Intersections culturelles

Je pense être très souvent en situation d’intersections culturelles, et cela notamment dans le cadre familial du fait de la mixité présente par exemple dans le choix de notre compagnon, de nos rencontres dans notre vie personnelle, mais aussi lors de mon bénévolat auprès de migrants pour lesquels j’ai aidé juridiquement mais aussi à travers l’enseignement du français et des échanges et comparaison que l’on peut avoir sur les spécificités françaises de la vie ici et ailleurs. Sans oublier mes voyages, quel que soit le motif, et cela aussi bien pendant les trajets que sur place. Vivre à l’étranger dans certains espaces riches culturellement tel qu’Istanbul permet de rencontrer une multitude de culture. Lors de mon travail à la mairie, je suis souvent amenée aussi à travailler dans plusieurs secteurs avec des personnes très différentes, et à m’adapter à toutes situations. Lors de mes loisirs et notamment artistiques, les intersections culturelles sont omniprésentes. De plus, à travers la musique, la lecture, ces intersections sont omniprésentes. Mes études m’ont amené à parfois étudier différentes conceptions selon les états d’une même notion et à les comparer. Lors de mes stages à l’étranger, que ce soit en droit en Turquie que dans le milieu scolaire en Italie, les intersections culturelles sont importantes.

En tant que PE, nous sommes de manière constante dans un carrefour de diversité de cultures. Les enfants proviennent de milieu différents, avec des origines différentes, des vécus différents. Ils ont tous des apports différents dans la classe qu’ils faut accueillir. C’est ce qui créer la richesse de la classe.

Culture unique / Culture commune?

Quelle différence entre culture unique et culture commune ?

Tout d’abord, le mots « culture » désigne l’ensemble des connaissances générale d’un individu.

La culture individuel comporte une dimension d’élaboration, de construction, elle est évolutive.

La culture collective comprend l’ensemble des manières de vivre, usages, coutumes, valeurs, expressions artistiques, religieuses et intellectuelles qui définissent le fonctionnement d’un ensemble d’individus.

La culture collective d’un groupe est caractérisée par la transmission des éléments culturels, via de nombreux canaux. Elle permet la socialisation des membres de ce groupe, c’est-à-dire que chacun, par interaction avec l’environnement, va intégrer les modèles culturels qui l’entourent. Enfin, ce partage d’une culture commune permet une certaine cohésion.

C’est par l’art et l’histoire que les deux concepts se rejoignent. La culture individuelle inclut la connaissance des arts et des cultures, celle des différentes cultures humaines, mais bien évidemment celle affiliée à la culture collective à laquelle l’individu s’apparente.

Et comment oeuvrer au développement d’une culture commune dans la classe ?

Cette année j’enseigne le théâtre et dans ma classe, nous travaillons beaucoup en groupe. Donc cela génère des échanges d’idées, des réflexions autour d’une oeuvre ou d’un texte étudier. Nous apprenons à s’écouter, à s’observer, à se critiquer. Voir une pièce de théâtre est un temps de culture commune.

Biographie langagière

Ma langue natale est le français. Si je devais situer cette langue sur une partie du corps, je dirais, le cerveau/tête car je pense et je réfléchis en français. Cependant je n’arrive pas lui attribuer une couleur, cela peut être étonnant car c’est la langue avec laquelle je parle tous les jours, contrairement aux autres langues auxquelles j’ai été confronté, et dont j’ai su leur attribuer une couleur.

La deuxième langue avec laquelle j’ai été en contact, c’est l’anglais. En effet, depuis le CP, c’est une langue que je pratique exclusivement à l’école. Je la pratique assez peu en dehors des cours, sauf lorsque je regarde des séries, je préfère la regarder en version originale. Je comprends l’anglais, mais j’ai du mal à m’exprimer avec cette langue. La couleur qui me fait penser à l’anglais, c’est le rouge. Surement parce que c’est l’une des couleurs dominantes du drapeau du Royaume-Uni et celui des États-Unis. Mais aussi parce que durant mes années au collège, et au lycée, mes cahiers d’anglais étaient rouges.

Si je devais situer l’anglais sur une partie du corps, je dirais l’oreille, car j’aime entendre et écouter l’accès anglais, plus particulièrement américain.

