PhiloStjo

Une vie sans examen ne vaut pas la peine d'être vécue

Archive for the 'musique' Category

JASSER HAJ YOUSSEF

http://www.musique-orsay.fr/pages/jazz_orient_sira.html

Instruments ?

Mode ?

Structure ?

Harmonie ?

procédé pour l’improvisation ?

posted by charlierenard in musique and have No Comments

RABIH ABOU-KHALIL

http://www.musique-orsay.fr/pages/jazz_orient_mourir.html

Instruments ?

Tempo ?

Structure ?

Modale ? Tonale ?

Harmonie ?

procédé sous l’improvisation ?

posted by charlierenard in musique and have No Comments

Fiche de synthèse musique et oral

http://www.nd67em.fr/Bac/Cours_et_problematiques.html

http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/musique/jusselme/bacinstroral.pdf

-Dans le champ de la production : tout ce que tu as pu jouer cette année

-dans autres travaux réalisés : les différents concerts, audition, … que tu as pu cette année et précédentes, les examens…
 
-dans champs de la perception  (les écoutes supplémentaires que j’avais prévu de faire aujourd’hui sont en gras, ne les écrivez que si vous les écoutez et apprenez ce que j’ai mis en dessous)
 (ne tenez pas compte des numéros, je n’arrive pas à les enlever…allez comprendre…)
 L’oeuvre et son organisation : 
  1. Rameau : analyses des 4 œuvres, vocabulaire technique, contrepoint, harmonie
  2.  Jazz et Orient : analyses des 5 œuvres, musique modale, instruments orientaux, improvisation orientale, éléments rythmiques
  3. Mozart : analyse des 3 mouvements (focus sur la forme sonate), harmonie, musique verticale, quatuor à cordes,
  4. L’utilisation du quatuor à cordes (doublé) : Eleanor Rigby ; La jeune fille et la mort Schubert
  5. L’oeuvre et ses pratiques : 
    1. Rameau et le clavecin
    2. Rameau : l’interprétation de la musique baroque (ornementation, innovations techniques…)
    1. Rameau : l’interprétation, fidélité ou trahison (comparaisons clavecin / piano)
      -« Excalibur » William Sheller ( version symphonique/ rock)
      -« Otis » Jay z et Kanye West (sampling dans le hip hop)
      -« Hide and seek » Imogen Heap / « Whatcha say » Jason Derulo

    -Les Indes Galantes -Les Sauvages : Arrangement, adaptation, parodie

    -Private Domain Here in this place : arrangement, adaptation

    -2CEllos They don’t care about us : transcription

    1. L’oeuvre et l’histoire :
  1. Rameau : l’art baroque
  2. Rameau : biographie
  3. Mozart : Le classicisme, le requiem
  4. La musique orientale : les instruments
  5. Jazz et Orient : biographies des compositeurs, musique modale/tonale
  6.  Histoire du Jazz
  7. L’oeuvre la musique et les autres arts :
     
    Beethoven : 5è et 9è symphonie dans les films Equilibrium et Orange Mécanique
    -l’art Baroque : peinture et architecture

    -le Classicisme : peinture et architecture

posted by charlierenard in musique and have No Comments

Jazz et Orient

Faire tableau comparatif entre les différents morceaux

Caress :

Capture d’écran 2016-05-04 à 06.31.14

RABIH ABOU-KHALIL

Capture d’écran 2016-05-04 à 06.32.21

Cohen

Capture d’écran 2016-05-04 à 06.33.14

JASSER HAJ YOUSSEF

Capture d’écran 2016-05-04 à 06.33.58

Maalouf

Capture d’écran 2016-05-04 à 06.34.57

http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/musique/NewEducMus/Education_Musicale_a_Lyon/Bac.html

http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/musique/jazzorient.pdf

http://www.educamus.ac-versailles.fr/spip.php?article931

posted by charlierenard in art,musique and have No Comments

Rameau

Œuvres au programme

(interprétations imposées)

