Biographie et portrait de langue

Portrait de langue :

Dans ma tête : le français car c’est ma langue natale, je n’ai donc pas besoin de réfléchir pour la parler, je l’apprends depuis ma naissance et elle est comme une évidence pour moi.

Dans mon coeur ; l’espagnol : je pars en vacances en Espagne chaque été depuis ma naissance, je parle donc très bien cette langue et il me tient à coeur de la perfectionner à chaque instant.

Dans mes mains : le latin puisque c’est une langue morte, on l’écrit mais on ne l’a parle pas, je l’ai apprise durant mes années de collège.

Dans le dos : l’anglais car je ne veux pas là voir, il est très difficile pour moi de la pratiquer, je ne la comprend pas. 

Biographie de langue : 

Je me dois dans un premier temps d’évoquer la langue française puisqu’elle est ma langue maternelle. De ce fait, c’est celle-ci que je maitrise le mieux, et que je perfectionne davantage avec la préparation au concours de recrutement de professeurs des écoles.

La deuxième langue qui me tient à coeur est l’espagnol puisque je la pratique également depuis mon plus jeune âge chaque année pendant deux semaines à un mois, lors de vacances estivales et tout au long de l’année lors d’échanges téléphoniques. C’est également une langue qui m’a permise d’avoir des bonnes notes tout au long de mon parcours scolaire. 

Concernant le latin, je l’ai étudiée au collège et elle m’a permise d’acquérir plus rapidement du vocabulaire notamment en espagnol puisqu’elle s’y rapproche. Mais ce n’est pas une langue que j’affectionne vue que c’est une langue morte. 

Enfin, pour l’anglais, j’ai conscience que c’est une langue très importante aujourd’hui, surtout pour les voyages puisque c’est grâce à elle que l’on arrive à communiquer dans les pays où je voyage, mais elle reste un fardeau pour moi. Je n’ai jamais aimé cette langue, les enseignants que j’ai eu au collège et lycée ne m’ont également jamais donné envie de l’apprendre, je ne comprends pas la grammaire, la syntaxe, la conjugaison.

Je souhaite faire mon écrit de recherche à visée professionnalisante (ERVIP) sur le handicap. Pour certains élèves en situation de handicap comme les « DYS », cette langue est un obstacle à leurs apprentissages. En effet, les élèves dyslexiques ont des difficultés d’accès au rapport phonie-graphie, la dysphasie affecte la production du discours, la réception et la compréhension des messages. Une mauvaise compréhension de la langue française et/ou des difficultés dans l’apprentissage de celle-ci peut être un véritable obstacle dans l’acquisition des compétences et des connaissances des élèves.

biographie langagière et portrait de langue

Né dans la Sarthe, j’ai passé toute mon enfance et mon adolescence dans un petit village au fin fond de l’Orne. Ma langue maternelle est le français, et j’ai appris à aimer ma langue notamment grâce à ma mère qui était à l’époque prof de français. Je parle couramment anglais, et je me débrouille bien en espagnol. Ce sont les deux langues que j’ai appris à l’école, et grâce auxquelles j’ai pris conscience de la complexité et de la multiplicité des sens des langues en tant qu’outil de travail ou de communication.   Je pourrais également me débrouiller en polonais, langue que j’ai abordée grâce à ma soeur qui a habité à Cracovie il y a quelques années. Dans les langues que je connais, à part le français, l’anglais est celle dont je me sers le plus car elle me sert à voyager et à communiquer avec des gens du monde entier. J’ai également pris connaissance de quelques bases en Italien, arabe, japonais, portuguais et islandais, car ce sont des langues que j’aime, notamment grâce à la musique et au cinéma.

Pour ce qui est de l’utilité de la langue, elle est selon moi un outil culturel en perpétuelle évolution, et qui tend à s’uniformiser tant il est possible aujourd’hui d’en apprendre et d’en utiliser.

Je donne plusieurs utilités aux langues que je connais. D’abord la communication purement utile, la réflexion qui demande un approfondissement des lexiques, et les arts comme la chanson. 

