L’association Générations futures révèle, dans une étude publiée le 11 octobre après des analyses menées sur 20 échantillons différents, la présence de nombreux pesticides pour les 15 mélanges non bio testés. Les taux de pesticides mesurés seraient 354 fois supérieurs à la dose autorisée pour l’eau.
Or les pesticides sont soupçonnés d’être des perturbateurs endocriniens* notamment de la fonction de reproduction et de la croissance. À raison de 50 à 100g de muesli par jour, pas de danger pour le consommateur, mais des risques à long terme du fait de l’effet « cocktail » qui résulte de l’exposition à d’autres perturbateurs endocriniens, en particulier pour le fœtus chez la femme enceinte.
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* molécules agissant à très faible dose sur l’équilibre hormonal
