http://www.musique-orsay.fr/pages/jazz_orient_sira.html
Instruments ?
Mode ?
Structure ?
Harmonie ?
procédé pour l’improvisation ?
http://www.musique-orsay.fr/pages/jazz_orient_sira.html
Instruments ?
Mode ?
Structure ?
Harmonie ?
procédé pour l’improvisation ?
http://www.musique-orsay.fr/pages/jazz_orient_mourir.html
Instruments ?
Tempo ?
Structure ?
Modale ? Tonale ?
Harmonie ?
procédé sous l’improvisation ?
http://www.nd67em.fr/Bac/Cours_et_problematiques.html
http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/musique/jusselme/bacinstroral.pdf
-Dans le champ de la production : tout ce que tu as pu jouer cette année
-Les Indes Galantes -Les Sauvages : Arrangement, adaptation, parodie
-Private Domain Here in this place : arrangement, adaptation
-2CEllos They don’t care about us : transcription
-le Classicisme : peinture et architecture
Faire tableau comparatif entre les différents morceaux
Caress :
RABIH ABOU-KHALIL
Cohen
JASSER HAJ YOUSSEF
Maalouf
http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/musique/NewEducMus/Education_Musicale_a_Lyon/Bac.html
Œuvres au programme
(interprétations imposées)
Christophe Rousset | Alexandre Tharaud | Robert Casadesus | Trevor Pinnock | |
Suite en mi : Le Rappel des Oiseaux (1724) | mp3 Rameau : Le rappel des oiseaux (Rousset) | mp3 Rameau : Le rappel des oiseaux (Casadesus) | ||
Suite en sol : La Poule(1728) | mp3 Rameau : La Poule (Rousset) | mp3 Rameau : La Poule (Tharaud) | ||
Suite en sol : Les Sauvages (1728) | mp3 Rameau : Les Sauvages (Rousset) | mp3 Rameau : Les Sauvages (Tharaud) | ||
Suite en la : Gavotte et six doubles (1728) | mp3 Rameau : Gavotte et six doubles (Tharaud) | mp3 Rameau : Gavotte et six doubles (Pinnock) |
Tableau comparatif des interprétations :
http://padlet.com/emmanuelfabre/xayj2wje8obl
http://www2.ac-lyon.fr/enseigne/musique/NewEducMus/Education_Musicale_a_Lyon/Bac.html
http://www.nd67em.fr/Bac/Cours_et_problematiques.html
Le baroque couvre une grande période dans l’histoire de la musique et de l’opéra. Il s’étend du début du XVIIe siècle jusqu’au milieu du XVIIIe siècle, de façon plus ou moins uniforme selon les pays.
Le mot « baroque » vient vraisemblablement du portugais barroco qui désigne des perles de forme irrégulière. Il fut choisi pour qualifier, au début de façon péjorative, l’architecture baroque venue d’Italie. Le mot n’a été utilisé pour parler de la musique de cette époque qu’à partir des années 1950
L’ère de la musique baroque débute symboliquement en Italie avec l’opéra de Claudio Monteverdi (1567-1643), L’Orfeo (1607), et se termine avec les contemporains de Johann Sebastian Bach et Georg Friedrich Haendel. Jean-Philippe Rameau (1683-1764) et Georg Philipp Telemann (1681-1767), du fait de leur longévité, composent leurs dernières œuvres dans les années 1760 mais, bien avant cette décennie, les compositeurs plus jeunes se sont tournés vers un nouveau style.
Au cours de la période baroque, la musique instrumentale s’émancipe et naît véritablement : elle ne se contente plus d’accompagner ou de compléter une polyphonie essentiellement vocale ; si elle emprunte encore, au début du XVIIe siècle, ses formes à la musique vocale, elle ne tarde pas à élaborer ses propres structures, adaptées à leurs possibilités techniques et expressives.
Les deux pôles de la musique baroque sont l’Italie et la France, dont les styles sont fortement opposés malgré des influences réciproques. Cette opposition était telle que beaucoup de musiciens de l’une des écoles allaient jusqu’à refuser de jouer des œuvres provenant de l’autre. Le style italien se diffusa largement hors d’Italie. La France est sans doute le pays qui résista le plus à cette domination, sous l’influence de Jean-Baptiste Lully (Italien naturalisé français), ceci jusqu’à la Querelle des Bouffons, au milieu du XVIIIe. Par ailleurs, la France a suivi avec retard le mouvement européen d’évolution de la musique vers le style dit « classique » illustré notamment par Haydn et Mozart.