Biographie langagière et Portrait de langue

La langue que je parle quotidiennement et que je maîtrise le mieux est le français . Elle est d’autant plus mise en avant cette année avec la préparation au concours de recrutement des Professeurs des Écoles.

Je parle également anglais car c’est une langue que j’ai étudiée pendant ma scolarité et c’est encore le cas aujourd’hui. De plus, mes cousins étant américains, nés aux États-Unis et y habitant avec leurs parents, ils parlent anglais et français. Le fait de parler anglais est donc plus qu’utile. J’ai également eu dans mon travail en tant qu’animatrice en centre de loisirs ou encore en service civique dans une école, à communiquer avec des enfants bilingues, des enfants allophones ou encore avec des parents qui ne parlaient pas français ou très peu. La langue de référence pour que nous puissions communiquer était à chaque fois l’anglais.

L’espagnol est une langue que je parle un petit peu grâce aux cours de langues dispensés au collège et au lycée. C’est une langue que j’apprécie, et que j’aimais beaucoup parler, mais je n’en ai plus eu l’occasion depuis plusieurs années. Je connais quelques mots en langue des signes, appris par une amie qui en prenait des cours.

Portrait de langue :

Anglais : Au niveau des oreilles car c’est une langue que je suis amenée à entendre souvent, que ce soit dans des séries, des chansons, ma famille, au travail…

Français : Au niveau de la tête, car c’est ma langue natale, celle que je parle au quotidien, et la langue dans laquelle je pense.

Espagnol : Au niveau de la bouche, car c’est une langue que j’apprécie et que je trouve particulièrement agréable à parler.

Langue des signes : Au niveau des mains, car c’est une langue qui se parle avec les mains.

Biographie Langagière et Portrait de Langue

Biographie Langagière

Ma langue maternelle est le français, ayant grandit dans un petit village dans le sud de le France. J’ai commencé à apprendre l’anglais à l’école comme beaucoup d’entre vous, d’abord au primaire avec des mots de vocabulaire puis plus approfondi au collège et lycée. Ma première expérience au collège na pas été des plus fructueuses, ma professeure était très sévère et cela ne m’a pas fait aimé la langue particulièrement. Puis, en 5eme, je suis tombée réellement amoureuse de cette langue grâce a une prof passionnée et la pour ces élèves. Depuis ce moment la, je su que l’anglais allait faire partie de ma vie, de mon quotidien et je mis tout en avant pour réussir à conquérir cette langue et un pays anglophone. Je commençais a traduire les chanson d’artistes américains puis rêvait de faire un séjour linguistique en Angleterre ou aux USA. Ma famille ne pouvant m’offrir de tel voyage, je n’ai eu l’opportunité de voir un pays anglophone uniquement dans un voyage scolaire en fin de collège. Cela n’a que renforcé mon amour de la langue anglaise. Durant ma scolarité, j’ai eu aussi l’occasion d’apprendre l’italien et l’espagnol à courte durée. J’ai beaucoup aimé ces langues, principalement pour leur beauté linguistique mais n’en ai jamais retenu le même amour que pour l’anglais. Je me suis expatriée aux USA à 20 ans en tant que fille au pair, pour réaliser mon rêve de toujours : vivre dans un pays anglophone et être bilingue. Une fois l’expérience au pair terminée j’ai décidé d’y rester pour étudier et de faire ma vie là-bas. Je suis aujourd’hui parfaitement bilingue. Ayant eu, une petite fille il y a quelques mois, je m’intéresse aujourd’hui particulièrement au langage des signes, souvent utilisé pour communiquer avec les bébés aux USA, pour se faire comprendre et j’espère un jour pouvoir l’ajouter à mon répertoire de langue. Après avoir suivi quelques cours, je connais aujourd’hui quelques mots.

Portrait de langue :

Je mets l’anglais dans mon cœur, car c’est la langue dont je suis tombée amoureuse et que j’aime parler le plus.

