Emile Zola « L’argent »

Voici le résumé et mon avis sur le livre de Emile Zola « L’Argent ».

résumé assez difficile à faire :
Saccard est un homme qui avait beaucoup d’argent, mais Saccard a changé de nom, son vrai nom est Rougon .Il demande de l’aide a monsieur Busch, il accepta, mais il faut traduire une lettre en russe à la bourse. C’est monsieur Gundermann qui va essayer de l’aider, en attendant il y croise des personnes qui lui rappellent son passé. Mais la lettre n’a pas pu être traduire. Saccart a un fils prénommé Maxime, il vend l’ hôtel du parc de Monceau puis il décide d’aller vivre a l’hôtel de la princesse Orviedo . La princesse crée une association pour des enfants de Paris,  cela s ‘appelle « L’œuvre du travail ». Saccard commence à apprécier la princesse .Il a une envie soudaine de tuer Gundermann ( il a la haine) . Il fait la connaissance de ses voisins Caroline et Georges Hamelin. Ils sont frère et sœur, ils sont beaucoup partis à l’étranger.Un soir Saccard parle avec Caroline qui devint gouvernante de l’Hôtel. Saccard et Caroline se rapprochent. Il y a des nouveaux voisins, c’est la famille Beauvilliers(une mère et sa fille).
Sa lettre a été traduite, Saccart veut placer de l’argent pour sa société qui s’appelle « la banque universelle ». Il va chez Mazaud, qui lui dit d’aller voir son pire ennemi, monsieur Gundermann ,donc il décide d’aller le voir, mais il ne veut pas participer à son projet. Et il va chez monsieur Daigremont, puis chez Huret,puis le marquis de Bohain et finalement il s’arrête chez monsieur Sébille qui accepte d’ accomplir son plan à Lyon, à condition qu’il en fasse partie. Et Daigremont accepte de participer s’il y a Kolb avec eux. Saccart a convainct la princesse Orviedo de prêter l’hôtel comme banque. Saccart recrute Sabatino qui va les couvrir sur les opérations illégales( prête-nom) et Jantrou qui lui propose d’acheter un journal catholique , le journal s’appellera « l’esperance ». Il accueille aussi la baronne Sandorff. Ensuite madame Beauvilliers veut acheter des actions pour que sa fille se marie. Busch est venu à l’hotel voir Caroline, il lui a annoncé l’existence du vrai fils de Saccart, il se prénomme Victor. La Méchain avait élevé Victor après la mort Rosalie qui est la mère. La Méchain et Busch avaient trouvé les billets que Saccard avait donnés . Caroline part avec une voiture à la cité de Naples, puis conduit Victor à «l’oeuvre du travail». Caroline se met à douter de Saccart, mais Saccard a décidé d’augmenter le capital de la société. Hamelin qui est revenu de l’Orient car il était parti pour conclure des affaires pour la banque, les actions de la banque continuent à grimper. Saccart utilise le journal « espérance » pour faire de la réclame à la banque .Saccart s’énerve sur Huret a écrit un article de journal sur le ministre Rougon. Saccard a accepté que son journal écrive des articles politiques sur son frère,mais cela se retourne contre lui. Gundermann critique Rougon . Huret est conscient des bénéfices de la banque et il veut faire un grand coup financier. La Bourse baisse à cause de la guerre. Saccart achète des actions mises en vente. Donc il double le capital de la banque. Mais Gundermann  perd 8 millions .Mme la Baronne