de feu comme dans Une île en Grèce.

Mon passage préféré est extrait de la nouvelle Une île en Grèce qui est aussi ma nouvelle préférée , elle raconte l’histoire d’un homme , traducteur de textes qui est lent et peureux (le contraire de sa femme qui est une femme dynamique et forte) , il a une peur bleue de décrocher le téléphone pour contacter un homme travaillant dans le cinéma et qui peut lui proposer un travail qui changera sa vie , c’est sa femme qui se sent obligée de téléphoner à cet employeur. Elle fait des reproches à son mari:
«  Ça devient très inquiétant, ton histoire.C’est maladif , maintenant ! Et tout ça pour un coup de fil ! Un coup de fil où tu n’as rien à perdre et tout à gagner !… Ou alors c’est que ça ne t’intéresse pas, mais , si c’est ça, j’aimerais autant être fixée tout de suite !…Je ne sais pas, je ne comprends pas , depuis le temps que tu rêves de mettre ton nez dans le cinéma ! Je rencontre ce type qui me dit qu’il a un scénario à traduire , je lui parle de toi .Il est enthousiasmé, il me dit de t’en parler , que ce serait formidable , épatant, extraordinaire !… » (p 69)
J’aime ce passage car j’adore le tempérament de cette femme , elle prend les devants elle est active , forte et dans ce passage elle montre sa force , c’est elle qui est allé  démarcher le scénariste , c’est elle qui a téléphoné , sans elle il ne serait rien .

Dans La Brisure , nous pouvons trouver des points communs avec Tilleul , au début des histoires,  un homme ou une femme parlent , on ne connait pas leur nom ,leur  âge ,leur taille… , on est obligé de lire pour en savoir un peu plus , dans Tilleul nous ne savons rien de Raach , nous ne connaissons pas son nom , son age , ses caractéristiques physiques…  . La présence constante du téléphone, il est un élément déclencheur par exemple dans Tilleul , si Gilles n’avait pas piraté le téléphone de Carole l’histoire n’aurait pas pris cette tournure , dans la nouvelle de mères en filles, sans le téléphone , nous n’aurions pas eu connaissance de son amour impossible .Le téléphone est donc chez Hélène Lenoir un élément très important pour le déroulement de l’histoire , grâce au téléphone , les histoires prennent souvent une tout autre ampleur.

Vincent PLANCHON 1 ES 2

20 ans plus tard

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Son nom d’avant raconte l’histoire du personnage principal, Britt une femme mariée et mère au foyer qui, au cours de la communion de son fils aîné revoit un homme dont elle avait croisé le regard dans un bus, pour la première fois vingt ans plus tôt, avant qu’il ne descende et disparaisse. Ces retrouvailles par hasard, vont la chambouler et lui faire prendre conscience de son emprisonnement au sein de sa famille, de la fuite du temps et de ce qu’elle veut vraiment.


Le personnage principal est Britt, une femme mariée âgée de 39 ans, et mère de trois enfants: Junior, Lorette et Tim. Son mari, Justus Casella, dirige l’entreprise familiale et est le fils aîné d’une famille de cinq enfants. Son frère, Bob Casella âgé de 37 ans, n’a pas de femme et est considéré comme “bon à rien”, il est également l’amant de Britt. Les beaux-parents de Britt sont Henriette Casella, décédée il y a trois ans et Adalbert Casella âgé de 82 ans. Ce dernier a deux soeurs Marthe (79 ans) et Nanni (84 ans). Dans la deuxième partie, on découvrira Johann Samek, un photographe qui réalisera un projet dans le hall d’accueil de l’entreprise Casella, et s’avérera être « l’homme du bus ».


