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Une vie sans examen ne vaut pas la peine d'être vécue

Archive for septembre, 2015

Analyse musicale : Instrumentation

La première étape de l’analyse consiste à identifier les instruments présents dans le morceau. Ceci vous permettra de trouver le genre et parfois la forme.

Les instruments se répartissent en différentes catégories :Capture d’écran 2015-09-27 à 10.50.17

auxquelles vous rajoutez les voix, solistes ou choeurs (femmes, hommes, enfants) et bruits, samples, effets sonores (reverb, delay, flanger, chorus…) jingle, MAO (musique assistée par ordinateur : synthétiseurs analogiques ou numériques, boite à rythme, instrument virtuel (logiciel)…).

Il est impératif de s’entrainer à reconnaitre les instruments de musique alors profitez de chaque écoute en classe, à la radio pour travailler votre oreille.

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Epreuve théorique musique

L’épreuve facultative de musique est, rappelons-le, ouverte à toutes les séries. Il s’agit d’une épreuve orale de pratique et culture musicales.

Durée : 40 minutes (partie A : 30 minutes maximum, partie B : le temps restant). Pas de temps de préparation.

L’épreuve est organisée en deux parties enchaînées et évaluées par le même jury.

La partie A mobilise les compétences perceptives du candidat et sa culture musicale, la partie B lui permet de témoigner de ses pratiques musicales.

Les deux parties de l’épreuve peuvent se succéder dans un ordre choisi par le candidat, la durée totale de l’épreuve ne pouvant excéder 40 minutes.

Les candidats individuels et les candidats issus des établissements scolaires hors contrat d’association avec l’État présentent l’épreuve dans les mêmes conditions que celles qui suivent.

Une fiche de synthèse, (voir modèle en cliquant ici) présente au jury les réalisations et études qui constituent le corpus du candidat élaboré tout au long de l’année scolaire. Y figurent notamment les pratiques musicales qui ont été conduites durant l’année scolaire ainsi que les orientations ayant présidé à l’étude des problématiques du programme.

Ce document, dont la présentation au jury est obligatoire, n’est pas évalué mais permet au jury d’enrichir le questionnement du candidat durant les deux moments de l’épreuve.

Deux brefs extraits d’œuvres musicales, dont l’un est obligatoirement issu d’une des œuvres du programme limitatif publié chaque année au Bulletin officiel du ministère de l’éducation nationale, sont écoutés successivement (au maximum à trois reprises).

Guidé par les questions du jury, le candidat en réalise le commentaire comparé visant à souligner les différences et ressemblances des musiques entendues (caractéristiques, expressions, références, etc.).
Certaines questions posées peuvent éventuellement s’appuyer sur un document (bref texte ou bref extrait de partition notamment) communiqué au candidat durant son interrogation et lui permettant d’enrichir sa réponse.

La fiche de synthèse permet d’élargir l’entretien à d’autres œuvres connues du candidat.

Le jury évalue les compétences perceptives du candidat et sa connaissance des problématiques étudiées dans le cadre du programme(voir ci-dessous) Il apprécie également ses capacités à utiliser à bon escient ses connaissances et compétences musicales (vocales et/ou instrumentales) pour resituer les extraits entendus dans l’histoire générale de la musique.

Les problématiques étudiées dans l’année sont :

1 L’œuvre et son organisation

• L’œuvre et ses composantes : éléments constitutifs et leur organisation, unité et diversité, stratégies pour l’écoute, formes et structures.

• L’œuvre et son codage : libertés et contraintes, traditions/conventions/originalités, représentations visuelles et réalités auditives.

2 L’œuvre et ses pratiques

L’œuvre et sa diffusion : éditions, réception par le public (les publics) hier et aujourd’hui, supports de diffusion.
L’œuvre et ses prolongements : arrangement, transcription, citation. L’œuvre et son interprétation : conventions, fidélité, trahison, goût musical, authenticité stylistique.

3 L’œuvre et l’histoire

L’œuvre et ses références au passé : citation, emprunt, allusion, pastiche, hommage musical.
L’œuvre et son contexte : place de l’œuvre dans l’histoire, son environnement artistique, culturel, social et politique.

4 L’œuvre, la musique et les autres arts

L’œuvre, ses prétextes, ses références, ses usages : créations musicales d’après un texte, un tableau, un événement ; utilisation d’une œuvre préexistante dans une chorégraphie, un film, etc.

Il s’agira donc d’étudier les oeuvres au programme à travers ces perspectives et d’interroger les oeuvres inconnues sous ces mêmes perspectives.