Je mets le français dans ma tête, car c’est ma langue natale et je ne pourrai jamais l’oublier ou la renier.

Je mets l’italien et l’espagnol dans mon oreille, car j’aime leur sonorité linguistique.

Je mets la langue des signes dans mes mains, car c’est avec celles-ci qu’elle doit se parler.

Ma biographie langagière et mon portrait de langue.

Ma biographie langagière :

D’origine marocaine, j’ai grandi dans une famille qui parlait l’arabe et le français d’une manière simultanée, en plus de mon école maternelle et primaire qui suivaient le même système où on apprenait toutes les matières en deux langues. Bref, je peux dire que j’ai eu deux langues maternelles l’arabe et le français.

Au lycée, j’ai choisi l’anglais comme troisième langue même si je l’ai découvert bien avant avec les chansons anglophones qui me fascinaient et j’étais toujours avec mon dictionnaire à la main en train de chercher les définitions des mots ou traduire les paroles. Notre professeur d’anglais n’était pas au top, à vrai dire on s’ennuyait beaucoup en classe car elle suivait le programme à la lettre sans varier les activités et les thèmes qui peuvent nous intéresser pour nous engager encore plus dans les apprentissages.

Après mon baccalauréat, ma famille a décidé de m’envoyer en Espagne pour faire mes études universitaires et ainsi obtenir un diplôme européen. J’ai dû apprendre la langue espagnole en un an ainsi que toutes les autres matières en espagnole afin de passer le baccalauréat espagnol et ainsi intégrer l’université. J’ai adoré ses années en Espagne où je me suis émergé dans la culture de différentes parties du pays et côtoyer des gens de différentes cultures qui partageaient avec moi la passion pour la musique espagnole et spécialement le flamenco.

Et en arrive au Canada (mon pays d’adoption) où j’ai dû reprendre l’Anglais qui était totalement éclipsé dû à l’apprentissage de l’espagnole afin de survivre dans une communauté totalement anglophone.

La langue italienne me fascine beaucoup, j’ai commencé un peu à apprendre le vocabulaire et essayer de voir des films en italien pour pouvoir m’habituer à l’accent, j’ai cru au début que ça va être facile puisque je parle le français, l’anglais et l’espagnole mais je me suis vite rendu compte que la partie n’est pas gagné et il fallait prendre des cours et c’est ce que je prévois faire après mon DU.

Mon portrait de langue :

L’espagnole : mon coup de cœur.

L’anglais : la langue universelle par excellence.

L’arabe : la langue des poètes et les grandes civilisations.

Le français : le raffinement et le glamour.

L’italien : la joie et le bien-être.

 

 

Ma biographie langagière et mon portrait de langue

Mon père était d’origine sicilienne et il est né en Tunisie, naturalisé français pianiste de profession) a rencontré ma mère (chanteuse de flamenco) d’origine sévillane (Espagne). Pour des raisons professionnelles, ils ont déménagé en Angola, puis en Afrique du Sud (Johannesburg) où j’ai grandi et vécu jusqu’à l’âge de 14 ans. Ce qui m’a le plus influencé dans ma vie, c’est la culture sud-africaine avec ses racines et origines très fortes et un mélange de très grandes cultures. En fait, quand quelqu’un me demande d’où je viens, je dis toujours Afrique du Sud, mais la vérité est différente, car quand je continue mon voyage pour explique mon identité culturelle c’est très difficile à expliquer. À l’âge de 14 ans, nous avons déménagé en France (Nice) où j’ai terminé mes études. Cela n’as pas était facile parce que la culture européenne était très différente de celle de l’Afrique du Sud bien que j’aie grandi dans un monde interculturel et que mon identité culturelle était très différente à l’époque. J’ai dû m’adapter à nouveau à un nouveau monde. À l’âge de 18 ans, pour des raisons professionnelles de mon père, nous avons déménagé à Séville, la terre de ma mère, où j’ai dû une fois de plus m’adapter à une autre culture beaucoup plus ouverte que la culture française, et peut-être m’intégrer à cette époque avec des gens qui étaient beaucoup plus ouverts et qui ont fait que je me sens espagnole dans tous les sens. Ma connaissance des langues était intégrée dans ma personne et cela m’as aidé à m’intégrer plus facilement.  Je n’ai pas eu l’occasion de voir les difficultés que nous voyons parfois aujourd’hui avec nos élèves qui ont des fois d’énormes difficulté à s’adapter à une nouvelle langue Grâce à tout cet apprentissage, je me considère comme une Personne Universelle et du Monde puisque mes racines ont été enracinées dans de nombreux Pays et que j’ai pu vivre et confronter de nombreuses cultures. Grâce à tout cela, j’ai un esprit très ouvert et j’ai pu voir comment la complexité de chaque langue a évolué en moi.

