D’ici et d’ailleurs: courts métrages

Madagascar Carnet de voyage de Bastien Dubois, 2009, 11’30

Madagascar, Carnet de voyage from bastiendubois on Vimeo.

Madagascar, carnet de voyage

 

Quand passe le train, Jérémie Reichenbach, 2013, 30′

http://www.formatcourt.com/2013/03/%C2%AB-quand-passe-le-train-%C2%BB-de-jeremie-reichenbach/

 

Irinka et Sandrnka, de Sandrine Stoianov, 2007, 16’30.

Irinka et Sandrinka from sandrine stoianov on Vimeo.

 

 

Kwa Heri Mandina, de Robert Jan Lacombe, 2010, 30′.

[youtube]https://youtu.be/hef6Roa2z3U[/youtube]

 

Lisboa Orchestra, Guillaume Delapierre, 2012, 12′

LISBOA ORCHESTRA / Teaser from Guillaume Delaperriere on Vimeo.

Comment représenter l’enfance ?

Comment commencer un film ?

Lisboa Orchestra

 

Les 400 coups, Truffaut, 1959.

Présentation du film par Serge Toubiana

[youtube]https://youtu.be/41Xi8BX2BpM[/youtube]

https://www.youtube.com/watch?v=41Xi8BX2BpM

La Nouvelle vague est un renouveau du cinéma qui affirme une nouvelle manière de faire du cinéma. Elle s’inscrit contre le « cinéma de papa » basé surtout sur des adaptations littéraires de romans. Elle nait en 1959 avec Les 400 coups de Truffaut qui triomphe au festival de Cannes. La Nouvelle vague se caractérise par l’arrivée de nouveaux et jeunes acteurs : Jean-Pierre LéaudImage associée, Jean Claude BrialyRésultat de recherche d'images pour "Jean Claude Brialy", Jean Paul Belmondo.Résultat de recherche d'images pour "Belmondo" Le ton des films et la manière de filmer est plus libre. Les progrès techniques (caméras légères, pellicule ultra sensible) permettent de filmer dans des décors naturels d’autant plus que ces jeunes réalisateurs n’ont pas de carte de cinéma et ne sont donc pas autorisés à entrer dans les studios. On n’hésite pas à choisir de jeunes acteurs inconnus. On intègre parfois des séquences documentaires au scénario, par exemple les rues de Paris des années 50.  A l’époque, on ne bloquait pas les rues car ce sont les premiers à filmer dehors.La lumière est naturelle. Les dialogues sont parfois improvisés ( interrogatoire d’Antoine par la psychologue). Aussi, les budgets des films sont dix fois moins chers que dans le cinéma traditionnel. Ils s’inspirent du cinéma américain et notamment d’Hitchcock, peu connu à l’époque.

Quelques réalisateurs célèbres : Claude Chabrol, François Truffaut et Jean-Luc Godard, qui collaborent aux Cahiers du cinéma, revue fondée en 1951 par André Bazin, et, d’autre part, Alain Resnais et Marguerite Duras, qui signent ensemble Hiroshima mon amour (1959).

Début du film

[youtube]https://youtu.be/T5KbMsMXQYw[/youtube]

Dernière séquence

[youtube]https://youtu.be/ZP2c_mC_agE[/youtube]

Long travelling latéral qui s’achève sur un « regard caméra ».

http://ww2.ac-poitiers.fr/daac/spip.php?article1070

https://www.youtube.com/watch?v=T5KbMsMXQYw

Les mouvements de caméra : http://www.centreimages.fr/vocabulaire/s5/S5Exercice_p10b.html

https://www.youtube.com/watch?v=ZP2c_mC_agE


Rédaction

Comme Antoine avec René, tu as (ou tu as eu) toi aussi un vrai complice pour partager les bons moments et les coups durs. Présente cet-te ami-e et raconte une anecdote marquante de cette amitié.

 

Les Fourberies de Scapin

Du texte à la représentation.

Comparez deux mises en scène : personnages, costumes, décors,accessoires, bruits, jeux de scène.

Le comique est-il le même dans les deux interprétations ?

Acte III, scène 2. La scène du sac.

[youtube]https://youtu.be/edkZn8KeLZQ[/youtube]

Mise en scène de Jean Louis Benoit. Comédie française. 1998.

[youtube]https://youtu.be/sz8Y3ZAK70k[/youtube]

Mise en scène de Omar Porras. Théâtre Malandro. 2009

d’autres captations ici

Résultat de recherche d'images pour "galère patronne"

Galère Patronne; XVIIè siècle.(gravure)

http://www.louvre-antiquaires.com/cache/media/mini540w810h/images/objet/56017be5819ce.jpg

Pierre Jacques Volaire. Vue imaginaire du port de Naples. Musée du Louvre.