Sandorff cède aux avances de Saccard et devient sa maîtresse. Mais un soir, Caroline découvre la trahison de Saccard. Caroline à partir de ce moment-là,  devient jalouse. Saccard voit souvent sa maîtresse dans un hôtel. Caroline regrette d’avoir envoyé une lettre rassurante à son frère. Maxime qui est le fils de Saccart, la surprend en train de pleurer, il lui fait des confidences sur le passé . Il lui explique que Saccart pense beaucoup à l’argent. Elle décide de s’enfuir mais finalement elle reste auprés de Saccard car elle a pu voir que Saccart était une personne avec des côtés positifs.
C’est l’Exposition Universelle de 1867 à Paris. C’est une manifestation. Saccard offre à l’Universelle un nouveau local. Caroline hésite à avouer ses craintes à son frère car Saccart veut augmenter le capital de la banque. L’ingénieur Hamelin, se méfie mais Saccard,parvient à convaincre les autres à vendre ses idées. L’action de l’Universelle,qui est soutenue par une publicité fait un succès. Ensuite il déclare la guerre à son propre frère. Caroline,va vendre ses actions ce que Saccard ne le saura pas. Huret apprend que monsieur Delcambre a de la haine contre Saccard. . Saccart fait en sorte que les actions ne faiblissent pas. La baronne Sandorff cherche des informations sur Saccart. Jantrou commence à sentir un malaise alors il conseille à la baronne de se rapprocher de Gundermann. Saccart se rend chez Busch,il discute avec Sigismond, il parle d’argent et de projet. Saccard paie sa dette mais cela dégénère; Busch le menace. Les actions dépassent les 3000 francs. . Puis Caroline avoue qu’elle a vendu les actions. Le directeur de l’Universelle est obligé de racheter ses propres actions. Tout est dirigé par Gundermann. Il y a une représentation d’une séance de bourse, mais il y a beaucoup de tensions ,puis il y a une bataille. Cette séance se termine par une victoire de Saccard. Saccart maintient les cours de l’Universelle et achète les actions ,car l’Universelle vit un coup dur. Saccart se voit dépossédé de tout son argent. La baronne Sandorff a trouvé une information et elle va le dire à Gundermann. La séance boursière commence très mal, à cause de la trahison de Daigremont ; Saccart connaît un Waterloo boursier. Saccart et Hamelin se disputent.Le frère de Saccart qui est le ministre Rougon , voit que Saccart a une occasion de se venger. Busch est allé déposer plainte contre Saccard pour une affaire d’escroquerie et le lendemain Saccard et Hamelin sont arrêtés. L’universelle est mise en faillite. Caroline tombe amoureuse de Saccard, et Mazaud ( qui est un agent ) se suicide. Le procès de Saccard et Hamelin est plutôt lent. La princesse d’Orviedo a mis son hôtel en vente. Victor, qui est le fils de Saccart a violé madame Beauvilliers puis il s’est enfui. Caroline, décide d’aller à la recherche de Victor. Caroline va rendre visite à Saccart. Caroline est joyeuse, être avec Saccart lui a permis de se débarrasser de sa colère. Le procès est terminé ils sont condamnés à cinq ans de prison et une amende. Ils ont réussi à faire un appel, c’est Rougon qui les a aidés. Il a pu les libérer, Saccart a décidé de partir en Hollande alors que Hamelin décide de partir en Italie.Hamelin est devenu ingénieur à Rome.