Christophe Rousset Alexandre Tharaud Robert Casadesus Trevor Pinnock
Suite en mi : Le Rappel des Oiseaux (1724) mp3 Rameau : Le rappel des oiseaux (Rousset) mp3 Rameau : Le rappel des oiseaux (Casadesus)
Suite en sol : La Poule(1728) mp3 Rameau : La Poule (Rousset) mp3 Rameau : La Poule (Tharaud)
Suite en sol : Les Sauvages (1728) mp3 Rameau : Les Sauvages (Rousset) mp3 Rameau : Les Sauvages (Tharaud)
Suite en la : Gavotte et six doubles (1728) mp3 Rameau : Gavotte et six doubles (Tharaud) mp3 Rameau : Gavotte et six doubles (Pinnock)

Tableau comparatif des interprétations :

http://padlet.com/emmanuelfabre/xayj2wje8obl

http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/musique/NewEducMus/Education_Musicale_a_Lyon/Bac.html

http://www.nd67em.fr/Bac/Cours_et_problematiques.html

 

http://www.francemusique.fr/classique/jean-philippe-rameau-pieces-de-clavecin-option-specialisation-93731

http://www.chartonmathias.fr/Charton_Mathias/Enseignant/Entrees/2015/4/29_Baccalaureat_2015_-_Option_facultative_files/LRQ_Chapitre3_JeanPhilippeRameau.pdf

posted by charlierenard in art,musique and have No Comments

Baroque

Le baroque couvre une grande période dans l’histoire de la musique et de l’opéra. Il s’étend du début du XVIIe siècle jusqu’au milieu du XVIIIe siècle, de façon plus ou moins uniforme selon les pays.

Le mot « baroque » vient vraisemblablement du portugais barroco qui désigne des perles de forme irrégulière. Il fut choisi pour qualifier, au début de façon péjorative, l’architecture baroque venue d’Italie. Le mot n’a été utilisé pour parler de la musique de cette époque qu’à partir des années 1950

L’ère de la musique baroque débute symboliquement en Italie avec l’opéra de Claudio Monteverdi (1567-1643), L’Orfeo (1607), et se termine avec les contemporains de Johann Sebastian Bach et Georg Friedrich Haendel. Jean-Philippe Rameau (1683-1764) et Georg Philipp Telemann (1681-1767), du fait de leur longévité, composent leurs dernières œuvres dans les années 1760 mais, bien avant cette décennie, les compositeurs plus jeunes se sont tournés vers un nouveau style.

Au cours de la période baroque, la musique instrumentale s’émancipe et naît véritablement : elle ne se contente plus d’accompagner ou de compléter une polyphonie essentiellement vocale ; si elle emprunte encore, au début du XVIIe siècle, ses formes à la musique vocale, elle ne tarde pas à élaborer ses propres structures, adaptées à leurs possibilités techniques et expressives.

Les deux pôles de la musique baroque sont l’Italie et la France, dont les styles sont fortement opposés malgré des influences réciproques. Cette opposition était telle que beaucoup de musiciens de l’une des écoles allaient jusqu’à refuser de jouer des œuvres provenant de l’autre. Le style italien se diffusa largement hors d’Italie. La France est sans doute le pays qui résista le plus à cette domination, sous l’influence de Jean-Baptiste Lully (Italien naturalisé français), ceci jusqu’à la Querelle des Bouffons, au milieu du XVIIIe. Par ailleurs, la France a suivi avec retard le mouvement européen d’évolution de la musique vers le style dit « classique » illustré notamment par Haydn et Mozart.

Le style baroque se caractérise notamment par l’importance du contrepoint puis par une harmonie qui s’enrichit progressivement, par une expressivité accrue, par l’importance donnée aux ornements, par la division fréquente de l’orchestre avec basse continue, qui est nommé ripieno, par un groupe de solistes qui est le concertino et par la technique de la basse continue chiffrée comme accompagnement de sonates. C’est un style savant et sophistiqué.

Le luth jouit d’une grande vogue au XVIIe siècle. Le Joueur de luth, du Caravage (1595).

