US presidential election : how does it work ?

The US presidential election is an undirect election happening every 4 years. The Election day is scheduled in November on the tuesday following the 1st of November. In 2012, this is on the 6 of November.

What means an undirect election ?

215 millions of american citizens can vote for their president and their vice-president (the presidential ticket). They vote on the Election Day but their vote will designate an electoral college consisting in 538 Great Electors. These Great Electors will elect the president a few weeks later (on the 17th of December) but with the number of Great Electors for each candidates, we know on the Election Day who will be the next president and his vice-president. The Great Electors are not attributed nationally but for each state. Thus, it is an election state by state and not a national election. It means that a candidtae can be elected even if he has les vote in the whole country. It depends on his victory in each state and the number of Great Electors these state victories will bring him.

How are attributed Great Electors for each state ?

The number of Great Electors for each state is equal to the number of Congressmen attributed to each state (number of representatives depending on the population + 2 senators by state). 3 Great Electors are additionnalyy attributed to the Federal District of Columbia (Washington D.C.) whis is not a state and has no congressmen.

How are Great Electors votes attributed to the candidates ?

The system is the winner takes all. It means that when a candidate wins in a state (no matter what is the margin), he gets the whole great electors attributed to this state. Winning in the big states is a key. 2 exceptions : Nebraska attributes its 6 great electors proportionnally to each candidate. The New Hampshire attributes its 4 great electors by electoral county.

How to win ?

To win, a candidate must get 270 Great Electors. In a case of equality (269 each), the House of Representatives will elect the president and the senate will elect the vice-president.

Croquis de synthèse : La superpuissance américaine dans le monde

De nombreux croquis sont proposés, notamment dans le manuel, sur divers sujets se rapportant à la superpuissance américaine mais ils sont souvent cantonnés à un thème (économique ou politico-militaire)

J’ai essayé d’en faire un complet intégrant les divers aspects de l’expression de la superpuissance américaine (politique, militaire, économique) et ses limites (économies et géopolitiques) à l’échelle mondiale :

Croquis-La-superpuissance-américaine

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Général Douglas MacARTHUR

Général Douglas MacARTHUR

 

Né le 26 janvier 1880 à Little Rock (Arkansas, USA)

Mort le 5 avril 1964

Commandant suprême des Forces Alliées dans le Pacifique (1941-45), Comandant des troupes d’occupation américaines au Japon (1945-51), Commandant en chef du corps expéditionnaire de l’ONU en Corée (1950-51)

 

Fils du gouverneur général des Philippines (colonie américaine jusqu’en 1946), il devient officier et se distingue durant la 1° guerre mondiale en France, devient dans les années 20 le superintendant de l’Académie de West Point qui forme les meilleurs officiers américains. Il y est le supérieur de célèbres autres généraux de l’armée (Marshall, Eisenhower…). Le président Hoover le nom chef d’état-major de l’armée en 1930 puis forme à partir de 1935 la future armée philippine. Après l’entrée en guerre des USA en 1941 contre le Japon, il commande les forces américaines et alliées dans le Pacifique, reconquérant les îles, la Nouvelle-Guinée sur le Japon et remportant des victoires décisives (Guam, Midway, Guadalcanal).

C’est lui qui reçoit la capitulation japonaise à bord du Missouri le 2 septembre 1945, mettant fin à la 2° guerre mondiale.

Son prestige militaire fait de lui le commandant en chef des troupes américaines au Japon qu’il administre comme un véritable gouverneur jusqu’en 1951. Lors des procès de Tokyo contre les criminels de guerre japonais, il joue un rôle déterminant pour épargner la famille impériale, en particulier l’Empereur Hiro-Hito, ce qui lui a longtemps été reproché.

Lors de la guerre de Corée, il prend le commandement des troupes de l’ONU qui débarquent à Inchon, remportant une victoire stratégique décisive en septembre 1950. Après l’entrée en guerre de Chine et le recul de 1951, il propose de bombarder nucléairement la Chine, ce qui conduit le président Eisenhower à le limoger et le remplacer par le général Ridgway. A son retour, il prend sa retraite.