PhiloStjo

Une vie sans examen ne vaut pas la peine d'être vécue

Archive for octobre, 2016

cadeaux ! De nombreux ouvrages en audio

https://archive.org/details/AuFilDesLectures

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Bientôt des bébés sans maman !!

http://www.futura-sciences.com/sante/actualites/bebe-fecondation-bientot-bebes-maman-maj-64307/

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Benvéniste, Piaget, Lacan, Levi-Strauss

http://apprendre-la-philosophie.blogspot.fr/2010/03/explication-dun-texte-de-emile.html

http://www.item.ens.fr/index.php?id=64244

http://dcalin.fr/textes/parole_enfant.html

 

un sujet proche de ce que j’ai donné en colle :

http://www.ac-grenoble.fr/PhiloSophie/logphil/notions/langage/methode/sujets/dissert/langhum/langhum.htm

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Rousseau : origine du langage/langue

Essai sur l’origine des langues 

Discours sur l’origine et les fondements de l’inégalité parmi les hommes 

http://m.antoniotti.free.fr/rousseau.htm

https://www.youtube.com/watch?v=O5yta_rafr4

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La liberté : une illusion ?

LA QUESTION SUBSISTE.

Sommes-nous libres ?
La question vit mieux que ses réponses, et survivra à toutes les réponses. Car il me semble malhonnête, ou cavalier, ou stupide, d’affirmer quoi que ce soit avec certitude.
Nous avons le sentiment de la liberté quand nous délibérons, hésitons, choisissons. Mais ce sentiment n’est-il pas une illusion ? La décision prise ne devait-elle pas de toute façon être prise ? Si notre esprit pose une option, notre esprit n’est-il pas conditionné à la poser ? Et si c’était donc une nécessité déterminante qui prenait les habits du libre arbitre…[…]
La question subsiste.
Telle est l’intimité essentielle de la condition humaine : vivre avec davantage de questions que de réponses. 

(Concerto à la mémoire d’un ange – journal d’écriture – Éric-Emmanuel Schmitt)

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L’envers du décor n’est qu’un décor de plus

Quand on joue la carte de la sincérité, de la franchise, lorsqu’on brandit son honnêteté comme un étendard, n’est-ce pas précisément un manque d’authenticité, une apparence de plus, un masque ? Car la vérité,  si elle s’affiche, devient automatiquement apparence ! Le naîf qui se sait naif ne l’est plus tout à fait, le naturel part au galop dès qu’on veut l’être. On ne peut que jouer à être ce que l’on n’est pas.

http://www.europe1.fr/emissions/la-morale-de-linfo/lenvers-du-decor-nest-quun-decor-de-plus-2869822

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« Il pleure, que dit-il ? » Le langage universel du nourrisson.

http://www.lepoint.fr/societe/les-dix-mots-du-nouveau-ne-06-10-2016-2074068_23.php

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Concerto : Histoire

Le concerto, mot d’origine italienne, est une forme musicale composée généralement de trois mouvements (un rapide, un lent, un rapide), où un ou plusieurssolistes dialoguent avec un orchestre. D’origine italienne, il se développa pendant la période baroque et fut une des formes musicales les plus prisées pendant les périodes classiques et romantiques.

L’origine du terme contient deux courants parallèles et complémentaires de son histoire. Concertare qui englobe l’idée de rivaliser, de se quereller, de lutter notamment en paroles, se différencie de conserere qui a une signification de lien, de jonction mais qui peut être aussi l’idée de mettre aux prises. La première acception détermine la base du concerto de soliste d’essence virtuose alors que la deuxième suppose l’égalité des partenaires dont le nombre et la fonction ne sont pas délimités : c’est le principe du concert à la française. Le concerto, dont la naissance est liée à celle du style concertant vers le début du xviie siècle, lorsque l’apparition de la basse continue généralise l’usage de la monodie accompagnée, succédant au style polyphonique à l’honneur depuis le Moyen Âge, repose sur la notion de dialogue préférée à celle de continuité du langage polyphonique.