Le style baroque se caractérise notamment par l’importance du contrepoint puis par une harmonie qui s’enrichit progressivement, par une expressivité accrue, par l’importance donnée aux ornements, par la division fréquente de l’orchestre avec basse continue, qui est nommé ripieno, par un groupe de solistes qui est le concertino et par la technique de la basse continue chiffrée comme accompagnement de sonates. C’est un style savant et sophistiqué.
Le style baroque exprime aussi beaucoup de contrastes : les oppositions notes tenues/notes courtes, graves/aiguës, sombres/claires (un accord majeur à la fin d’une pièce mineure)… ou encore l’apparition du concerto (de l’italien concertar « dialoguer ») qui met en opposition un soliste au reste de l’orchestre (le tutti), l’opposition entre pièces d’invention (prélude, toccata, fantaisie) et pièces construites (fugue) ne sont que des exemples.
Le classicisme, plus tard, aura pour ambition de « revenir à la nature ». La confrontation de ces deux idéaux trouve une de ses illustrations les plus célèbres dans la véhémente « Querelle des Bouffons » qui confronte, en France vers 1740 la tragédie lyrique à la française et l’opéra-bouffe italien (Rameau contre Rousseau).
De nombreuses formes musicales sont créées pendant cette période d’un siècle et demi : certaines y atteignent leur apogée (par exemple : la suite, le concerto grosso…) pour ensuite tomber dans l’oubli, d’autres connaîtront une fortune qui durera bien au-delà de la fin du baroque : l’opéra, la sonate (qui engendrera la symphonie), le concerto de soliste.
La période baroque est aussi un moment important pour ce qui concerne l’élaboration de la théorie musicale. On y passe progressivement des tonalités de la polyphonie (tons ecclésiastiques du plain-chant) à la gamme tempérée et aux deux modes majeur et mineur légués à la période classique. On aura entre-temps inventé et expérimenté de nombreux tempéraments et posé les bases de l’harmonie classique. Des instruments s’effacent, d’autres apparaissent ou prennent leur forme définitive, pendant que la facture fait de nombreux progrès et que les techniques d’exécution se stabilisent et se codifient. Il s’agit donc, à tous égards d’une période très féconde.
Le Concile de Trente (1545-1563), au cours duquel l’Église catholique romaine doit répondre à des questions de réforme interne soulevées tant par les protestants que par ses propres membres, encourage la création artistique comme support de dévotion mais également comme outil d’enseignement. Les œuvres doivent illustrer la doctrine sans la trahir. De plus, l’utilité des représentations imagées pour une masse peu instruite est reconnue.
C’est pourquoi l’art baroque s’est concentré sur les saints, la Vierge Marie et sur des épisodes bien connus de la Bible. Cette conception populiste du rôle de l’art sacré est vue par beaucoup d’historiens d’art comme l’un des éléments ayant conduit aux innovations de Caravage et des frères Carracci qui officiaient (et se faisaient concurrence pour obtenir des commissions) à Rome vers 1600.
Cependant, bien que la peinture religieuse, la peinture d’histoire, les allégories et les portraits étaient encore considérés comme les sujets les plus nobles, le paysage et les scènes de genre étaient également très répandus.
Par opposition à la peinture de la Renaissance qui montre habituellement le moment précédant un événement important, les artistes baroques choisissent le point le plus dramatique, le moment où l’action se produit. L’art baroque est réputé pour évoquer l’émotion et la passion et non la rationalité et le calme qui se dégage de la peinture de la Renaissance.
Au niveau de la composition picturale, la peinture baroque se caractérise tout d’abord par l’utilisation de nombreuses couleurs chaudes et vives qui vont du rose au blanc en passant par le bleu. D’autre part, les contrastes sont très présents, avec des jeux de lumière et d’ombre qui peuvent notamment être utilisés pour mettre en avant la masse musculaire de l’homme. En opposition avec l’approche typique de la Renaissance, qui a un éclairage de la toile uniforme, l’éclairage de la toile baroque se fait par taches. Cette technique attire l’attention sur certaines zones et en laisse d’autres dans la pénombre (utilisation du clair-obscur).