Ce qui est donc attendu pour l’examen est une connaissance des oeuvres au programme (cela va sans dire…), une culture musicale personnelle, une connaissance des termes et techniques d’analyse (genre, forme, structure, orchestration, formation…), une culture historique (différents styles, époques…). C’est là-dessus qu’on se perfectionnera tout au long de l’année.

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Faîtes-vous partie de la « New Génération » ?

Dans un court métrage intitulé This New Generation, le réalisateur Tom Leeb s’en prend à l’impact des smartphones et réseaux sociaux sur notre comportement. Ce court-métrage interroge notre rapport à la technique et à autrui, ou plutôt comment notre rapport au monde e à soi-même peut être transformé, car toujours médiatisé par la technique. Nous perdons l’habitude de regarder, sentir, toucher; plus de contact direct. L’oeil de la caméra nous informe sur un monde pixelisé. Heidegger dans La question de la technique y voit le danger le plus grand. Plus l’homme se prend pour le « seigneur de la terre », plus il devient une simple pièce du dispositif technique. En croyant prendre le contrôle sur tout, il se dépossède en vérité de tout pouvoir sur lui-même et le monde. De même, tout génère en « utile » ou « inutile », l’efficacité, la rapidité et l’économie de moyens deviennent les maitres-mots et ce, même dans nos rapports humains (de séduction)…

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C’était chez nous :)

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Dédale et Icare

Icare - illustration 3

Icare avait grandi parmi les inventions de son père Dédale, célèbre artisan de Crète. La plus fameuse de ses créations avait permis à la reine Pasiphaé de séduire un taureau, revêtant pour cela le faux costume d’une belle génisse. Mais cette curieuse union avait donné le jour à une bête monstrueuse, mi-homme, mi-taureau, que l’on nomma le Minotaure.Minos, roi de Crète, se sentit humilié par l’abominable fruit de la trahison de son épouse. Il en conçut une immense honte et voulut dissimuler l’horrible animal. Il fit appel à Dédale qui, après avoir aidé la reine, vola donc au secours du roi…Celui-ci lui demanda de construire un labyrinthe afin d’y enfermer le Minotaure. Convaincu du talent de son illustre architecte, son indignation fut quelque peu apaisée. Après des jours d’intense labeur, Dédale déposa enfin ses plans et fit débuter les travaux. Le labyrinthe était l’une de ses plus ingénieuses mais aussi la plus inquiétante de ses inventions. Il consistait en une interminable suite de détours et de lacets qui rendaient impossible à quiconque y pénétrait d’en trouver l’issue…Ainsi, le Minotaure y fut complètement pris au piège. Ses rugissements s’élevaient au-dessus des hautes murailles et son ombre terrifiante arpentait sans fin les méandres de son vaste enclos. Pour calmer ses accès déchirants de rage, Minos devait lui livrer de la chair humaine. Puisqu’il ne pouvait sacrifier ses citoyens, il ordonna aux Athéniens, qu’il avait vaincus lors d’une précédente expédition, de lui livrer sept jeunes hommes et autant de jeunes filles afin de les donner en pâture au Minotaure. Les jeunes gens qui avaient eu écho de cette effrayante bête, pénétrèrent apeurés dans le labyrinthe. C’est alors que Thésée, héros célébré et reconnu de tous, décida de mettre un terme au massacre et se rendit en Crète. Minos accueillit le jeune homme avec mépris et l’écouta distraitement, convaincu qu’il n’avait aucune chance de sortir vivant du labyrinthe. Mais Ariane, la ravissante fille du roi, apercevant le beau jeune homme en tomba amoureuse. Elle ne souhaitait pas voir son nouvel amant succomber sous les griffes du redoutable monstre et alla implorer Dédale afin qu’il lui vienne en aide. Celui-ci la convainquit de nouer au poignet de Thésée un long fil qui se déroulerait derrière ses pas, lui indiquant le chemin qu’il aurait à emprunter pour retrouver la sortie. Grâce à ce stratagème, Thésée terrassa le Minotaure et un soupir de soulagement s’éleva du cœur de la cité athénienne. Quant à Minos, il se sentit une fois de plus trahi et s’empressa d’aller trouver Dédale qu’il enferma avec son fils dans son propre labyrinthe ! Dédale était au désespoir : sans fil attaché à son poignet, il ne savait que trop bien ce à quoi il était condamné tant son œuvre était infaillible. Il regrettait amèrement d’avoir inventé ce terrible piège ! Il leva les yeux au ciel dans l’espoir d’y voir poindre la clémence des dieux et s’apprêta à les implorer quand lui vint une brillante idée : il n’y avait aucune chance de trouver l’issue terrestre du tortueux labyrinthe, certes, mais la voie des airs, elle, s’offrait à eux dans toute son étendue ! Il avait avec lui de la cire et n’eut pas de mal à se procurer des plumes… Il se mit donc à confectionner pour lui et son fils de majestueuses ailes assez résistantes pour les soulever de terre. Après les avoir fixées sur le dos d’Icare, il prit son visage entre ses mains et lui dit : « Mon fils, écoute les sages conseils de ton père afin de mener au mieux notre évasion. Lorsque tu seras transporté par les airs, surtout ne t’avise pas de prendre trop d’altitude, la chaleur du Soleil risquerait de te brûler les ailes. De même, ne t’approche pas trop de l’océan et de ses hautes vagues qui pourraient t’ensevelir. »