Mon avis:
Je n’ai pas aimé ce livre, car je trouve que Zola utilise un vocabulaire difficile sur la banque. Quand j’ai vu le titre et le résumé, je ne m’attendais pas à ça, cela m’a déçu. Je trouve que les chapitres sont plutôt longs et que les péripéties sont trop rapides.Mais il décrit précisément les personnages,les lieux… il a du faire beaucoup de recherches détaillées .Il nous montre que l’argent c’est le pouvoir, la valeur de l’argent et son usage à son époque. À son époque comme à la nôtre , il a une puissance économique.

Malaurie Boyer 2°4

Le rêve, Emile Zola

Le Rêve est un roman d’Émile Zola publié en 1888, le seizième des Les Rougon-Macquart.

L’histoire ce déroule dans la ville de Beaumont,où un couple Hubert et Hubertine, trouvent dans la rue une petite fille perdue. Ils la ramènent chez eux et apprennent qu’elle a été abandonnée, puis accueillie dans une famille qui la battait. Elle prend donc le poste d’apprenti-brodeuse.  Angélique, travaille bien, elle fait des œuvres magnifiques. Elle devient adolescente, et son rêve est d’aimer et d’être aimée, elle s’imagine qu’un prince viendra la chercher. Puis son rêve commence à se réaliser. Un jour elle aperçoit un beau jeune homme. Un jour il lui dit en face « Je vous aime ». Angélique prit peur et s’enfuit. Elle décide après de plus le revoir. Mais elle l’aimait malgré tout. Il commanda une bordure chez elle, et afin de la voir, il proposa de contrôler ce que faisait Angélique, et pendant deux semaines, ils restèrent ensemble, dans l’atelier. Le jour de la procession, les Huberts et la jeune fille découvrirent que ce jeune homme, Félicien, étai le fils du roi. C’était son rêve qui se réalisait. Mais le roi avait déjà prévu le mariage de son fils avec une autre. Angélique avait pas peur, mais Hubertine l’avertit que la date était fixée, et qu’il fallait qu’elle l’oublie. Angélique essaya de l’oublier, tout en sachant qu’il l’aimait. Mais Félicien ne venait plus, alors Angélique pensa qu’il ne l’aimait plus et tomba malade. Mais le roi accepta que son fils l’épouse, mais ça ne changea rien, et elle mourra le jour de son mariage.

J’ai un avis partagé, c’est un  beau roman,mais difficile au début, l’histoire commence réellement au bout d’une centaine de pages, ce que j’ai trouvé lassant, et je me suis plutôt ennuyée près des trois quarts du livre, il aura fallu attendre les derniers chapitres pour commencer à m’intéresser un peu, c’est dommage. J’ai trouvé un aspect poétique à certains moments malgré  le vocabulaire utilisé qui est assez dur.  J’ai eu parfois l’impression que l’histoire manquait de réalisme…

Chloé Haberzettel

Thérèse Raquin : un trop lourd secret

Résumé du livre:

Thérèse vit à Paris avec son mari Camille et sa belle-mère, Madame Raquin. Prise en affluence entre cet époux qu’elle n’aime pas et la mercerie familiale, elle trompe sa lassitude en se jetant dans les bras de Laurent, un ami de Camille. Les deux amants, pour vivre leur amour sans se cacher, noient Camille en faisant croire à un accident. Ils se marient alors, hantés cependant par le crime qu’ils ont commis. La haine et la crainte de voir leur forfait révélé s’installe au sein du couple : Madame Raquin a percé le secret mais, devenue très malade et muette, ne peut les accuser. Ils finissent par se suicider sous ses yeux.

Impression:

Ce livre est à lire au moins une fois dans une vie, le thème est très intéressant.  Cependant, pour moi le meurtre commis par les deux amants est un peu abusif à mon goût. Elle aurait juste pu se séparer de son mari (Camille) avec qui elle était et se mettre avec avec son nouveau compagnon (Laurent). En plus, après avoir commis ce meurtre, le nouveau couple est hanté par leur grave erreur et en plus leur solution pour fuir ce cauchemar  est le suicide. Mais le livre est très bien pensé.

Gabin CABARROU

Comment on meurt

Aujourd’hui je vais vous expliquer brièvement cette nouvelle assez courte d’Emile Zola.

  • Ce petit livre de Zola est composé de 5 chapitres et chaque chapitre raconte l’histoire d’un personnage ou d’une famille. La tranche d’âge de ces personnages va de 10 ans à 70 ans et ils appartiennent tous à une certaine classe sociale allant de pauvre à célèbre en passant par la haute bourgeoisie, dans tous les chapitres il y a un décès que ce soit un enfant ou bien une personne du troisième âge. Cette nouvelle exprime les différentes façon de mourir et montre bien que n’importe qui peut mourir à tout moment, la vie ne tient qu’à un fil. Voila ce que j’ai pu comprendre à travers ces chapitres, j’ai bien aimé car ce livre est très court et facile à lire, je le recommande.

Biegel Karim.

Au Bonheur des Dames.