Phantom Boy. critiques 5F-5G.

Phantom Boy1.fiche technique

Phantom boy est une oeuvre de Jean-Loup Felicion & Alain Gagnol qui date du 14 octobre 2015. C’est un film du genre policier fantasy/animation des studiso Folimage. Les acteurs principaux sont: Audrey Tatou dans Mary ,Edouard Baer dans Alex Tanguy ,Jean-Pierre Marielle  double l’homme au visage cassé, Jackie Berroyer,  la taupe et Gaspard Gagnol, Léo.

2.sysnopsis

Phantom boy est un film du genre policier qui parle d’un garçon de 11 ans nommé Léo.Ce garçon est à l’hôpital car il a une maladie très rare. Cette maladie lui a fait perdre ses cheveux,et lui permet de se transformer en fantôme. Alex, un jeune policier qui vient d’arriver à l’hôpital, s’est fait agresser par un homme au visage cassé. Cet homme menace de détruire New-York avec un virus informatique.Le fantôme de Léo et Mary, une journaliste, ont 24H pour sauver New-York d’une destruction programmée.

3.la critique du film

1.Léo

Léo a 11 ans, il est malade.Cela l’a rendu chauve. Il peut sortir de son corps comme un fantôme. Il peut traverser les murs et explorer la ville, mais s’ il reste trop longtemps hors de son corps il peut mourir.Dans ce film, il incarne le héros puisqu’il sauve plusieurs fois la vie à Mary.Il est modeste et courageux. Je pense que Léo est le héros puisqu’il peut à peine tenir sur ses jambes mais il essaye quand même d’aider Alex et Mary.

2.la comparaison des héros

Léo est comparé à des héros comme Batman, il agit la nuit. Ils se transforme en fantôme et traverse New York pour sauver Mary de l’homme au visage cassé. Les réalisateurs se sont inspirsé de jeunes super héros comme Robin, Kid Flash ou même Super Boy. Si on continue dans les comparaisons, Léo n’a pas de costume, il est en pyjama,,on le compare plus à un amateur au lieu d’un super héros. Mais pourtant dans le film, il fait ses preuves puisqu’il combat la maladie, sauve New York et Mary.

3.La critique 

Ce film m’a fait réfléchir parce que Léo se bat contre la maladie du début jusqu’à la fin. Même si on pourrait penser qu’il est malade donc inactif et qu’il va mourir ou ne jamais guérir, il se bat pour s’en sortir. Je trouve cela remarquable et étonnant de la part d’un enfant de 11 ans.

Ethan Jean Baptiste et Othniel Benabi. 5°F

D’autres critiques :

Selena

Louise et Jade . 5F

Lougna Wendy 5F

Inés Lana 5G

Phantom boy

PHANTOM-BOY

http://www.focusonanimation.com/wp-content/uploads/2016/06/phantom-boy-affiche-us.jpg

AFFICHES

 

 

 

 

 

 

 

Affiche française (à gauche) américaine (à droite).

Phantom boy : Fiche les affiches

Héros adolescents  issus des comics ayant pu inspirer le personnage de Léo.

Phantom boy : fiche les personnages 

Image associée

Kid Flash

Image associée

Robin

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Série d’animation Danny Phantom, héros mi-ado, mi-fantôme crée par Butch Hartman.

Le scénario s’inspire des comics américains. ce sont des bandes dessinées dédiées aux super-héros. Il y a deux grands labels : Marvel et DC. Chez la maison d’édition Marvel, on trouve Spider-Man, Hulk, Thor, Captain America, Iron Man… Chez DC, Superman, Batman, Catwoman, Woonder Woman, Flash….

Les caractéristiques du super héros. Ce sont des justiciers qui combattent les criminels et défendent les innocents. Ils incarnent le bien contre le mal. Ils ont de super pouvoirs : force herculéenne, vitesse de déplacement, capacités de transformation…Ce sont souvent des personnages menant une double vie : super-héros et êtres anonymes dans la vie ordinaire. Aussi sont-ils souvent masqués pour cacher leur véritable identité. Ils portent un costume qui les caractérise : collants de couleurs vives, cape et masque. Ils évoluent dans de grandes métropoles là où se développent le criminalité et la corruption. la plus emblématique est New York mais elle peuvent prendre d’autres noms comme Metropolis dans Spiderman ou Gotham City dans Batman. Le super-héros s’oppose à son double négatif, ennemi très puissant et souvent doté de super pouvoirs : Le Joker, le Pingouin, Magnéto, Lex Luthor.

Art et personnages ayant inspiré l’homme au visage cassé.