Le style baroque exprime aussi beaucoup de contrastes : les oppositions notes tenues/notes courtes, graves/aiguës, sombres/claires (un accord majeur à la fin d’une pièce mineure)… ou encore l’apparition du concerto (de l’italien concertar « dialoguer ») qui met en opposition un soliste au reste de l’orchestre (le tutti), l’opposition entre pièces d’invention (prélude, toccata, fantaisie) et pièces construites (fugue) ne sont que des exemples.

Le classicisme, plus tard, aura pour ambition de « revenir à la nature ». La confrontation de ces deux idéaux trouve une de ses illustrations les plus célèbres dans la véhémente « Querelle des Bouffons » qui confronte, en France vers 1740 la tragédie lyrique à la française et l’opéra-bouffe italien (Rameau contre Rousseau).

De nombreuses formes musicales sont créées pendant cette période d’un siècle et demi : certaines y atteignent leur apogée (par exemple : la suite, le concerto grosso…) pour ensuite tomber dans l’oubli, d’autres connaîtront une fortune qui durera bien au-delà de la fin du baroque : l’opéra, la sonate (qui engendrera la symphonie), le concerto de soliste.

La période baroque est aussi un moment important pour ce qui concerne l’élaboration de la théorie musicale. On y passe progressivement des tonalités de la polyphonie (tons ecclésiastiques du plain-chant) à la gamme tempérée et aux deux modes majeur et mineur légués à la période classique. On aura entre-temps inventé et expérimenté de nombreux tempéraments et posé les bases de l’harmonie classique. Des instruments s’effacent, d’autres apparaissent ou prennent leur forme définitive, pendant que la facture fait de nombreux progrès et que les techniques d’exécution se stabilisent et se codifient. Il s’agit donc, à tous égards d’une période très féconde.

  • le choral
  • le concerto grosso
  • le concerto
  • la toccata
  • la fugue
  • la sinfonia
  • la sonate
  • la suite de danses
  • le tombeau
  • la cantate profane
  • l’opéra
  • la tragédie lyrique
  • l’opéra-ballet
  • l’antienne
  • la cantate sacrée
  • la messe pour orgue
  • la messe pour chœur
  • le motet
  • l’oratorio
  • la passion
  • la flûte à bec et le cornet à bouquin.
  • les clavecins.
  • le luth et le théorbe.
  • l’orgue qui est resté au XIXe siècle l’instrument privilégié de la liturgie, mais n’intéresse plus guère les grands compositeurs jusqu’à César Franck. La facture de l’orgue à transmission mécanique atteint son apogée, en France et dans les pays germaniques pendant les XVIIe et XVIIIe siècles.
  • les violes de gambe qui ont connu leurs heures de gloire pendant trois siècles, de 1480 à 1780.

Le Concile de Trente (1545-1563), au cours duquel l’Église catholique romaine doit répondre à des questions de réforme interne soulevées tant par les protestants que par ses propres membres, encourage la création artistique comme support de dévotion mais également comme outil d’enseignement. Les œuvres doivent illustrer la doctrine sans la trahir. De plus, l’utilité des représentations imagées pour une masse peu instruite est reconnue.

C’est pourquoi l’art baroque s’est concentré sur les saints, la Vierge Marie et sur des épisodes bien connus de la Bible. Cette conception populiste du rôle de l’art sacré est vue par beaucoup d’historiens d’art comme l’un des éléments ayant conduit aux innovations de Caravage et des frères Carracci qui officiaient (et se faisaient concurrence pour obtenir des commissions) à Rome vers 1600.

Cependant, bien que la peinture religieuse, la peinture d’histoire, les allégories et les portraits étaient encore considérés comme les sujets les plus nobles, le paysage et les scènes de genre étaient également très répandus.

Par opposition à la peinture de la Renaissance qui montre habituellement le moment précédant un événement important, les artistes baroques choisissent le point le plus dramatique, le moment où l’action se produit. L’art baroque est réputé pour évoquer l’émotion et la passion et non la rationalité et le calme qui se dégage de la peinture de la Renaissance.