Le livre « Au Bonheur des Dames » est un livre écrit par Emile Zola qui raconte la vie d’une jeune fille (Denise, 20 ans) originaire de Valognes (dans la Manche) qui arrive à Paris suite à la mort de ses parents. Elle est accompagnée de ses deux petits frères : Jean, 16ans, et Pépé, 5ans. Plus tôt elle avait reçu une lettre de son oncle, Mr Baudu, disant qu’elle serait la bienvenue si jamais elle avait besoin. Elle a son adresse, le cherche, tombe sur de grands magasins très impressionnants. Elle finit par le trouver mais il ne peut  ni l’embaucher ni même l’héberger très longtemps, elle et ses frères car il est en situation de crise : son petit magasin ne fonctionne pas très bien. Jean a trouvé du travail chez un ivoirier et Pépé sera gardé par Mme Gras ( une vieille dame) en pension complète pour seulement 40 francs par mois. Denise, quant à elle, cherche du travail dans le petites boutiques du coin. Or elle ne trouve rien. Elle décide donc de postuler pour un poste dans le très grand magasin qui l’avait  fascinée : Au Bonheur des Dames, magasin de prêt à porter féminin. Denise réussit tant bien que mal à se faire embaucher dans ce grand magasin car le patron, Mr Mouret, lui trouve un charme. Lors de son premier jour de travail, Denise est au rayon des confections mais les autres vendeuses se moquent d’elle et l’ empêchent de réaliser les ventes importantes. Denise est donc déplacée au rangement des affaires dépliées. Elle rate la vente d’un manteau et devient donc la risée du magasin. Elle fait beaucoup d’efforts malgré les railleries des vendeuses car elle en devient une remarquable. Malheureusement Denise a encore du mal à couvrir les dettes de Jean et payer la pension de Pépé. Une de ses rares amies au Bonheur des Dames lui conseille de prendre un amant (pratique courante auprès des vendeuses du magasin et permise par la direction tant que rien ne se passe dans l’établissement). Denise refuse. Elle pense être tombée amoureuse de Hutin (vendeur au Bonheur…) mais se rend vite compte que ce n’est pas quelqu’un de bien. Deloche (commis) lui dévoile son amour pour elle mais elle le repousse gentiment. Mouret quant à lui est jaloux à l’idée que Denise puisse avoir un amant. Encore sous le poids des questions d’argent de Jean elle accepte un travail de confection de noeuds de cravate qu’elle fait le soir. Au magasins c’est la saison morte et la saison des licenciements. Denise est remarquée en train de bavarder avec sa collègue Pauline. L’inspecteur Jouve pense en tirer avantage pour obtenir des faveurs de Denise. Robineau, pour qui Denise fait des noeuds de cravates est licencié. Denise repoussant les avances de Jouve est surprise avec Jean venu lui demander de l’argent une fois de plus elle est donc licenciée elle aussi. Quand Mouret apprend ça il veut la réembaucher mais ne le fait finalement pas. Denise loue dons une chambre chez un fabriquant de parapluies (Bourras) et malgré la période de misère elle résiste à la tentation de la prostitution. Bourras l’embauche mais elle part quelque temps après car elle est une charge pour lui et elle trouve une place chez Robineau qui a repris une boutique du quartier. Il bataille contre Le Paris-Bonheur de Mouret pour la soie et ils finissent par vendre à perte. Mouret finit par gagner. Denise défend les grands magasins qui sont selon elle l’avenir. Un jour Mouret propose à Denise de revenir travailler au magasin mais elle refuse. Denise quittée par Mouret se réconcilie avec son oncle. Elle réaccepte un emploi bien payé au Bonheur des Dames car dans le quartier les petits magasins (dont celui de son oncle et de Robineau) font faillite. Elle est jalouse car Clara est l’amante de Mouret. Lors de l’inauguration du Bonheur... Denise se voit remettre le titre de seconde vendeuse du rayon confection et Mouret tente de la séduire à nouveau mais elle refuse ses avances. en août elle reçoit, alors qu’elle se remet d’un entorse à la cheville, une lettre de Mouret l’invitant à dîner. Mais jalouse que Clara et d’autres vendeuses y ont eu droit elle refuse malgré son violent amour pour Mouret. Mme Desforges voulant réunir Mouret et Denise monte un plan qui se retourne finalement contre elle car Mouret prend la défense de Denise et quitte sa maîtresse. Mouret démarre de nouveaux travaux d’agrandissement du magasin mais Bourdoncle craint le pouvoir de Denise, il cherche à la discréditer. La jalousie de Mouret se reflète sur son comportement : il devient aggressif envers tout le magasin. Il surprend Denise en compagnie de Deloche et lui fait une crise. Elle annonce donc qu’elle compte partir du magasin. Ne voulant pas la voir partir Mouret la nomme première du rayon costumes pour enfants. Denise et Mouret pensent au mariage. En novembre Geneviève meurt de chagrin. Robineau est désespéré par la faillite de sa petite boutique et tente de se suicider. Mme Baudu se laisse mourir alors que son mari abandonne sa boutique pour aller dans une maison de retraite. A la fin le Bonheur des Dames ne cesse  de s’agrandir et Mouret et Denise se marient.