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L’homme au visage cassé inspiré par la peinture cubiste.

Image associée

Portrait cubiste de Picasso

 

 

 

 

 

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Le joker dans Batman, défiguré après une chute dans une cuve d’acide.

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Jack Nicholson. Batman de Tim Burton. 1989

Personnages ayant inspiré Alex Tanguy et Marie Delaunay

 

Image associée

Jeff (James Stewart), Lisa (Grace Kelly) et Alfred Hitchcock dans Fenêtre sur cour, à New York. 1954.

Dans Phantom Boy comme dans Fenêtre sur cour, le personnage masculin ne peut pas jouer son rôle de protecteur car il est immobilisé avec une jambe dans le plâtre. Dans les deux cas il agit à distance en mettant en danger la jeune femme qui l’aime.

Résultat de recherche d'images pour "phantom boy"

Résultat de recherche d'images pour "phantom boy"

Voix : Edouard Baer et Audrey Tautou.

D’autres influences picturales.

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Peinture hollandaise : Vermeer. 1664

Résultat de recherche d'images pour "phantom boy"

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Portrait de Modigliani

Résultat de recherche d'images pour "phantom boy"

 

 

 

Résultat de recherche d'images pour "modigliani"

 

Extraits. Site Folimage

[youtube]https://youtu.be/RGnGzEcg278[/youtube]

CLAP.CH: Interview d’Alain Gagnol et Jean-Loup Felicioli pour « Phantom Boy »

Promenade à Fontainebleau en 1902

En arrivant en ville, avec mon amie Marie, chez qui je devais séjourner, nous parcourûmes la ville à cheval. Nos montures étaient magnifiques, beiges avec les pattes et la queue marron. Je vis tout de suite la splendeur des lieux. Il y avait des rues étroites en pavés sur lesquels raisonnaient les sabots des chevaux et autour, des petites boutiques. Les maisons étaient en pierres blanches et leurs toitures en ardoises noires.

Il faisait chaud en cette fin de mois d’août et les enfants jouaient sur la place principale avec leurs poupées de chiffon et leurs petites voitures en bois peinte de toutes les couleurs. Les petites filles avaient de belles robes bleues en dentelle et leur mère leur nouaient un ruban dans leurs cheveux bien coiffés. Les garçons eux, portaient des salopettes grises, une petite chemise blanche et un béret noir tandis que les femmes s’habillaient avec de longues robes colorées. Les enfants riaient et c’était agréable à entendre comme une joyeuse mélodie.

J’observai plus particulièrement une famille de quatre personnes : une femme, un homme, un jeune garçon et une fillette. Ils marchaient dans la rue principale appelée la rue Grande, en se tenant la main : leur geste traduisait l’amour qu’ils avaient les uns pour les autres. Ils passèrent devant le fleuriste, ça sentait bon les roses puis devant le boulanger où une bonne odeur de pain chaud venait chatouiller mes narines et enfin devant le marchand de glace où tous les enfants se pressaient pour avoir leur parfum préféré. Après une petite escapade chez le glacier, la famille se dirigea vers le château où ils se promenèrent tous ensemble. A l’entrée du château de Fontainebleau, on découvrait un majestueux escalier en forme de fer à cheval. Le château était entouré d’un grand parc, il y avait des allées en sable bordée d’arbres millénaires, de rosiers et d’arbustes. Ils y avaient aussi des statues de dieux et de déesses et des bassins où nageaient de belles carpes devant lesquelles les enfants s’extasiaient, ouvrant de grands yeux

Cette promenade ombragée me faisait du bien car après une journée si chaude et ensoleillée, un peu de fraicheur n’était pas de refus. Hélas, je ne pus les observer plus longtemps car je dus rentrer, c’était déjà l’heure du dîner.

Séléna LIORZOU 5°F

Les éperons de la liberté, Pam Munoz Ryan

Les éperons de la liberté. Pam Munoz Ryan

Contrôle de lecture cursive :  eperons liberté élève

Avis des lecteurs de 5°F

J’ai aimé de ce roman car cette jeune fille défend le droit de vote des femmes, le fait que les femmes peuvent conduire une diligence aussi bien que les hommes. J’aime aussi beaucoup le caractère de Charlotte et son projet qu’elle mène à bien. Maya Rose.

J’ai aimé ce roman car il est simple à lire et plein de rebondissements. Il y a aussi des sentiments comme la peur, la colère, la joie et la tristesse qui donnent une toute autre dimension à l’histoire et la rend captivante. Ethan

J’ai aimé ce livre car l’émotion, au début,  était plus présente qu’à la fin avec la mort de Liberté, l’empêchement d’aller à l’écurie, la vie dans l’orphelinat. C’est aussi l’histoire d’une fille qui vit une aventure. Elle traverse tout un pays, elle ne renonce jamais à ses rêves. J’aime bien lire toutes sortes d’histoires, alors, bien sûr que je l’ai aimé. Philomène.