Le terme concerto s’appliqua d’abord à des pièces religieuses mêlant voix et instruments (Concerty ecclesiastici de Lodovico Grossi da Viadana, Petits Concerts spirituels d’Heinrich Schütz par exemple). Le concerto a donc des origines vocales par la mise en vedette d’un personnage, par un jeu de répliques, d’alternances avec l’ensemble, mais aussi par l’improvisation et l’ornementation laissées au soliste. Le concerto purement instrumental qui se développe en Italie durant la seconde moitié du xviie siècle prend tout d’abord la forme d’un dialogue entre un petit groupe d’instruments solistes (le concertino) et la masse de l’orchestre, ouripieno, dite encore « concerto grosso », terme qui finit par définir le genre lui-même…

À travers ses concertos, Vivaldi contribua à l’établissement de l’une des premières caractéristiques du concerto qui serait reprise au cours des siècles suivants : son utilisation comme démonstration du jeu des virtuoses.

C’est Beethoven qui inaugure le concerto romantique, avec ses cinq concertos pour piano et son monumental concerto pour violon. Son exemple est suivi par de nombreux compositeurs : le concerto rivalise avec la symphonie dans le répertoire des grandes formations orchestrales.

Le concerto, généralement, comporte trois mouvements :

  • le premier, vif, de forme « sonate »
  • le second, lent, de forme « lied » ou « thème varié »
  • le dernier, rapide, de forme « rondo ».

On confond souvent le concept baroque ou classique de concerto avec le concerto soliste du xixe siècle, alors que les deux n’ont guère que le nom en commun. Le concerto baroque n’est pas une pièce en solo, avec un soliste qui prédomine et un orchestre qui accompagne, bien qu’on le conçoive souvent aujourd’hui comme tel. L’essence du concerto à sa naissance est le dialogue, la rivalité de différents groupes.

Le concerto baroque peut aussi bien être une pièce de musique de chambre pour quelques instruments qu’une œuvre orchestrale pour cinquante musiciens. Il suffit qu’il soit bâti sur une forme d’alternance typique de l’énoncé musical, à la façon d’une discussion. L’ossature formelle est donnée par les passages en tutti, dans lesquels tous les participants, y compris les éventuels solistes, jouent ensemble. Le fait de « concerter » peut opposer un ou plusieurs solistes, ou des solistes et des ripiénistes, ou se dérouler au sein de l’orchestre.

Tout au long du xixe siècle, le piano et le violon sont les instruments de prédilection de compositeurs souvent eux-mêmes interprètes virtuoses ; c’est notamment le cas des pianistes Franz Liszt et Frédéric Chopin, ainsi que du violoniste Niccolo Paganini. Le rôle du soliste se trouve largement renforcé dans l’exposition thématique et le développement central. Sa virtuosité s’exprime surtout dans la cadence qui, autrefois improvisée, est désormais entièrement écrite.

Les recherches formelles entreprises dès le xixe siècle perdurent au xxe siècle, parfois jusqu’à l’éclatement pur et simple. Si, thématiquement et esthétiquement parlant, certaines œuvres restent fondamentalement héritières du siècle précédent (les trois premiers concertos de Rachmaninov, par exemple, influenceront nombre d’œuvres concertantes), l’heure est au changement et à l’invention

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Ravel : Présentation et Analyse de l’oeuvre

Le Concerto pour la main gauche en ré majeur de Maurice Ravel est un concerto pour piano et orchestre en un seul mouvement composé entre 1929 et 1931 et créé à Vienne le 5 janvier 1932 par son dédicataire, le pianiste autrichien manchot Paul Wittgenstein. L’originalité de cette œuvre, à la « véhémence tragique » et à la virtuosité considérable, réside dans sa partie pianistique, écrite pour la seule main gauche de l’exécutant.

En 1929, un an après l’achèvement du Boléro, Ravel reçut presque simultanément deux commandes de concerto : la première vint du chef d’orchestre Serge Koussevitzky, qui s’apprêtait à célébrer les cinquante ans de l’Orchestre symphonique de Boston, pour qui il allait composer le Concerto en sol ; la seconde du pianiste Paul Wittgenstein, frère du philosophe Ludwig Wittgenstein, qui avait perdu le bras droit durant la Première Guerre mondiale sur le front russe.