L’extrait que j’ai retenu est :
“Son nom, il a dit : votre nom, son nom d’avant, son nom d’enfant, et, tandis qu’il tremblote encore, imprononçable, tout englué dans le fond de sa gorge, d’incompréhensibles larmes affluent avec dans chacune d’elles une image, une sensation de la fillette en uniforme qui tout les jours descendait puis remontait l’avenue à pied vers la place Stanislas au retour de l’école, passait devant la confiserie, l’armurier, le Riviera Fleurs, la mère et ses deux filles énormes, toute cette eau qui coulait.” (p.164)
J’ai choisi ce passage car il est touchant, les souvenirs de Britt remontent à la surface; cette époque où elle était encore jeune et “libre” lui manque. C’est également à la suite de cet appel téléphonique qu’elle va décider de partir. De plus, durant ce dialogue, on apprend ce que veut Johann Samek, l’homme du bus, il veut savoir son nom d’avant, on comprend donc, par conséquent, le sens du titre du roman.


Son nom d’avant contient de nombreux points communs avec Tilleul. Les principaux que j’ai relevé sont que, dans les deux cas, le personnage principal est une femme qui se sent prisonnière et cherche à partir. Il y a des lettres ou extraits de lettre écrits en italique, qui nous en apprennent plus sur le point de vue des personnages, dans Tilleul il s’agit d’un mail; de plus, il y a du suspens durant tout le roman, certains personnages interviennent seulement à la fin du roman, comme dans Tilleul. On remarque également, le peu de description physique des personnages; le thème de la famille; et enfin les scènes de tensions entres les personnages, notamment dans le dialogue entre Adalbert et Nanni (p.148).

MAURIES Margaux

Humour et tension

 

« -vous vouliez me parler?
– à propos du tilleul oui.
-ah
-il a bien tenu le coup
-oui
tout en regardant le feu et en se demandant l’un comme l’autre si c’était pour lui dire ça qu’il était venu.

J’ai choisi ce passage car on comprend que le tilleul n’est qu’un prétexte pour qu’ils puissent se voir. Dans l’ensemble c’est une belle histoire qui associe à la fois une intrigue et une histoire de famille. Les phrases sont longues et avec beaucoup de détails. Il y a beaucoup d’humour et de tension. Ce livre est écrit de façon théâtrale.

 » C’est la sonnerie du téléphone qui le réveilla vers cinq heures. Mademoiselle Ravier venait aux nouvelles,voulant savoir à tout hasard si elle pouvait encore compter sur lui pour leur habituelle partie de scrabble du samedi.
-Mais non, ma pauvre, j’ai l’interdiction de bouger. Après le champagne, je suis à moitié tombé dans les pommes, heureusement Fiff a eu le réflexe :elle m’a balancé un seau d’eau froide pour m’éviter l’hosto. »

Ce passage aussi m’a plu et m’a fait sourire car j’imaginais  la scène.

Un roman différent

Cette histoire m’a plu, car elle se passe à notre époque donc on peut s’identifier plus facilement aux personnages, on peut aussi ressentir leurs émotions. En effet, après un début qui ne m’a pas attiré la suite m’a captivé davantage. Je pense que le fait qu’il y ait peu de personnages explique cette lenteur au début de l’histoire. L’auteur ne dévoile que peu à peu la personnalité des personnages et c’est pour cela qu’il m’a fallu un certain temps pour me lancer vraiment dans ce livre et pouvoir l’apprécier.
Ce style de livre n’est pas forcément le style de livre qui me plaît. En effet quand j’ai le choix, je préfère plutôt un roman policier. Cependant je préfère ce style qu’un classique dont l’écriture est plus difficile à comprendre. L’auteur, par son style nous plonge dans une ambiance assez pesante, angoissante.
Toute cette histoire est basée sur le tilleul. En effet la relation entre le paysagiste Jonas et Sophie, débute à cause de ce tilleul. Jonas a voulu le préserver car lors de sa première rencontre avec Sophie, celle-ci lui avait dit que c’était sa grand mère qui avait planté le tilleul et que du coup elle voulait le garder. On apprend par la suite qu’en fait Sophie n’aime pas du tout ce tilleul car il lui rappelle de mauvais souvenirs . L’histoire se termine auprès de ce tilleul lorsque Harper à la fin disparaît dans son feuillage.