Mon portrait linguistique :

Je me considère langue maternelle anglaise bien que mon portrait linguistique soit assez complexe, comme je l’ai appris grâce à mes parents.  Je parle couramment 5 langues : l’anglais, que je considère comme ma langue maternelle, le français, c’est la langue avec laquelle j’ai finis mes études, l’espagnol,  la langue de ma maman avec laquelle j’ai terminé mes études universitaires à Séville, l’Italien : comme mon père était d’origine sicilienne, était la langue que je parlais à la maison, le portugais puisque part de ma famille est portugaise; l’afrikaans comme seconde langue à l’école en Afrique du Sud et aujourd’hui je pratique quotidiennement 4 langues (anglais, français, espagnol et l’italien à la maison).

 

Un de mes livres préférés « Le Petit Prince » nous dit qu’il faut avoir le courage et la détermination de ne jamais cesser d’explorer.

« Le géographe ne peut pas compter les villes, les rivières, les montagnes, les océans et les déserts. Un géographe est trop important pour aller explorer d’un côté à l’autre. Il reste dans son bureau. « Le géographe »

Sur la sixième planète du voyage, le Petit Prince rencontra « un vieil homme qui écrivait dans d’énormes livres ». Il croyait donc avoir trouvé un explorateur, mais en réalité le seul habitant de la planète est un géographe qui n’avait jamais mis les pieds hors de son bureau.

Nous avons tendance à rester ancrés dans notre « zone de confort » parce que c’est plus facile que de prendre des risques. Nous devons vraiment profiter de notre temps sur Terre pour vivre des expériences diverses, nous faire de nouveaux amis, voyager à travers le monde. 

 

ma biographie langagière et mon portrait langagier

Ma langue maternelle est le français, je l’utilise donc au quotidien, avec mes proches, pendant mes études, dans mes lectures et mes écrits. C’est une langue que je parle sans réfléchir, par habitude. Pourtant je sais qu’elle est complexe est peu facile à apprendre par ceux dont il s’agit d’une langue étrangère.

J’ai par la suite étudié l’anglais dès le collège. Il s’agit d’une langue avec laquelle j’ai beaucoup de mal. Non pas parce qu’elle ne me plaît pas, mais parce que je n’arrive pas à m’approprier ses règles. En effet, dès les premier de mon apprentissage j’avais beaucoup de difficulté, et l’enseignante ne l’a pas tellement aidé, bien au contraire elle m’a plutôt mise de côté lors des cours. J’ai donc finit par baisser les bras et pas me fâcher avec cette langue.

Ensuite lorsque je suis entrée en 4ème, j’ai choisit d’apprendre l’espagnole. Étant d’origine espagnole, il me semblait évident d’apprendre la langue de la famille de ma mère. J’ai une véritable passion pour l’Espagne, sa culture et sa langue. L’apprentissage de celle-ci a donc été relativement facile pour moi de par mon investissement. Je l’utilise encore aujourd’hui avec des amis dont il s’agit de la langue maternelle, mais aussi lorsque je regarde des séries.