Il y a également, l’Espagnol. J’ai commencé à apprendre l’espagnol en 4e. J’ai fait deux voyages scolaires en Espagne. Le deuxième voyage était en seconde, on était dans des familles d’accueil, avec lesquelles on a pu communiquer en Espagnol.  A l’heure actuelle je ne la pratique plus, sauf quand je regarde des séries espagnoles. La couleur qui me fait penser à l’Espagnol est le jaune.  Car lors de mes voyages, j’ai pu observer l’architecture de l’Espagne, et les paysages de l’Espagne notamment en Andalousie, dont la couleur jaune est dominante.  De plus cette couleur me fait également penser au drapeau espagnol.  Concernant la partie du corps, je situerai l’espagnol, au niveau la langue, car c’est langue qui nécessite beaucoup l’usage de langue avec la jota, et rouler les « r ».

L’arabe est une langue à laquelle j’ai été en contact. En effet j’ai fait deux voyages en Tunisie, où j’ai pu entendre, écouter cette langue. De plus, certaines personnes de mon entourage sont tunisiennes, notamment le papa de mon neveu, ainsi que les femmes de mes oncles. Je ne sais pas parler l’arabe, mais je reconnais quelques mots. La couleur qui me fait penser à l’arabe est l’orange, car cela me fait penser à l’architecture des pays arabes, notamment la Tunisie et le Maroc, aux paysages (désert + soleil), aussi aux épices qui est beaucoup utilisés.Je situe l’arabe, tout comme l’anglais, aux oreilles mais pour une autre raison, car c’est une langue que j’ai simplement écoutée, entendue, et dont je ne parle pas.

 

Reflexion après la lecture « De la culture à l’interculturel »

Suite à cette lecture, j’ai trouvé plusieurs points intéressants à soulever.

Premièrement, il est dangereux de comparer une culture étrangère à sa propre culture. On voit comme dérangeant ce qui est trop éloigné de ce qu’est notre culture et on peut également ne pas l’accepter pour cette raison. La décentration par rapport à sa culture maternelle est indispensable pour mieux appréhender des cultures étrangères.

Ensuite, il est important, dans l’enseignement, de prendre en compte les différentes cultures des élèves pour mieux comprendre leur possibles difficultés. Cela permet également de travailler la notion de tolérance en travaillant sur la représentation de l’autre. Il est important de comprendre comment l’autre vit sa culture, ce qui est diffèrent de la culture savante.

Avec tout ça, les étrangers peuvent vraiment comprendre la finalité culturelle mais également l’humour ou les faux-amis culturels.

De la culture à l’interculturel d’après Luc COLLES

A la lecture de l’article « Quelle didactique de l’interculturel dans les nouveaux contextes du FLE/S ? » de Luc Collès, il en ressort que la culture ne doit pas être perçue de manière trop objective car cela sous-entendrait qu’elle serait identifiable, la même pour tout un groupe d’individu non dissociable les uns des autres. L’idée d’identité plurielle me semble intéressante, car elle me paraît plus réaliste : chaque individu est unique, il est plus ou moins au contact de différents milieux sociaux, culturels, linguistiques, ce qui fait que finalement, une personne n’est pas cantonnée à une seule culture mais bien imprégnée par plusieurs. Il ne faudrait pas non plus qu’une culture soit sacralisée, au point de la penser comme supérieure aux autres, ni au contraire, qu’elle puisse être relativisé, au point qu’elle en serait un prétexte qui justifierait tout comportement éthiquement discutable ou intolérable.

De ce fait, l’apprentissage du vivre ensemble par la pédagogie interculturelle permettrait à l’individu d’effectuer une « décentration ». En effet, sa culture qui lui est propre, qui lui appartient, et tout ce qui en résulte est pour lui une évidence, la norme, or il doit prendre conscience que tout ceci n’est qu’une construction qui relève de son environnement et qu’il existe d’autres cultures toutes aussi légitimes que la sienne. Il faut déconstruire cet ethnocentrisme au risque de se heurter plus tard à des discours et des pensées racistes.

Pour cela Luc Collès nous présente différentes méthodes d’approche interculturelle. En lien avec mon mémoire, le concept de stéréotypes m’a particulièrement interpelé. En effet, les stéréotypes naissent de la comparaison négative d’une culture autre à sa propre culture. D’une part, d’après Dufays, ils sont indispensables car nécessaires à la compréhension, mais d’autre part réducteur, généralisant, entrainant un manque de tolérance. Naturellement, comme vu précédemment, la culture propre d’un individu est intégrée, considérée comme la norme, et la culture de l’autre peut créer chez lui une dissonance cognitive, un malaise. Cette situation le pousse à se rapprocher des personnes ayant une culture similaire à la sienne, qui lui ressemble, ce qui le conforte, le rassure et au contraire la différence est stigmatisée, jugée car elle est pour lui inquiétante. Il ne veut pas, ne cherche pas à résoudre la dissonance cognitive, le malaise. Le raciste est donc celui qui subit la dissonance cognitive mais qui la rejette sur l’autre. Cette notion est également intéressante car d’après l’auteur, c’est un « phénomène récurrent dans les situations scolaires multiculturelles ».