Icare - illustration 2
Exalté, Icare piaffait d’impatience, car comme la plupart d’entre nous, il avait maintes fois rêvé de fendre les airs comme un oiseau. Ils s’élancèrent hors du labyrinthe et atteignirent le ciel grâce à leurs ailes amples et légères. Porté par le vent, Icare se laissait enivrer par le plaisir de sentir la brise le bercer. Le père et le fils volèrent ainsi un long moment, surplombant les sublimes paysages de la Grèce, mais lorsqu’ils atteignirent le détroit qui les séparait de l’Asie Mineure, Icare ne put résister à son désir et désobéit aux sages paroles de son père. Grisé par le goût de la liberté, il s’élança vers les hauteurs. Il s’approcha dangereusement du Soleil et n’entendait pas les cris désespérés de son pauvre père qui percevait trop bien où risquait de le mener son imprudence. Icare jouissait de sa puissance aérienne et, prenant de plus en plus d’altitude, se pensait l’égal des oiseaux. Mais, ne résistant pas à l’intense chaleur de l’astre, la cire de ses ailes se mit à fondre, et le jeune garçon fut précipité dans le vide avant de plonger dans la mer qui porte aujourd’hui son nom.
Dédale, fou de douleur, alla repêcher le corps sans vie de son fils. Le jeune homme, par défaut d’expérience et de sagesse, avait brûlé l’innocence de son jeune âge à l’attirante chaleur de l’astre solaire.
Interprétation :
-technique et désir de liberté, dépasser les limites morales, éthiques, dangers
-interdit et désir
-rapport filiaux
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Théorie/Pratique

La théorie est de l’ordre de la connaissance, plus particulièrement d’une connaissance désintéressée en ce sens qu’étant non appliquée elle ne procure pas d’avantages matériels à celui qui la cultive. La pratique, quant à elle, relève de l’action et vise l’utilité et l’efficacité.

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Universel/Général/Particulier/Singulier

Universel : qui s’applique à tout l’univers en tous temps et en tous lieux. Utilisé comme substantif, ce terme désigne une idée ou une valeur considérées comme un type idéal pour tous.

Général : qui sensé valoir pour tous les êtres appartenant à un même ensemble, à un même genre. A la différence de l’universel, le général admet des exceptions.

Particulier : qui ne concerne qu’un individu ou quelques individus d’une même espèce. Le particulier s’oppose à l’universel.
Singulier: qui s’applique à un sujet unique.

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Suis-je ce que mon passé a fait de moi ? La mauvaise foi

« Or la signification du passé est étroitement dépendante de mon projet pré¬sent. Cela ne signifie nullement que je puis faire varier au gré de mes caprices le sens de mes actes antérieurs; mais, bien au contraire, que le projet fonda¬mental que je suis décide absolument de la signification que peut avoir pour moi et pour les autres le passé que j’ai à être. Moi seul en effet peut décider à chaque moment de la portée du passé :.non pas en discutant, en délibérant et en appréciant en chaque cas l’importance de tel ou tel. événement antérieur, mais en me projetant vers mes buts, je sauve le passé avec moi et je décide par l’action de sa signification. Cette crise mystique de ma quinzième année, qui décidera si elle «.a été» pur,, accident de puberté ou au contraire premier signe d’une conversion future? Moi, selon que je déciderai – à vingt ans, à trente ans – de me convertir. Le projet de conversion’ confère d’un seul coup à une crise d’adolescence la valeur d’une prémonition que je n’avais pas prise au sérieux. Qui décidera si le séjour en prison que j’ai fait, après un vol, a été fruc¬tueux ou déplorable? Moi, selon que je renonce à voler ou que je m’endurcis. Qui peut décider de la valeur d’enseignement d’un voyage, de la sincérité d’an: serment d’amour, de la pureté d’une intention passée, etc. ? C’est moi, toujours moi, selon les fins par lesquelles je les éclaire. »

J.-P. Sartre, l Être et le Néant,
Collection Tel, Éd. Gallimard, 1943, pp. 555-556.