Le Concerto pour la main gauche fut composé presque en même temps que le Concerto en sol, réclamant à Ravel des mois de travail acharné. Le compositeur n’entendit jamais son œuvre jouée dans sa version pour piano et orchestre. Il assista à la création par Paul Wittgenstein, dans une version arrangée pour deux pianos, à Vienne en novembre 1931. Cette création pour le moins houleuse mit un terme à la collaboration entre les deux hommes. Le pianiste avait en effet pris la liberté d’effectuer quelques « arrangements » dans l’œuvre (en fait de profonds remaniements) pour que celle-ci soit mieux à sa convenance. « Je suis un vieux pianiste et cela ne sonne pas », avait-il déclaré à Ravel pour justifier ces libertés. Ravel répliqua : « Je suis un vieil orchestrateur et cela sonne ! » Le compositeur quitta précipitamment Vienne et s’opposa un moment à la venue de Wittgenstein à Paris. Ce dernier ayant l’exclusivité du Concerto pour six ans, il était beaucoup trop tard pour Ravel lorsque l’œuvre fut créée à Paris dans sa forme originelle par Jacques Février sous la direction de Charles Munch, le 19 mars 1937. Bien plus tard, Wittgenstein regretta ses paroles et rendit justice à Ravel :

« Cela me prend toujours du temps d’entrer dans une musique difficile. Je suppose que Ravel en fut très déçu et j’en fus navré. Mais on ne m’a jamais appris à faire semblant. Ce n’est que plus tard, après avoir étudié le concerto pendant des mois, que je commençai à en être fasciné et que je réalisai de quelle grande œuvre il s’agissait. »

— Cité dans La musique pour piano de Maurice Ravel, New York, 1967

Le Concerto pour la main gauche est aujourd’hui une des œuvres les plus jouées et les plus mondialement appréciées de Maurice Ravel, quoique moins populaire car moins accessible que son faux jumeau, le Concerto en sol.

Le concerto est construit en un seul mouvement, qui comprend plusieurs épisodes :

  • un Lento à 3/4, avec des passages en 2/4
  • un Più Lento
  • un Andante
  • un accelerando aboutissant à un Allegro en 6/8
  • un Più vivo ed accelerando
  • un retour au Lento du début
  • un Allegro conclusif

 

Instrumentation du Concerto pour la main gauche
Cordes
1 piano soliste, 1 harpe, premiers violons, seconds violons, altos,violoncelles, contrebasses
Bois
1 piccolo, 2 flûtes, 2 hautbois, 1 cor anglais, 1 clarinette en mi ?,2 clarinettes (en la), 1 clarinette basse (en la), 2 bassons, 1 contrebasson
Cuivres
4 cors en fa, 3 trompettes en ut,2 trombones, 1 tuba
Percussions
timbales, triangle, caisse claire, cymbales,grosse caisse, wood-block, tam-tam

Beaucoup de spécialistes considèrent le Concerto pour la main gauche comme l’un des plus parfaits du répertoire. Il s’agit d’une œuvre violente, grandiose et dramatique, peinture d’une querelle fatale entre le piano et la masse orchestrale. Ramassée sur le plan de la longueur (le Concerto est d’un seul tenant, bien que l’on puisse y distinguer trois mouvements), cette œuvre est l’une des plus rythmées et des plus énergiques de Ravel.

« Dans une œuvre de cette nature, il est indispensable que la texture ne donne pas l’impression d’être plus mince que celle d’une partie écrite pour les deux mains. Aussi ai-je recouru à un style qui est bien plus proche de celui, volontiers imposant, des concertos traditionnels. Après une première partie empreinte de cet esprit apparaît un épisode dans le caractère d’une improvisation qui donne lieu à une musique de jazz. Ce n’est que par la suite qu’on se rendra compte que l’épisode en style jazz est construit, en réalité, sur les thèmes de la première partie. »

— Maurice Ravel, cité dans le Daily Telegraph du 11 juillet 1931

Ravel analysa au cours de la composition de cette œuvre des études de Saint-Saëns pour la main gauche, et s’inspira du Deuxième concerto de Liszt qu’il admirait volontiers. Le compositeur a introduit de nombreuses touches de jazz dans la seconde partie, et les percussions jouent dans l’ensemble de l’œuvre un rôle fondamental et obsédant. Le concerto donne lieu par ailleurs à des déferlements sonores comme il en existe peu chez Ravel. Pour le soliste, affronter ce monument peut relever de la gageure: la partie solo est extrêmement ardue, la main gauche seule devant couvrir le territoire des deux mains.