J’ai bien aimé ce roman car il y a la passion pour les chevaux, l’amitié, la tristesse, la vengeance! Dommage qu’il n’y ait pas d’illustrations. Mattéo

J’ai bien aimé car l’histoire est intéressante et que le voyage est long; on apprend plein de choses. On apprend aussi que rien ne peut détruire les rêves. Quand on veut, on peut. Et ça m’a vraiment plu son côté décisif; Charlotte ne recule devant rien et elle persiste. Lison

Le western

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Définir le genre du western à partir de cette image.

Un homme, un cheval, et toute l’immensité de Monument Valley, décor grandiose et immuable  illustrent pour l’Amérique le mythe de la conquête de l’Ouest et l’époque des pionniers entre 1860 et 1890.  Le western raconte  la naissance d’une nation, mais transforme l’histoire en légende. Il a une dimension épique, par la grandeur des paysages et par les valeurs qu’incarnent les héros (héroïsme, courage, force de caractère, loyauté, honnêteté). Les indiens sont considérés comme des sauvages à éliminer.  « Le western est le cinéma américain par excellence »  dit le critique André Bazin.

On retrouve dans ces films, toujours les mêmes motifs : le Far West avec la rue, le saloon, la boutique du barbier, le solitaire, le shérif face à des hors-la-loi sanguinaires, le fermier têtu, un idiot du village, la corde de chanvre, l’étoile du shérif, l’armement traditionnel : Colt Peacemaker et Winchester 73 ou Henry Repeating Riffle.

Cadrage cinématographique

Le western utilise le plan large et le plan de grand ensemble pour montrer le personnage dans le vaste paysage qu’il traverse ou qu’il doit conquérir. Souvent la caméra pivote pour découvrir un élément menaçant qui surgit dans la scène. Les plans rapprochés traduisent des tensions fortes. dans les instants qui précèdent un affrontement, un duel, on utilise la technique du champ-contrechamp.

Trois périodes dans l’histoire du western.

Le western classique : du début du XX°s aux années 50.

Le western qui est le cinéma américain par excellence exprime toutes les valeurs de la société américaine : Résultat de recherche d'images pour "La Prisonnière du désert"

  • la conquête de l’Ouest : le rapport entre le sauvage (l’indien) et le civilisé (le blanc). Fort Apache, 1948
  • la naissance des villes : le rapport entre la loi et le crime. Liberty Valence 1962
  • une réflexion sur la violence : entre bandes hors la loi, entre hors la loi et forces de l’ordre et entre armée américaine et tribus indiennes.

John Wayne incarne le héros du western. Il est courageux, sûr de lui, loyal, honnête et juste. Il protège les plus faibles. C’est un héros positif, l’américain idéal. Le genre est à son apogée entre 1950 et 1965, son maître incontesté est le réalisateur John Ford.

[youtube]https://youtu.be/2MzeCUblV3s[/youtube]

Les plus grands westerns.

La prisonnière du désert, (John Ford, 1956) et Johnny Guitar (Nicholas Ray,1954) L’homme qui tua Liberty Valance (John Ford, 1962), Rio Bravo (Howard Hawks, 1959)

Le sur-western ou western politique : années 60.

Le héros ne croit plus aux valeurs de l’Amérique, il est tourmenté et devient un anti-héros. les scènes deviennent plus violentes. Le sang apparaît : L’homme de l’ouest D’Anthony Mann, avec Gary Cooper (une bagarre à mains nues qui dure 10 mn). L’Appât de James Stewart, La Flèche brisée change la représentation de l’indien qui devient un personnage.

[youtube]https://youtu.be/ODwt-fjh0nw[/youtube]

Dans les années 60, une vague de contestation de la jeunesse secoue la société américaine. Elle manifeste contre la guerre de Vietnam, contre la bombe atomique, cotre la société de consommation. elle défend les droits des minorités (les noirs, les femmes, les homosexuels…). C’est le mouvement hippie et la naissance de la culture Pop, une culture du mélange. Les Beatles triomphent aux Etats-Unis. Succès de la bande-dessinée Lucky Luke par Morris/Goscinny

Le western crépusculaire : années 70.