Au niveau de la composition picturale, la peinture baroque se caractérise tout d’abord par l’utilisation de nombreuses couleurs chaudes et vives qui vont du rose au blanc en passant par le bleu. D’autre part, les contrastes sont très présents, avec des jeux de lumière et d’ombre qui peuvent notamment être utilisés pour mettre en avant la masse musculaire de l’homme. En opposition avec l’approche typique de la Renaissance, qui a un éclairage de la toile uniforme, l’éclairage de la toile baroque se fait par taches. Cette technique attire l’attention sur certaines zones et en laisse d’autres dans la pénombre (utilisation du clair-obscur).

Toujours dans un esprit de contradiction avec la Renaissance, la toile baroque donne des expressions faciales aux personnages présents sur la toile pour faire passer des sentiments. Elle représente aussi principalement une asymétrie (l’action principale n’est pas nécessairement au centre). Les lignes de force de la toile ne sont plus uniquement horizontales ou verticales mais également obliques ou courbes, ce qui a pour effet de donner une position instable aux personnages et une impression de mouvement. Cet effet de mouvement est exprimé par une profusion de vêtements soulevés ou agités par le vent ; le choix des costumes fait souvent référence à l’antiquité. Des étoffes sont également disposées comme des rideaux pour faire une théâtralisation de la scène.

Le baroque s’oppose donc de diverses façons à la Renaissance : c’est une période de rupture qui veut représenter le changement. Les œuvres baroques se différencient par leur intérêt pour le changement, le mouvement, l’instabilité des choses.

Les peintres baroques abordent généralement des thèmes artistiques tirés des légendes et contes bibliques ou mythologiques.

Vermeer, Delatour, Michel Ange

Afficher l'image d'origine

Afficher l'image d'origine

Afficher l'image d'origine

Afficher l'image d'origine

Afficher l'image d'origine

Afficher l'image d'origine

posted by charlierenard in art,musique,prépa and have No Comments

Renaissance

Les XVe et XVIe siècles voient un renouveau d’intérêt pour les cultures antiques grecques et romaines qui a fortement influencé la musique. Les compositeurs de la Renaissance ont voulu opérer un « retour à l’Antique », imiter la musique des anciens grecs. Comme ils ne disposaient que d’écrits théoriques sur la musique grecque, ils ont élaboré leur propre style en se basant sur ces écrits.

Franchino Gaffurio était un théoricien de la musique qui s’appuyait sur des textes grecs. Ses écrits ont renouvelé la pensée sur des thèmes tels que les modes, consonance et dissonance, les éléments et la portée du système tonal, les diapasons, les relations mot-musique et l’harmonie de la musique, sur le corps et l’esprit humain, et sur le cosmos.

Contrairement au Moyen Âge, l’écriture musicale accepte alors les tierces et les sixtes comme consonances : du fait qu’on passe, à la Renaissance, de la gamme Pythagoricienne à la gamme de Zarlino, dans laquelle tierces et sixtes sont fixes et plus « justes », elles deviennent utilisables, en complément des quintes, quartes et octaves déjà précédemment définies (et seules consonances au Moyen Âge). Les maîtres du contrepoint élaborèrent de nouvelles règles pour contrôler les dissonances. Le manuel d’enseignement du contrepoint par excellence au XVe siècle était le Liber de arte contrapuncti, du compositeur flamand Johannes Tinctoris (env. 1435 – env. 1511). La Renaissance a été fortement influencée par la pensée humaniste. L’homme commence à s’intéresser à lui-même pour lui-même. On peut dire qu’il acquiert plus d’indépendance par rapport à Dieu. Le compositeur devient un génie guidé par une force créatrice intérieure.

https://www.youtube.com/watch?v=8xxcZ8Ozwlw

Durant la Renaissance, la musique polyphonique atteint son apogée.