Enfin, lorsque je suis arrivée à l’université de Caen pour une licence LLCER espagnol, j’ai appris le portugais. J’ai choisit cette langue comme LV2 de par sa proximité avec l’espagnol, parce que comme cette dernière, je trouvais que le portugais avec une belle sonorité. Je souhaitais donc apprendre ses règles, et surtout ses différences avec la langue que j’affectionne, l’espagnol.

Biographie langagière :

 

Les langues étrangères et moi ? Durant ma petite enfance, je n’ai jamais été en réel contact avec les langues étrangères. En CM1 je rencontre l’anglais, ses bases et sa complexité. Une rencontre très technique qui me vaudra un dégoût éternel pour cette langue. Toutefois, je lui reconnais une importance capitale dans mon quotidien, mes études, et à plus grande échelle, dans les relations mondiales. En 4ème, le choix d’une deuxième langue dans la poursuite de mes études m’emmène dans l’apprentissage de l’espagnol. Je me rends bien compte aujourd’hui à quel point le professeur joue un rôle prédominant dans notre rapport au savoir. J’ai donc adoré l’espagnol, grâce à une professeure exceptionnelle d’une part et, d’autre part, -je ne vais pas m’en cacher- du fait de mes capacités et de mon aisance orale et écrite dans l’utilisation de l’espagnol. Jusqu’en Terminale, ma vie s’articule autour de ces trois langues : le français, l’anglais, et l’espagnol. Après 5 ans de vie commune avec mon petit ami, j’apprends quelques mots d’arabe. Vraiment peu de mots, en vérité. La grand-mère de mon petit ami est algérienne, elle a élevé ses enfants en France et de fait, aucun d’eux ne parle couramment l’arabe. Cependant, on ne renie pas ses origines et cela amuse beaucoup mon conjoint, de glisser quelques mots arabes, aux intonations atypiques, en plein milieu d’une phrase ! Aussi, je peux affirmer aujourd’hui que je sais dire « mon ami / mon frère » en arabe. Mon arrivée à l’université marque une rupture avec l’espagnol, langue adorée, dans laquelle, aujourd’hui, je ne pourrais plus dire une seule phrase sans me tromper. L’anglais, que je pratique encore en cours, mais avec laquelle je n’ai toujours aucune affinité, est pour moi une langue de raison. Utile pour mes études, et mon concours. A mes yeux, ce n’est pas une langue, mais une matière. L’étudier est important, l’enseigner le sera tout autant, mais je ne serais jamais ce genre de personne qui regarde des films en VO et glisse des mots anglais dans ses phrases. En revanche, j’aime le français, langue maternelle, langue du cœur. J’aime le français dans toutes ses dimensions, je le pratique couramment et l’adapte en fonction des situations. J’aime le français de l’école, le français protocolaire, articulé, soigné. J’aime le français de « chez moi », avec des intonations du Nord, des expressions surprenantes qui font que le soir, je ne mets pas mon pyjama mais mon « pilou pilou », j’aime le français de la rue, le « verlan », qui me fait rire parfois, mais que j’emploie aussi dans les moments de colère. J’aime le français dans tout ses états. Le français est vraiment une langue qui me fascine ; dans son écriture, dans sa verbalisation, dans ses rouages, sa syntaxe, sa grammaire, tout ce qui fait d’elle une langue compliquée, et belle.

 

Portrait de langue :

 

Je mets le français dans le cœur et les mains car c’est ma langue natale, celle que j’aime et que je parle couramment : ma langue usuelle.

Je mets l’espagnol dans le cœur, mais une zone plus petite, car c’est une langue que j’aime, même si je ne la parle plus.

Je mets l’anglais dans la tête car c’est une langue de raison pour moi, celle que j’apprends « parce qu’il le faut ».

Je mets l’arabe dans la bouche, car c’est la langue des bêtises, du sourire.