Mon avis :

L’histoire de ce livre avait l’air intéressant mais je n’ai pas aimé le lire car il y avait trop de descriptions. Il y en avait des paragraphes entiers et je trouve que quand c’est trop long ça devient un peu incompréhensible. De plus, quand les descriptions sont trop longues on en oublie presque le texte d’avant la descripton. Avant de lire ce livre je pensais que le langage de l’époque du livre allait être difficle à comprendre mais finalement le langage n’est pas si soutenu que ça, il est vraiment courant ce qui permet une compréhension correcte.

Lucie AMAT

Naïs Micoulin

Le livre Naïs Micoulin a été écrit par Emile Zola , ce livre est une nouvelle qui raconte l’histoire de deux familles l’une qui se nomme Micoulin et l’autre Rostand , Naïs elle fait partie de la famille Micoulin fille de Megers c’est-à-dire que ses parents cultivent le bien et partagent la récolte avec les propriétaires. Elle tente d’échapper à la violence de son père. Frédéric, lui, est le fils des propriétaires, vient s’installer pour l’été.

Frédéric est un jeune étudiant insouciant, vivant au crochet de ses parents. Ses nuits à Aix en Provence, sont peuplées de salles de jeux et lieux de dissipation.
Naïs, elle, est volontaire, acharnée et bien décidée à prendre ses distances d’un foyer trop oppressant.
Par la suite, les deux personnages Naïs et Frédéric tombent amoureux , Naïs vit pleinement cet amour partagé malgré l’opposition de son père, qui n’hésite pas à frapper la jeune fille à la moindre occasion Les deux jeunes gens cachent leur amour et se donnent rendez-vous le soir à l’abri des regards . Mais le père de Naïs surprend un soir les deux jeunes s’enlacer et décide de tuer Frédéric. Le père Micoulin va mourir. Frédéric, lui, va repartir à Aix en Provence il sera très content de ne pas revenir pour Naïs car elle est devenue très laide . Naïs va se marier avec Toine, un ami qui a toujours veillé sur elle.

J’ai trouvé ce livre facile à lire et très compréhensible.

Boundka.Sofia s°4

Nana, Zola

Nana est un roman de Émile Zola, publié en 1880. Nana fait partie de la série les Rougon-Macquart dont il est le neuvième épisode. Nana parle de la prostitution féminine en suivant le parcours d’une courtisane dont les charmes ont rendu fou les plus hauts dignitaires du Second Empire. L’histoire débute en 1867 et se finit en 1870, cela dure donc trois ans.
Nana est une femme née dans la misère du monde ouvrier, elle est la fille de Gervaise et de Coupeau (deux personnages de la famille Rougon-Macquart) ainsi que la mère de Louiset qu’elle a eu à l’âge de seize ans. Le début de l’histoire présente Nana dans sa misère. Mais malgré cela elle habite tout de même dans un appartement luxueux offert par un de ses amants. Elle commence à se faire connaître tout d’abord grâce au rôle de Vénus dans un théâtre parisien, après cela son ascension ne s’arrête pas et ne cesse de séduire chaque homme qu’elle croise qu’elle humiliera tout le long du livre par des procédures différentes (ruiné, suicidaire, escrocs..). Elle finira par trouver l’amour mais ce dernier la battra et elle finira par fuir pour se réfugier dans une relation avec la prostitué Satin. Elle reviendra avec un de ses amants qu’elle ruinera également avant de disparaître. Elle réapparaîtra alors que son fils est mort d’une maladie qu’elle attrapera également pour mourir en juillet 1970.
Ce livre n’est pas vraiment mon genre mais je le conseille pour les grands lecteurs, ceci dit c’est un classique il est donc utile de l’avoir lu une fois.