« À deux mains le chant et l’accompagnement se jouxtent, se juxtaposent, se pénètrent parfois, mais en conservant leur dualité d’origine; ici les deux émergent du même moule […]. Par ailleurs, c’est au pouce qu’est dévolu le rôle principal dans l’expression mélodique. Bien épaulé par le bloc des autres doigts, il va, par le jeu latéral du poignet et celui de sa musculature propre, s’imprimer profondément dans le clavier avec une qualité de pénétration qui n’est qu’à lui. »

— Marguerite Long, Au piano avec Maurice Ravel, Paris, 1971

Cette musique est la plus noire écrite par Ravel (avec celle de Gaspard de la nuit et de La Valse). Suivant l’analyse de Marcel Marnat, le Concerto pour la main gauche s’inscrit dans la lignée de La Valse et du Boléro. À leur image, il est une œuvre exaltante et fataliste à la fois, il est un tourbillon d’inquiétudes, de perplexité face à un monde qui, à l’orée des années 30, semble à nouveau promis au désastre. À leur image, il s’achève par une véritable mise à mort musicale. La fin de ce chef-d’œuvre est réellement inoubliable : le piano, qui vient d’achever une cadence en clair-obscur, intensément poétique, d’une difficulté technique redoutable, est finalement rejoint et avalé par l’orchestre, pour mourir sous un ultime pilonnage des percussions. L’œuvre ne comporte aucun programme particulier, pourtant on peut considérer que Ravel y a placé tout ce que les horreurs de la guerre pouvaient lui inspirer (de par le triste sort qu’avait subi son dédicataire, et de par son vécu personnel en tant que soldat).

« Tout ici est grandiose, monumental, à l’échelle des horizons flamboyants, des monstrueux holocaustes où se consument les corps et s’engloutit l’esprit, des vastes troupeaux humains grimaçant de souffrance et d’angoisse. Et cette fresque colossale, aux dimensions d’un univers calciné, ce sont les cinq doigts de la main senestre, reine des mauvais présages, qui vont en brosser les âpres reliefs. »

— Marguerite Long, Au piano avec Maurice Ravel, Paris, 1971

https://www.youtube.com/watch?v=vTHhXpfhO3k

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Interrogation le sujet 1

Repères :

1-Quel est le contraire d’absolu ?

2-Les sciences physiques expliquent ou comprennent les phénomènes ? Pourquoi ?

3-L’homme ne perçoit le monde qu’à travers son point de vue, sa vision est donc nécessairement ………………………….

Citations/Auteurs :

4-Quelle est la vérité indubitable pour Descartes ? Pourquoi ?

5-« Posséder le Je dans sa représentation » : Qui a dit cela ? Expliquez.

6-A quoi Pascal compare-t-il l’homme ? Expliquez.

Texte à trous :

La conscience est un privilège et un fardeau car elle est condition et ……….. de la connaissance de soi. En effet, par son statut de sujet, je n’ai accès qu’à une connaissance ……………. (pas neutre) et ………………………(incomplète). De même, le sujet du latin ……………………….. sait qu’il va mourir, il est donc conscient de sa ………………….. (fait d’être mortel). Enfin la conscience de soi n’est pas forcément immédiate, théorique mais parfois nécessite une mise en…………….. par l’art ou la révolte comme l’ont montré …………………. et Camus. De même, Sartre considère qu’…………est médiateur entre moi et moi-même.

Sujet à analyser (Brainstorming/références, cours et culture personnelle):

Peut-on ne pas être soi-même ?

Bonus : Nous sommes au XXIIè siècle et les greffes d’organes ont fait de nets progrès. Après avoir réussi des greffes de rein, de coeur, de main, de visage, les médecins se sont attelés à la transplantation la plus délicate : celle du cerveau. Pour la première fois, ils viennent de réaliser-avec succès- une telle opération. Ils ont ouvert le crâne de M.Dupont, lui ont retiré son cerveau et l’ont remplacé par celui de M.Martin. les progrès de la technologie ont permis de connecter parfaitement le cerveau et le corps, de telle sorte que le cerveau de M.Martin contrôle le corps de m.Dupont, exactement comme il contrôlait son propre corps auparavant. Le professeur Vulcain, qui a dirigé l’opération, annonce avec fierté son succès à la presse : »C’est une réussite totale ! M.Martin a complètement pris possession du corps de M.Dupont. Il a conservé tous ses souvenirs antérieurs et son caractère n’a pas été modifié; seul son corps a changé. » Le directeur de l’hôpital, un peu gêné, remarque : « excusez-moi de vous contredire, cher professeur. Nous sommes d’accord, l’opération a été un succès; cependant, je ne partage pas votre interprétation. La personne qui est sortie du bloc opératoire n’est pas M.Martin, mais M.Dupont. ce monsieur a perdu ses anciens souvenirs et son caractère et a acquis ceux de M.Martin.

Selon vous, quelle est la description correcte, celle du professeur ou celle du directeur ? Pourquoi ?

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