L’invention de l’imprimerie (Gutenberg, 1455) modifiera radicalement la diffusion de la musique. L’impression musicale est inventée par Hahn à Rome en 1476 en musique classique. Tant la naissance de l’imprimerie musicale que l’invention des tablatures (méthode de notation abrégée pour les instruments à clavier ou à cordes pincées) permettent une meilleure diffusion des œuvres.

Vers la fin du XVe siècle, la musique polyphonique sacrée (par exemple, les messes d’Ockeghem et d’Obrecht) retrouve une certaine complexité. À cette tendance, succède, dans la première partie du XVIe siècle un retour vers plus de dépouillement, perceptible dans les œuvres de Josquin des Prés ou de Palestrina : évolution due, en partie, à l’influence du Concile de Trente et du début de la Contre-Réforme qui déconseillent la polyphonie trop complexe, supposée nuire à la bonne compréhension des textes sacrés. La musique profane est plus monodique, plus dépouillée.

 

  • La chanson polyphonique
  • La chanson pour luth
  • Le motet
  • La messe
  • La canzone
  • La cantate
  • Le madrigal

 

Cf. Lassus

https://www.youtube.com/watch?v=1z1c61naKkw

Afficher l'image d'origineJan Van Eyck

Afficher l'image d'origineLa cité idéale Montini

Afficher l'image d'origineL’école d’Athènes Raphael

  • Le nu, qui traduit la compréhension de la nature du corps humain de la part des artistes.
  • La connaissance des proportions du corps humain par l’anatomie (Michel-Ange qui la pratiquait savait autant s’en éloigner pour mettre en relief un trait moral par des distorsions des proportions pour des soucis esthétiques et artistiques).
  • La reprise des techniques et scènes de l’antiquité (due à la migration des savants et artistes grecs en Italie après la chute de Constantinople).
  • L’apparition de la notion de paysage et celle de décors riches et variés.
  • La perspective monofocale à point de fuite central (qui exprime la position du peintre, du spectateur, placé en dehors du tableau).
  • Les genres du portrait et de la nature morte.
  • Les techniques à fresque sur murs, plafonds et voûtes.
  • Les effets de lumières et d’ombres (clair-obscur, grisaille).
  • L’apparition de certains sujets profanes (comme les portraits des commanditaires…).
    • Émail sur terre cuite (terracotta invetriata) Andrea della Robbia.
    • Peinture sur chevalet.
    • Le bois est remplacé par la toile, qui est plus économique.
    • Le sfumato (effet brumeux, pénétration du clair dans le sombre mis au point par le célèbre Léonard De Vinci technique réalisée dans La Joconde).
    • Jan Van Eyck sans l’inventer, améliore la peinture à l’huile.

    Technique des 3 nuances – la tonalité moyenne est obtenue par mélange de la nuance la plus foncée avec la plus claire.

  • Le style Renaissance met en valeur les notions de symétrie, de proportion, de régularité et d’équilibre des motifs, tels que les humanistes ont cru pouvoir les déceler dans les vestiges de l’architecture de l’antiquité classique, et de l’architecture romaine en particulier. Les ordres de colonnes (colonne dorique, colonne ionique, colonne corinthienne), la position des pilastres et des linteaux, de même que les voûtes en plein cintre, les dômes hémisphériques, les niches, trompes et édicules se substituent aux formes irrégulières, disparates et rarement préméditées des édifices médiévaux. Les artistes de cette époque sont polyvalents et cherchent à obtenir le savoir absolu, aussi bien au niveau de l’ingénierie que des arts ou de la philosophie.
posted by charlierenard in musique,prépa and have No Comments

Fiche de synthèse bac musique

http://mediatheque.cite-musique.fr/mediacomposite/cim/_Pdf/10_20_20_Fichesynthesebac.pdf

voilà la fiche à remplir pour l’option musique. Je vous aiderai à le faire.

posted by charlierenard in musique and have Comment (1)

Musique maestro !

posted by charlierenard in art,musique and have No Comments

Marcel Khalifé Caress

http://www.musique-orsay.fr/pages/jazz_orient_caress.html

posted by charlierenard in musique and have No Comments

buy windows 11 pro test ediyorum