« Considérons ce garçon de café. Il a le geste vif et appuyé, un peu trop précis, un peu trop rapide, il vient vers les consommateurs d’un pas un peu trop vif, il s’incline avec un peu trop d’empressement, sa voix, ses yeux expriment un intérêt un peu trop plein de sollicitude pour la commande du client, enfin le voilà qui revient, en essayant d’imiter dans sa démarche la rigueur inflexible d’on ne sait quel automate tout en portant son plateau avec une sorte de témérité de funambule, en le mettant dans un équilibre perpétuellement instable et perpétuellement rompu, qu’il rétablit perpétuellement d’un mouvement léger du bras et de la main. Toute sa conduite nous semble un jeu. Il s’applique à enchaîner ses mouvements comme s’ils étaient des mécanismes se commandant les uns les autres, sa mimique et sa voix même semblent des mécanismes; il se donne la prestesse et la rapidité impitoyable des choses. Il joue, il s’amuse. Mais à quoi donc joue-t-il ? Il ne faut pas l’observer longtemps pour s’en rendre compte : il joue à être garçon de café. Il n’y a rien là qui puisse nous surprendre : le jeu est une sorte de repérage et d’investigation. L’enfant joue avec son corps pour l’explorer, pour en dresser l’inventaire ; le garçon de café joue avec sa condition pour la réaliser.
Cette obligation ne diffère pas de celle qui s’impose à tous les commerçants : leur condition est toute de cérémonie, le public réclame d’eux qu’ils la réalisent comme une cérémonie, il y a la danse de l’épicier, du tailleur, du commissaire priseur, par quoi ils s’efforcent de persuader à leur clientèle qu’ils ne sont rien d’autre qu’un épicier, qu’un commissaire priseur, qu’un tailleur. Un épicier qui rêve est offensant pour l’acheteur, parce qu’il n’est plus tout à fait un épicier. La politesse exige qu’il se contienne dans sa fonction d’épicier, comme le soldat au garde-à-vous se fait chose-soldat avec un regard direct mais qui ne voit point, qui n’est plus fait pour voir, puisque c’est le règlement et non l’intérêt du moment qui détermine le point qu’il doit fixer (le regard « fixé à dix pas »).
Voilà bien des précautions pour emprisonner l’homme dans ce qu’il est. Comme si nous vivions dans la crainte perpétuelle qu’il n’y échappe, qu’il ne déborde et n’élude tout à coup sa condition. Mais c’est que, parallèlement, du dedans le garçon de café ne peut être immédiatement garçon de café, au sens où cet encrier est encrier, où le, verre est verre. Ce n’est point qu’il ne puisse former des jugements réflexifs ou des concepts sur sa condition. Il sait bien ce qu’elle « signifie » : l’obligation de se lever à cinq heures, de balayer le sol du débit, avant l’ouverture des salles, de mettre le percolateur en train, etc.
Il connaît les droits qu’elle comporte : le droit au pourboire, les droits syndicaux, etc. Mais tous ces concepts, tous ces jugements renvoient au transcendant. Il s’agit de possibilités abstraites, de droits et de devoirs conférés à un « sujet de droit ». Et c’est précisément ce sujet que j’ai à être et que je ne suis point. Ce n’est pas que je ne veuille pas l’être ni qu’il soit un autre. Mais plutôt il n’y a pas de commune mesure entre son être et le mien. Il est une « représentation » pour les autres et pour moi-même, cela signifie que je ne puis l’être qu’en représentation.
Mais précisément si je me le représente, je ne le suis point, j’en suis séparé, comme l’objet du sujet, séparé par rien, mais ce rien m’isole de lui, je ne puis l’être, je ne puis que jouer à l’être, c’est-à-dire m’imaginer que je le suis. Et, par là même, je l’affecte de néant. J’ai beau accomplir les fonctions de garçon de café, je ne puis l’être que sur le mode neutralisé, comme l’acteur est Hamlet, en faisant mécaniquement les gestes typiques de mon état et en me visant comme garçon de café imaginaire à travers ces gestes… Ce que je tente de réaliser c’est un être-en-soi du garçon de café, comme s’il n’était pas justement en mon pouvoir de conférer leur valeur et leur urgence à mes devoirs d’état, comme s’il n’était pas de mon libre choix de me lever chaque matin à cinq heures ou de rester au lit quitte à me faire renvoyer. Comme si, du fait même que je soutiens ce rôle à l’existence, je ne le transcendais pas de toute part, je ne me constituais pas comme un au-delà de ma condition. Pourtant il ne fait aucun doute que je suis en un sens garçon de café- sinon ne pourrais-je m’appeler aussi bien diplomate journaliste ? Mais si je le suis, ce ne peut être que sur le mode de l’être en-soi : Je suis sur le mode d’être ce que je ne suis pas.»