Gaches Manon

Nana de Emile Zola

thNana est une courtisane dont le Tout-Paris applaudit les débuts comme actrice au théâtre des Variétés. Beaucoup de personnes discutent de cette nouvelle recrue alors qu’ils ne la connaissent pas . On trouve le journaliste Fauchery, le banquier Steiner, amant de l’actrice Rose Mignon, Mignon lui-même, le comte et la comtesse Muffat qui accompagnent le marquis de Chouard. Beaucoup considèrent que Nana n’a que peu de talent en tant que chanteuse mais ils sont charmés par son rôle de Vénus déshabillée. Nana les a séduits tant par sa beauté que son audace.
Nana manque d’argent pour élever son fils Louiset qu’elle a eu à l’âge de seize ans.  Elle habite pourtant un bel appartement où l’un de ses amants l’a installée, mais elle doit se prostituée pour arrondir ses fins de mois.
Les mêmes hommes élégants participent aux  » mardis  » guindés de la comtesse Muffat et aux soupers débridés de Nana. Les invités de la Comtesse ne parlent que du dîner et des parties que va organiser Nana.
Après le succès de sa pièce ,  Nana a de nombreux hommages, dont ceux d’un prince. Le banquier Steiner lui offre une maison à la campagne .
Nana séduit et affole le comte Muffat qu’elle a invité  dans sa loge.
Nana part se reposer dans sa somptueuse maison à la campagne, où elle a comme voisine la Comtesse Muffat. Le premier soir Nana séduit un jeune adolescent.
Steiner la rejoint ainsi que Muffat obsédé par elle. Elle refuse pourtant de se donner au Comte. La comtesse Muffat, de son côté, subit les avances du journaliste Fauchery auquel elle finira par céder. Nana est célèbre et on l’appelle « La Mouche d’Or ».
Des connaissances de Nana la rejoignent, menant bon train et joyeux tapage. Les deux sociétés se croisent en s’ignorant et en affectant de ne pas se connaître.
De retour à Paris, Nana reçoit régulièrement les visites de Steiner et du comte Muffat. Pour échapper à ses créanciers, elle décide de tout abandonner et part vivre avec l’élu de son cœur, l’acteur Fontan. Mais ce dernier est avare, égoïste et brutal. Au bout de quelques mois de vie commune, il n’hésite pas à la battre et à lui couper les vivres.
Le quotidien devient vite lassant , Nana est délaissée, battue. Par hasard, elle retrouve Satin, une prostituée de rue avec qui elle fait le trottoir comme à ses débuts. Fotan la jette dehors. Alors, grâce a un entremetteur, Nana revoit le comte Muffat qui,  lui a fait quelques infidélités avec Rose Mignon, l’actrice du Théâtre des Variétés.
Subjugué par elle, il lui obtient le rôle dont elle rêve, celui de la femme honnête de la nouvelle pièce du Théâtre des Variétés. La représentation est un désastre. Le comte Muffat dépose cependant toute sa fortune aux pieds de Nana, promettant toilettes, hôtel luxueux, bijoux, à une seule condition : sa fidélité.
Nana adopte alors une vie de luxe et trompe aussitôt Muffat avec le jeune George l’adolescent rencontré prés de sa maison de campagne puis avec son frère Philippe. Dans ce luxe elle s’ennuie pourtant et ramasse Satin sur le trottoir et en fait son amante.
Mais la générosité du comte et de ses nombreux amants ne parviennent pas à satisfaire tous ses besoins Philippe est emprisonné pour vol. Apprenant la liaison de son frère Philippe avec Nana, Georges se suicide chez elle. Nana devient de plus en plus cruelle avec Muffat . Elle parade dans le beau monde, couchant partout, s’amourachant de n’importe qui, se débauchant pour vaincre l’ennui, ruinant les hommes les uns après les autres.
Nana finit par partir , et revient voir son fils atteint d’une maladie qu’elle attrapera par la suite.