Le passage à la page 132 “mais maintenant j’ai vu les siennes et son magot, tout, ses relevés de compte, ses feuilles d’impôts, ses plans d’épargne, l’assurance-vie qu’il a prise pour Carole, j’ai fouillé, et quand j’ai vu ces horreurs dans le dernier tiroir j’ai arrêté, je n’ai même pas… ce que je voulais l’autre jour, c’était lui piquer l’enveloppe à ouvrir après ma mort, une grosse enveloppe marron avec les bords agrafés tout du long, mais je ne l’ai pas retrouvée, pas le temps, il est rentré et vite le coup de chiffon, le vase que j’avais préparé au cas où… Stop! Je pars.”
Ce passage m’a incité à lire la suite pour savoir ce qu’elle avait découvert et ce qui l’a poussé à s’en aller.

Belkheir Yasmine

Le tilleul

C’est une histoire intéressante,et réaliste qui nous plonge dans des relations assez surprenantes. Les personnages font des actions en même temps qu’ils parlent, je me perdais parfois dasn les points de vues.

“Le tilleul , s’il vous plaît , je sais que je n’ai rien à dire vu qu’il n’est plus sur notre terrain , mais ils ont , déjà abattu tant d’arbres pour construire vous assure , et vous vous savez bien , vous le temps pour qu’un arbre combien d’années … C’est ma grand mêre qui la planté,j’habite là juste en dessous,et le tilleul s’il vous plaît…”

Ce passage m’a beaucoup plu car on voit que Sophie a encore beaucoup d’attachement envers cet arbre bien qu’il soit sur  le terrain qui ne leur appartient plus, et on voit que Jonas, le jardinier, fait tout pour la rassurer sur le sort de l’arbre.On peut supposer que leur attachement a démarré à partir de cet instant.

Henni Marouan

un moment d’émotion

« La mousse crissante avait déjà fondu ne laissant à la surface qu’une écume grisâtre dont elle s’amusait à crever les filets en pliant un genou, en levant un pied, le bout d’un sein, puis l’autre, tandis que ses mains lentement découvraient l’étonnante douceur de sa peau sans doute promise sur la bouteille de plastique beige retrouvée dans l’armoire des toilettes poussiéreuses jojoba au beurre de cacao, dotant d’au moins vingt ans bien conservés, pourtant, comme moi, mais oui comme moi… « 

CRUSEL Barbara

Gilles m’énerve…

C’est une histoire réaliste , captivante mais le personnage de Gilles m’a beaucoup énervé !
Je pense que c’est un style dynamique , les personnages s’expriment presque en même temps. Je me sentais comme regardant un film.

“Le portable sonne au pied du mur. Sophie le ramasse , le tend à sa fille qui l’éteint , puis , les poings serrés au fond de ses poches de pantalon , elle va et vient sur la bande d’herbe qui sépare le mur de la terrasse : Salaud , salaud et dégonflé , lâche ! L’anonymat évidemment , qu’elle pourriture ! Et ce cirque maintenant pour nous retenir et se blanchir … Tu as des preuves , j’espère , parce qu’il nous fera sûrement le coup de l’amnésie ou il criera à la calomnie pour retourner le couteau contre toi “

Ce passage m’a beaucoup plu parce que Sophie se rend vraiment compte de qui est son frère et qu’il ne mérite pas d’être sauvé !
Vincent Planchon

le mail de Sophie

Je trouve l’histoire intriguante, le mystère du début du livre donne envie d’en savoir plus sur l’histoire, la vie des personnages et leurs identités. L’histoire est moderne, l’auteur utilise un langage courant, ce qui nous rapproche de cette histoire.
Mon passage préféré est:  » Je m’appelle Sophie. Sophie Harper. J’ai 38 ans. Une fille Carole,17 ans. Je l’ai élevé seule. Depuis une dizaine d’année, son père vit dans un pays ou il mène en toute  bonne conscience, grâce au statut honorable d’expert, une vie de grand colon avec femme et enfants encore très jeunes »
Car à partir de là un mystère de l’histoire se lève.

Alycia POUGET