Le western n’incarne plus le rêve américain mais un cauchemar. Il déconstruit la mythologie du western. Il n’y a plus de séparation nette entre les bons et les méchants. Les hommes politiques sont souvent corrompus. Les scènes deviennent ultra-violentes.  Le Gaucher de Sam Peckinpah, 1969. En Italie,  Sergio Leone réinvestit le genre du western. Sergio Leone  réalise quatre westerns successifs : Pour une poignée de dollars (1964), Et pour quelques dollars de plus (1965), le Bon la brute et le truand (1966), Il était une fois dans l’Ouest (1968).

[youtube]https://youtu.be/-oSjtNMB9uI[/youtube]

Analyse de séquences dans Pour une poignée de dollars, Sergio Leone.

Pour une poignée de dollars

Liens pour approfondir

Ciné Club de Caen : le western.

Archives et critiques

Saltimbanques Apollinaire

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Saltimbanques

Dans la plaine les baladins
S’éloignent au long des jardins
Devant l’huis des auberges grises
Par les villages sans églises

Et les enfants s’en vont devant
Les autres suivent en rêvant
Chaque arbre fruitier se résigne
Quand de très loin ils lui font signe

Ils ont des poids ronds ou carrés
Des tambours des cerceaux dorés
L’ours et le singe animaux sages
Quêtent des sous sur leur passage

Guillaume Apollinaire Alcools (1913)

De l’autre coté du placard.

Il était une fois, deux petits jumeaux qui vivaient avec leurs parents dans une maison au beau milieu d’une ville très polluée . Un soir de pleine lune, les deux frères se réveillèrent  aveuglés par une lueur blanche qui sortait  du placard de leur chambre. Mais leurs parents leur avaient interdit d’ouvrir les soirs de pleine lune. Alors,ils décidèrent de ne rien écouter et ils ouvrirent la porte . En poussant la porte de l’armoire, ils découvrirent un escalier et ils décidèrent de le descendre.Au bout des marches, ils virent une forêt, ils avancèrent de plus en plus dans les bois puis, ils virent une petite maisonnette au loin. Ils toquèrent au seuil , une vielle  dame leur ouvrit , elle leur demanda d’entrer. Ces deux derniers hésitèrent mais ils rentrèrent quand même . En pénétrant ,ils demandèrent où ils étaient. Elle ne leur répondit pas mais elle leur ouvrit une trappe qui conduisait dans une ville verte , dans un nouveau monde. La vielle dame leur fit visiter cette ville écologique; ces deux derniers n’en revenaient pas . Au bout d’un certain temps , la vielle femme  engagea le dialogue:

<<- Dans trois semaines, votre monde subira une énorme apocalypse, le seul moyen d’y échapper est de conduire tous les habitants de votre terre dans la nôtre .

–  Mais comment allons nous faire, il n’y a qu’une seule pleine lune tous les mois ? Répondirent  les frères.

–  Dans votre grenier, il y a des outils pour que le portail reste ouvert, même les soirs de pleine lune, des photos et un texte qui explique tout cela.>>

Ces deux derniers quittèrent le monde,  accompagnés de la veille dame.

Une fois arrivés chez eux, les deux frères cherchèrent les outils et les photos. Au bout de deux heures, ils trouvèrent enfin le carton avec le contenu.                            Les deux enfants mirent les outils en place et envoyèrent les photos sur internet, à tous leurs amis, au président et à toutes les personnes qu’ils connaissaient. Deux jours plus tard, tous les habitants de la terre étaient au courant,  sauf que le président ne croyait pas les balivernes des deux jumeaux.

Deux semaines plus tard, le monde commença à trembler, heureusement que tous les habitants de la Terre étaient en file indienne devant la porte du placard. Jean-Luc et Hermesse réussirent à faire passer toutes les personnes dans le placard, il ne restait qu’une demie heure et il y avait cent personnes. Ça y est, plus que cinq minutes et toutes les personne étaient passées  sauf le président qui refusait de tous nous rejoindre de l’autre coté car  il n’y croyait pas .

Çà y est, l’apocalypse avait commencé, les météorites tombaient, les volcans se réveillaient puis  tout a coup,  la terre explosa avec le président.

La vie reprit son cours dans l’autre monde et chaque habitant fit très attention à ne pas faire les même erreurs.

Jennifer, Inés et Lou .5°C

Au secours ! Les déchets nous envahissent !

En 2004, naquirent deux jeunes filles qui étaient destinées à sauver le monde, Mathilde et Jade. Mathilde vivait à St Mammès et Jade habitait à Champagne sur Seine. Elles se connurent en 6ème .Elles devinrent très amies. Un jour, leur professeur de français, Mme Bourguignon leur demanda de faire un exposé sur le 7ème continent, ce qui donna la possibilité aux deux jeunes filles de découvrir leur passion pour l’écologie.