Ce livre est très intéressant , car on peut voir le combat d’une femme pour vivre , et faire vivre son fils . Mais on voit aussi une femme qui joue avec les hommes de la bourgeoisie, et les manipule , comme pour se venger . Elle n’hésite pas a se servir de ses charmes.
Ce livre est aussi très dur à lire car il y a beaucoup de descriptions et très peu d’actions , et le vocabulaire est très soutenu.
Mathilde Théron

La machine à tuer

ClickHandlerJe vais vous parler de « La bête humaine » un roman ecrit pas Emile Zola publié la toute première fois dans un habdomadaire illustré : La Vie populaire le 14 novembre 1889 au 2 mars 1890 . Elle fait partie de la grande série de Zola les « Rougon-Macquart »
Ce roman est un roman qui cherche a dénoncer le coté sombre de l’homme « la Bête » comme le dit Zola .
On commence tout d’abord avec Roubaud un hommme qui semble être le personnage principal de ce livre et qui va découvrir que Grandmorin ,un homme qui a aidé Séverine,(la femme de roubaud) abuse d’elle depuis longtemps et Roubaud décide donc de se venger. Or premiére suprise dans ce livre c’est que le personnage principal qui a donné son nom au livre n’apparait que dans le chapitre 2 : Jaques Lantier
Jacques Lantier qui est donc le personnage principal de ce roman est soumis à des pulsions meurtrières , ce qui lui donne donc le nom de Bête Humaine .
Mais comment se fait-il que ces deux personnages réunis juste par l’envie meurtrière aient un lien ?
Et bien car ce roman ne tourne qu’autour d’histoires de meutre et que très vite ces deux personnages vont se retrouver liés à une histoire bien sombre que je vous laisse le plaisir de  découvrir.
J’ai donc bien aimé ce roman car au final il nous plonge dans cette histoire sombre et nous cherchons donc à comprendre comment tout cela a pu se produire. Nous sommes confrontés à des hommes qui donnent l’impresion d’être des machines à tuer , ils semblent avoir perdu la raison et ne peuvent pas cacher leur envie de tuer et cela m’a captivé pendant tout le livre . Dés le début nous sommes confrontés aux envies meurtrières des principaux protagonistes et cela nous tient en haleine et on lit ce long roman sans s’arréter.
Il y a ensuite certains points négatifs comme trop de descriptions dans   son roman et donc cela m’a un peu ennuyé du fait que nous en savons peu en lisant beaucoup.Mais cela permet de rendre le contexte de l’histoire encore plus sombre.
C’est un livre qui contre toute attente m’a plu et qui donc m’a donné envie de lire d’autres oeuvres écrites par Zola.

Alexandre Lecorché.

Germinal d’Emile Zola

En lisant Germinal, je me suis rendu compte des difficultés qu’être mineur pouvaient entrainer.
C’était intéressant et enrichissant car j’ai pu y observer toute la dureté du métier et toutes les horreurs qu’on pouvait rencontrer dans la mine. Malgré la langue parfois difficile à comprendre car écrite dans un registre soutenu et avec un vocabulaire ancien et/ou propre au milieu minier.
Ce livre est aussi intéressant dans sa manière d’être, il raconte l’histoire d’Étienne Lantier tout en dénonçant les infamies que subissaient les mineurs dans la mine et en montrant leur vie à l’extérieur dans les corons. On peut y apprendre entre autres les maladies que pouvaient attraper les mineurs à cause de la poussière de charbon, leurs horaires, leur manière de vivre, la misère omniprésente dans cette catégorie sociale ou bien le danger omniprésent dans les galeries souterraines.
Zola a aussi par le biais de son ouvrage fait passer ses idées. Par exemple la grève qui était un concept abstrait et peu utilisé à l’époque ou bien faire pression sur son employeur pour qu’il accepte les requêtes de ses ouvriers. Tout ces concepts apportés par Zola sont intéressants et permettent de se rendre compte de la dureté du travail de cette époque tout en remettant en cause les pratiques abusives des employeurs.

Ce livre m’a donc appris comment se déroulait la vie d’un ouvrier de la classe moyenne 19ème siècle, sans omettre de montrer tout les côtés négatifs de celle-ci. Zola a bien montré que la grande époque du développement industriel n’était pas lucrative et joyeuse pour tous , tout en dénonçant les comportements des riches patrons et des bourgeois.
Nicolas Ramond