Sartre, L’Etre et le néant

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Programme option facultative musique

Voici les oeuvres au programme cette année pour la partie théorique.

Musique – Option facultative toutes séries

Les œuvres qui suivent sont des références pour l’évaluation des élèves au baccalauréat, mais ne sauraient constituer l’ensemble des œuvres rencontrées et étudiées durant l’année. « Celles-ci sont bien plus nombreuses, certaines étant abordées par la pratique d’interprétation, d’arrangement ou encore de (re)création/manipulation, d’autres l’étant par l’écoute, la sensibilité, le commentaire et l’analyse auditive. » (Extrait du programme fixé par l’arrêté du 21 juillet 2010, B.O. spécial n° 9 du 30 septembre 2010.)

 

Wolfgang Amadeus Mozart

 – Divertimento K136, D Majeur

 

Jean-Philippe Rameau, ensemble d’œuvres

Ces pièces et leurs « versions » imposées permettront d’approfondir les différentes perspectives imposées par le programme de terminale et notamment celles relevant de « l’œuvre et ses pratiques ».

Les interprétations précisées ci-dessous sont aisément accessibles sur les plateformes de téléchargement légal et seront les références pour l’épreuve du baccalauréat. Cependant, les candidats gagneront, tout au long de leur préparation à l’épreuve, à les comparer à d’autres versions dans le cadre des perspectives étudiées.

 

Suite en sol

 

– La Poule

– Les Sauvages

1 – Alexandre Tharaud, in album Alexandre Tharaud joue Rameau,

2 – Christophe Rousset, in album Rameau, pièces de clavecin

Suite en mi

 

– Le rappel des oiseaux

 

1 – Robert Casadesus, in album Jean-Philippe Rameau

2 – Christophe Rousset, in album Rameau, pièces de clavecin

Suite en la

 

– Gavotte et six doubles

1 – Alexandre Tharaud, in album Alexandre Tharaud joue Rameau,

2 – Trevor Pinnock, in album Jean-Philippe Rameau, Complete works for harpsichord

 

Le jazz et l’Orient

Les cinq pièces présentées ci-dessous forment un des trois ensembles du programme limitatif du baccalauréat. Chacune évoque de façon singulière le dialogue des cultures, celles de l’orient et du bassin méditerranéen et celles du jazz occidental, lui-même issu d’une histoire partant de l’Afrique noire et passant par l’Amérique du nord avant d’investir la globalité du monde occidental.

La durée cumulée exceptionnellement longue de ces cinq pièces s’explique par l’esthétique même des cultures dont elles sont issues. Si les formes sont le plus souvent simples, le discours mélodique, le travail du phrasé ou encore l’ornementation exigent quant à eux un temps important pour se développer et permettre à l’auditeur d’en prendre la mesure. Les quatre problématiques du programme de terminale (l’œuvre et son organisation, l’œuvre et ses pratiques, l’œuvre et l’histoire, l’œuvre, la musique et les autres arts) pourront aisément être mobilisées pour réfléchir ces musiques, mesurer leur originalité et développer sur le même modèle des pratiques musicales originales.

– Ibrahim Maalouf, They don’t care about us, in album Diagnostic ;

– Rabih Abou-Khalil, Mourir pour ton décolleté, in  album Songs for Sad Women ;

– Avishai Cohen,  Aurora, in album Aurora ;

– Jasser Haj Youssef, Friggya, in album Sira ;

– Marcel Khalifé, Caress, in album Caress.

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Ne pas confondre !!!!

Capture d’écran 2015-09-25 à 17.16.01Homer

Capture d’écran 2015-09-25 à 17.16.40Homère 

Merci !!!

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