Depuis elles avancèrent dans la bonne direction: elles réussirent leurs études, devinrent riches et protectrices de l’environnement. Elles créèrent une association pour la défense de la nature. Certains élèves de leurs anciennes classes s’étaient inscrits dont Edouard, Lucas, Laetitia…Grâce à l’argent gagné par l’association, elles investirent dans des terres agricoles afin de faire des bio-plastiques et investirent dans des éco-quartiers. Les jeunes femmes avaient pour projet de ramasser tous les déchets sur la mer et les plages car le 17 octobre 2027 avait eu lieu un tsunami qui avait englouti toutes les plages et  dispersé tous les déchets dans les océans. Cela représentait un grand danger pour la planète et pour sa population.

 Quelques mois plus tard, le 7ème continent continuait d’évoluer. Apeurées par la situation, les deux amies firent une annonce. Elles incitèrent  les gens à moins polluer tout en ne les mettant pas dans une situation de panique.La population n’était pas au courant de l’énorme dégradation de la planète puisque le gouvernement ne les avait pas informés du grand danger qu’ils couraient.

Le 8 mai 2028, l’association partit en expédition, mais malheureusement pour eux, une énorme tempête éclata. Pour le bien de la planète, elles la  traversèrent quand même au péril de leur vie. Édouard tomba du bateau et mourut sur le coup, au plus grand regret de ses compagnons. Malgré cette perturbation, l’équipage continua d’avancer même si le danger causé par ce déchaînement les menaçait. Une semaine plus tard, l’association parvint à destination.

Heureux d’être enfin arrivés, les membres de l’association se mirent directement au travail. Tous les déchets qui devaient être ramassés étaient répartis entre plusieurs personnes. Chacun avait sa catégorie de déchets à ramasser.

Un an plus tard, après avoir achevé leur travail, ils revinrent sales mais glorieux de leur voyage, car en arrivant chez eux, toute la foule les acclama. Ils avaient sauvé la Terre mais pas que, ils avaient aussi sauvé des milliards de vies.

60 ans plus tard, les deux vieilles femmes moururent fières d’avoir sauvé la planète et la génération future tout en ayant permis à la Terre de mieux se développer.

Jade F. et Mathilde C. 5°C

 

Le puzzle 3D

Le puzzle 3D

C’est l’histoire d’un martien nommé Botoux ayant 13 ans. Il est petit et obèse, il a la peau verte, il est généreux et drôle, sa maison est grande et de couleur violette, rose et bleu. Il adore observer les planètes le soir et plus particulièrement la Terre, avec son caméscope orange. Il est assis tranquillement dans son canapé en regardant la télé.

Pendant une publicité, il voit que à MarsiToys, il y a un nombre très limité de puzzles 3D de la planète Terre. De ce pas, il court voir son père qui prépare à manger dans la cuisine, pour lui demander de l’acheter, très généreux depuis la mort de sa femme,  celui-ci accepte pour faire plaisir à son fils et il trouve que c’est une bonne idée.

Le lendemain, pendant leurs courses, Botoux voit le fameux puzzle et le réclame  à son père. Une fois rentré à la maison, Botoux court faire son puzzle. A la fin, il lui reste deux pièces et sans faire exprès, il les change de place. Soudain, il entend un énorme bruit provenant de l’espace. Curieux, il consulte son caméscope et observe ce qui se passe. Il ne voit plus la Terre mais des millions de particules dans le cosmos. Il comprend alors qu’il vient de faire exploser la planète. Affolé, il court voir son papa pour lui expliquer ce qui vient de se passer. A son tour, choqué, il va dans sa chambre pour voir le problème. Il propose alors à Botoux, qui a beaucoup observé la planète bleue, de la reconstruire en s’aidant de tout ce qu’il sait des problèmes mondiaux depuis qu’il regarde la planète. Directement, il se met au travail. Il répartit la surpopulation là où il n’y en a pas beaucoup, il enlève les déchets qui sont dans l’eau, il construit  plus de transports en commun, il enlève des produits chimiques.

Une fois fini, il aperçoit une énorme lumière éblouissante qui illumine toute la galaxie, et il espère que c’est la Terre qui s’est recomposée comme sur son puzzle. Il regarde dans son caméscope et il aperçoit la planète qui s’est reconstruite comme il en avait envie ! Heureux, il court dire à son père en criant « ça a marché ! ». Ils vont à leur caméscope, et ils sont très heureux tous les deux que cela ait fonctionné.  A partir de ce jour, tout est résolu et Botoux continue de regarder la Terre pour s’assurer que rien ne change au cours des années.

Marion Jessica Louane 5a

Nous avons causé notre perte.