Ma biographie langagière et portrait de langue

Ma langue natale est le français et je m’estime heureuse dans le sens où c’est une langue complexe. J’apprécie ma langue, je le trouve belle et agréable à entendre malgré sa complexité. Ensuite, j’ai commencé à être confrontée à l’anglais vers l’âge de six ans au sein de ma scolarisation. Je n’ai jamais cessé de l’étudier depuis puisque c’était ma LV1 et mon choix de langue pendant ma licence. C’est une langue que j’apprécie particulièrement car elle m’est utile au quotidien. On ne passe pas une journée sans voir ou entendre un mot d’origine anglaise. D’autant plus pour communiquer dans le monde. Ensuite, j’ai commencé l’apprentissage de l’allemand en classe de quatrième. C’était une langue difficile mais j’étais motivée par le fait d’avoir une correspondante et de pouvoir la rencontrer. C’est d’ailleurs elle qui m’a fait aimer cette langue et qui m’a permis de progresser. Je n’ai malheureusement plus contact avec elle à ce jour. Ainsi, il me semble compliqué aujourd’hui de pouvoir entretenir une conversation en allemand à cause de ce manque de pratique. De plus, j’ai quelques notions en espagnol et italien grâce à mes amis ayant appris ces langues. Cependant cela se restreint à quelques mots. Il me semble compliqué d’entreprendre une discussion dans ces deux langues. De même pour le chinois car une amie a choisi cette langue lors de ses études il y a deux années de là. Mais comme pour l’italien et l’espagnol, mes connaissances se résument à quelques mots et dont je ne me souviens à peine.
Je vais finir par aborder ma relation avec le français de l’école. Je ne pense pas être si éloignée de cette langue. Cependant j’ai quelques difficultés avec certaines règles grammaticales ou la conjugaison de temps que l’on utilise peu au quotidien. J’ai connaissance de mes points faibles et j’ai conscience que ce sont des notions à travailler cette année en amont de l’école. C’est d’ailleurs ce qui peut m’effrayer pour le concours.

MON PORTRAIT DE LANGUE :

Mon portrait de langues et ma biographie langagière

portraitLangagier

Ma langue maternelle est l’anglais.  J’ai commencé à apprendre le français à 14 ans.  Tout de suite, j’en suis tombée amoureuse; je ne m’en suis que davantage éprise depuis.  Au travail, j’enseigne l’anglais, mais je rêve de pouvoir enseigner en français.  J’ai de la chance d’avoir plein de collègues qui acceptent de le parler avec moi.  Je suis reconnaissante d’être anglophone, pour des raisons pratiques.  Je comprends donc le besoin d’aider d’autres à l’apprendre, et je trouve mon travail très gratifiant.  En même temps, j’ai besoin de me retrouver régulièrement dans un milieu francophone.  Sinon, je serais déprimée.

J’ai commencé à étudié l’espagnol il y a dix ans.  Cela est plutôt un loisir pour moi, et je suis très timide pour le parler, donc je ne progresse pas beaucoup.  Pourtant, je me suis dit qu’après avoir fini ce diplôme universitaire, je vais m’y mettre avec davantage de sérieux.  Comme je l’ai écrit dans le commentaire ci-dessous, je dois vraiment me pousser à faire des voyages dans des pays hispanophones.

 

Voici mon commentaire pour jamardj, sur sa bibliographie langagière:

Bonjour,
Puis-je demander ce que signifie « llcer? »
Je suis d’accord avec vous que l’espagnol est très agréable. Alors que le français est ma langue préférée (c’est ma deuxième langue; je suis anglophone), j’ai trouvé l’espagnol plus rapide à apprendre grâce à ses similitudes au français, et pour moi personnellement, les sons en espagnol sont plus faciles à prononcer.
Alors que j’ai beaucoup de progrès à faire en espagnol, je m’identifie à votre idée d’un jour essayer de devenir professeur d’espagnol.
Je serais si curieuse de savoir davantage sur la licence que vous avez passée en espagnol, et de savoir davantage sur votre voyage en Argentine! Bravo d’avoir fait ces voyages. Je suis d’accord avec vous que voyager est très important; je suis fière des voyages que j’ai pu faire, mais je dois me motiver pour sortir de ma zone de confort en d’en faire plus.