Toujours dans un esprit de contradiction avec la Renaissance, la toile baroque donne des expressions faciales aux personnages présents sur la toile pour faire passer des sentiments. Elle représente aussi principalement une asymétrie (l’action principale n’est pas nécessairement au centre). Les lignes de force de la toile ne sont plus uniquement horizontales ou verticales mais également obliques ou courbes, ce qui a pour effet de donner une position instable aux personnages et une impression de mouvement. Cet effet de mouvement est exprimé par une profusion de vêtements soulevés ou agités par le vent ; le choix des costumes fait souvent référence à l’antiquité. Des étoffes sont également disposées comme des rideaux pour faire une théâtralisation de la scène.
Le baroque s’oppose donc de diverses façons à la Renaissance : c’est une période de rupture qui veut représenter le changement. Les œuvres baroques se différencient par leur intérêt pour le changement, le mouvement, l’instabilité des choses.
Les peintres baroques abordent généralement des thèmes artistiques tirés des légendes et contes bibliques ou mythologiques.
Vermeer, Delatour, Michel Ange
Les XVe et XVIe siècles voient un renouveau d’intérêt pour les cultures antiques grecques et romaines qui a fortement influencé la musique. Les compositeurs de la Renaissance ont voulu opérer un « retour à l’Antique », imiter la musique des anciens grecs. Comme ils ne disposaient que d’écrits théoriques sur la musique grecque, ils ont élaboré leur propre style en se basant sur ces écrits.
Franchino Gaffurio était un théoricien de la musique qui s’appuyait sur des textes grecs. Ses écrits ont renouvelé la pensée sur des thèmes tels que les modes, consonance et dissonance, les éléments et la portée du système tonal, les diapasons, les relations mot-musique et l’harmonie de la musique, sur le corps et l’esprit humain, et sur le cosmos.
Contrairement au Moyen Âge, l’écriture musicale accepte alors les tierces et les sixtes comme consonances : du fait qu’on passe, à la Renaissance, de la gamme Pythagoricienne à la gamme de Zarlino, dans laquelle tierces et sixtes sont fixes et plus « justes », elles deviennent utilisables, en complément des quintes, quartes et octaves déjà précédemment définies (et seules consonances au Moyen Âge). Les maîtres du contrepoint élaborèrent de nouvelles règles pour contrôler les dissonances. Le manuel d’enseignement du contrepoint par excellence au XVe siècle était le Liber de arte contrapuncti, du compositeur flamand Johannes Tinctoris (env. 1435 – env. 1511). La Renaissance a été fortement influencée par la pensée humaniste. L’homme commence à s’intéresser à lui-même pour lui-même. On peut dire qu’il acquiert plus d’indépendance par rapport à Dieu. Le compositeur devient un génie guidé par une force créatrice intérieure.
https://www.youtube.com/watch?v=8xxcZ8Ozwlw
Durant la Renaissance, la musique polyphonique atteint son apogée.
L’invention de l’imprimerie (Gutenberg, 1455) modifiera radicalement la diffusion de la musique. L’impression musicale est inventée par Hahn à Rome en 1476 en musique classique. Tant la naissance de l’imprimerie musicale que l’invention des tablatures (méthode de notation abrégée pour les instruments à clavier ou à cordes pincées) permettent une meilleure diffusion des œuvres.
Vers la fin du XVe siècle, la musique polyphonique sacrée (par exemple, les messes d’Ockeghem et d’Obrecht) retrouve une certaine complexité. À cette tendance, succède, dans la première partie du XVIe siècle un retour vers plus de dépouillement, perceptible dans les œuvres de Josquin des Prés ou de Palestrina : évolution due, en partie, à l’influence du Concile de Trente et du début de la Contre-Réforme qui déconseillent la polyphonie trop complexe, supposée nuire à la bonne compréhension des textes sacrés. La musique profane est plus monodique, plus dépouillée.
Cf. Lassus
https://www.youtube.com/watch?v=1z1c61naKkw
Jan Van Eyck
La cité idéale Montini
L’école d’Athènes Raphael
Technique des 3 nuances – la tonalité moyenne est obtenue par mélange de la nuance la plus foncée avec la plus claire.
http://mediatheque.cite-musique.fr/mediacomposite/cim/_Pdf/10_20_20_Fichesynthesebac.pdf
voilà la fiche à remplir pour l’option musique. Je vous aiderai à le faire.
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