Je m’appelle Léo, je vis sur Terre, nous sommes en 2215. Passons directement à l’essentiel si vous le voulez bien. Je vais vous raconter ma vie insignifiante enfin jusqu’au jour où tout a basculé :

Projection vers le passé, veuillez patienter…

Alors, tout commença  un jour comme les autres en 2175.                                     Mais tout d’abord, je vais me présenter : imaginez un enfant de 15 ans, dyslexique, qui ne sait même pas écrire et lire ne serait-ce qu’une seule phrase, qui n’a pas une vie très intéressante ni très amusante, un enfant qui n’a qu’un seul ami, Hubert. Maintenant, mes parents, ma mère a divorcé, je n’en connais pas la raison mais elle dit que c’est pour mon bien. Je ne me souviens pas de mon père, à cause de ma dyslexie. D’ailleurs, ma mère m’a juste dit que ma dyslexie vient de lui. Elle s’est remariée avec  un homme qui est  maintenant mon beau père, Arnaud. Je le surnomme Arnaud l’écolo déglingo parce qu’il ramasse tout ce qu’il voit par terre pour le mettre à la poubelle. Mais quand je dis tout, c’est vraiment tout ! Une fois, il a même osé jeter mon chien. Il est mort trois jours après et personnellement moi, j’aime pas mon beau père.

Maintenant, je vais décrire mon ami Hubert. Il a la même taille que moi, environ un mètre soixante quatorze. Il n’est ni moche, ni beau. Lui aussi n’a qu’un ami, moi, et il a une obsession pour l’écologie depuis que je le connais. Quand il voit une canette, un emballage par terre, il le ramasse immédiatement pour le mettre à la poubelle, comme mon beau père. Ses parents sont malheureusement morts, je n’en connais pas la cause, il n’aime pas beaucoup en parler.

Voilà, je ne sais que ça de la vie de mon meilleur ami. En même temps, pour ma défense, ça ne fait qu’une semaine que je le connais. A cause de ma dyslexie, je me suis déjà fait renvoyer de six collèges. Ma mère ne m’en a jamais voulu.

Bref, passons à l’acte. J’étais à la cantine du collège avec mon seul et unique ami, Hubert. Quand nous avons posé nos plateaux sur la table, quelque chose d’étrange s’est produit, une énorme faille s’est ouverte en dessous de chaque table. Tout le monde est tombé dedans sauf moi et mon ami qui ne nous étions pas encore assis. Alors, il m’a pris par le bras et m’a emporté dans un taxi qui nous emmenait à l’aéroport. Nous y sommes entrés et enfin Hubert m’a lâché. Il m’a tenu le bras pendant trois heures, il est fou ou quoi ? J’avais le bras tout rouge et en plus, il me faisait mal. Quand j’ai regardé Hubert, il commençait à parler tellement vite que je n’ai strictement rien compris à ce qu’il a raconté. Je lui ai donc demandé de redire ce qu’il avait dit mais beaucoup moins vite cette fois. Il a pris un grand coup de respiration et m’a averti : « Bon, il faut que je t’avoue pourquoi je suis là, pourquoi mes parents sont morts, pourquoi tu es dyslexique, pourquoi ta mère a divorcé et enfin où je t’emmène. » Je lui ai avoué ne rien avoir compris. Il m’a alors tout expliqué. J’étais dyslexique à cause de la pollution et je n’étais pas le seul.  Plus d’ un milliard d’enfants sur la Terre sont comme moi. En fait, toutes les maladies de la Terre sont dues à la pollution m’a-t-il dit. Ensuite, mes parents sont morts à cause de la pollution comme beaucoup d’autres. Du coup, je suis allé dans une sorte de colonie pour les jeunes sans famille. « Je t’expliquerai pour la colonie, dit-il, je suis là pour te protéger de la pollution c’est pour ça que je tenais autant à ce que tu mettes toutes les canettes que tu voyais à la poubelle … .  Ta mère à divorcé pour ton bien, Hubert penses-y ». Je vis une larme couler sur sa joue, je ne comprenais pas pourquoi, à part que c’était la fin du monde. « Elle a quitté ton père parce que lui n’était pas comme ton beau père, il ne mettait au contraire rien à la poubelle, il était anti-écolo  …Et quand ta mère a compris ce que ça te faisait, tant de pollution, elle l’a quitté et s’est remarié avec Arnaud, ton beau père qui lui, est fou mais au moins, il te protégeait sans le savoir en jetant tout à la poubelle. Et là, maintenant, nous partons pour les États Unis ». Cela  aurait dû me rendre fou de joie mais m’éloigner tant de ma mère alors que je venais d’apprendre ce qu’elle faisait pour moi m’a rendu très triste. Alors, Hubert, comprenant à quoi je pensais m’a dit la chose la plus horrible du monde : « Ta mère et ton beau père sont morts. Toute la ville est sûrement détruite à cette heure-ci, mes condoléances, Léo. » Je ne voulais pas y croire, tant de choses bouillonnaient dans ma tête, j’avais envie d’exploser.

– Tu n’as plus de famille, je vais t’emmener avec moi à la colonie. Je vais t’expliquer à quoi sert cette colonie.

C’est un lieu crée pour les orphelins dont les parents sont morts à cause de la pollution, il s’appelle l’écolonie. Il se situe aux États Unis, dans la maison blanche  … Il y a  eu une secousse et l’avion a atterri. « Bon, allons à la maison blanche, tu comprendras » me dit-il .Il a crié « taxi ! », un taxi est venu. Il nous a emmené à la maison blanche. J’étais bouche bée devant ces grande portes majestueuses, un portier nous a fait entrer. Hubert est allé prévenir le président actuel de notre venue. Le président m’a souhaité la bienvenue, je l’ai remercié et nous sommes rentrés dans ce magnifique palace, j’ai vu tous les présidents dans des tableaux en bois, plein de fonctionnaires. La ministre de l’éducation m’a salué. Le président nous a conduit dans une salle où il y avait plein d’enfants de six à dix-huit ans, ils étaient comme moi. Hubert m’a pris le bras  et m’a dit que j’étais spécial  Apparemment j’étais destiné à montrer aux gens ce que la pollution nous fait subir. Je n’ai même pas eu le temps de réfléchir qu’on m’a emmené dans une salle avec plein d’ordinateurs qui pouvaient tout contrôler, diffuser ce qu’on voulait et n’importe où. On m’a mis devant un fond vert avec plein de cameras autour de moi. Le président s’est approché de moi et m’a pris dans ses bras en disant ces quelques mots :

– tu es notre seul espoir de survie, exprime ce que tu ressens, cela pourrait tous nous sauver ou une partie de la terre au moins, s’il te plaît.

Je me croyais dans un film quand on crie trois, deux, un, action, je vais vous rapporter exactement ce que j’ai raconté :

-Je m’appelle Léo, j’ai quinze ans et je suis atteint de dyslexie mais il y a de plus gros problèmes encore, des personnes meurent chaque jour à cause d’une seule chose, la pollution. Apparemment je suis destiné à vous dire tout ça. Cela va être dur à entendre pour vous, vous allez paniquer mais bon, il faut que je le fasse.

Une petite ville, celle ou j’habitais, a été décimée, ma mère, mon beau père, mon collège, ma vie ont été entièrement détruits. Depuis que nous existons, nous sommes tous des criminels. Chaque canette que nous jetons par terre, chaque emballage que nous lâchons, ça fait des morts et des personnes malades.

Dans votre famille à vous, personne n’est mort ou atteint d’une maladie? Et bien ceci est de votre faute  !!!  Si on ne change pas, votre famille va mourir vous allez crever … Les images de ma ville détruite défilaient derrière moi sur le fond vert. Je pleurais. Changez et vous serez récompensés, vous ne périrez pas, vous ne verrez pas vos amis décéder ou même vos enfants alors, je vous le conseille, changez tout de suite.

J’avais fini mon discours en me disant que personne n’allait changer, je pleurais toutes les larmes que je pouvais. Le président s’approcha de moi et me tendit la main en me félicitant :

– Merci beaucoup pour votre aide, nous espérons tous que ça va marcher. D’après nos statistiques, il y a déjà  un quart de la terre qui a réagi,  bien joué!! Vous pouvez aller dormir, vous reposer.

Hubert m’a conduit dans ma chambre et  je me suis endormi rapidement. Je cauchemardais un monde détruit, c’était tellement horrible que je me suis réveillé en sursaut. J’ai regardé autour de moi, il y avait Hubert qui criait que j’étais réveillé. Tout le monde est venu dans ma chambre, on voyait qu’ils avaient fait la fête ce qui était bon signe. Le président m’a dit :

-Tu as réussi bravo !!!!!!!!!!!!

Tout le monde s’est dispersé et Hubert m’a dit :

–  Désolé, on ne t’a pas attendu pour faire la fête.

-Cest pas grave ne t’inquiète pas mon pote.

Mais pour moi, cette victoire n’avait pas été sans douleur, j’avais presque tout perdu lors de cette catastrophe : ma mère, mon beau père, mon collège, et presque tous les êtres qui m’étaient chers, mais bon, j’avais quand même mon ami Hubert et ma nouvelle colonie.

Pierre, Enzo et Augustin. 5°A