L’auteur développe également dans cet extrait l’idée de subtilités linguistiques notamment l’hypothèse lexicologique. Ainsi un même mot, signifiant pourtant a priori la même chose pour deux personnes de culture différentes peut avoir une « charge culturelles partagées » différentes, ce qui peut créer une incompréhension et donc un décalage, parfois même un mal entendu culturel ou un contre-sens. La dimension abstraite et culturelle d’un mot ou d’une expression, bien qu’évidente pour certains car commune à l’ensemble d’une culture, n’étant pas partagée par tous, une personne étrangère à celle-ci ne distinguera pas l’implicite, la signification cachée derrière celui-ci entrainant ainsi « bon nombre de malentendus verbaux ».

Ainsi, afin de pouvoir non plus « seulement vivre ensemble (…) mais faire ensemble » il ne faut pas seulement avoir conscience de nos différences et les accepter, mais il faut créer du commun, des ressemblances, partager des valeurs communes. L’autre ne renonce pas à sa culture pour s’adapter mais il doit faire l’effort de comprendre et d’inclure la culture de l’autre dans son quotidien. On peut alors parler d’hybridité culturelle, l’un ne remplace pas l’autre, il est en plus de l’autre.

Vivre l’altérité en poésie

 

 

 

 

Le loup

 On ne m’aime pas du tout

 Mon poil n’est pas doux doux doux

 On ne m’aime pas du tout

 Je vis au fond de mon trou

 On ne m’aime pas du tout

 On me chasse de partout

 On ne m’aime pas du tout

 On m’appelle méchant loup

 On ne m’aime pas du tout

 Et je hurle comme un fou

 Haou !!! 

 

Je suis enseignante d’une classe de grande section. Nous utilisons plutôt des comptines, des poésies simples ou des albums lus pour transmettre ce genre de message.

Nous avons travaillé cette poésie en classe pour dire qu’il faut accepter et aimer l’autre même s’il est différent mais aussi en phonologie pour le repérage du son « ou ».

La signification de l’acceptation de l’autre avec ses différences est évoquée d’une manière claire.

D’autre part, le fait que le loup, malgré sa puissance, dise qu’on l’appelle méchant loup et qu’on ne m’aime pas du tout montre qu’il est vexé parce qu’on le juge à cause de son poil qui n’est pas doux, qu’il a besoin de l’amour des autres et ne veut pas être seul.

C’est ce que nous apprenons aux enfants de la maternelle comment vivre ensemble et accepter les autres.

Ce qui pourrait être un motif très enrichissant pour créer un échange d’idées et travailler alors le langage et le vocabulaire.

Atelier ethnographique

Le Contexte:

J’ai choisi de présenter cet atelier dans une classe de maternelle à des élèves de grande section. L’école dans laquelle je souhaite travailler est une école de quartier en R.E.P située à Caen Sud) C’est une classe multiculturelle avec des élèves originaires du Maghreb ,Afrique de l’Est/Ouest/ Europe de l’Est et de France. Les élèves qui fréquentent cette classe sont issus de classes populaires et moyennes. D’après l’enseignant c’est une classe très hétérogène du point de vue de leurs représentations du monde , leurs pratiques et donc leurs compétences scolaires ; on le remarque surtout sur les compétences langagières.

Points a travaillés, selon moi :

-L’oral, l’acquisition du langage

-La rencontre des cultures

-L’inclusion des parents dans l’école.

Mise en perspective avec le sujet de recherche : qu’est-ce que des ateliers d’ethnographie apportent dans cette perspective ?

Je pense que les ateliers ethnographiques peuvent permettre de faire travailler la compétence interculturelle de Christian Puren à mes sujets (adolescents anciennement allophones). En effet, dans ma prise d’information j’ai souhaité utiliser l’activité :du  portrait langagier pour permettre aux sujets de pousser leurs réflexions sur leurs culture(s). Pour ensuite les faire discuter (en binôme) sur certains concepts (d’interculturalité et d’intégration) ou encore la déclaration de Fribourg. Je pourrais envisager un atelier d’ethnographie pour les plus fragiles en français ou  les jeunes qui ont moins de capacités d’abstraction. Ce qui peut leur permettre par la suite de reconnaître des composantes de la compétence interculturelle plus facilement .( qu’est-ce qu’être interculturelle?).

Pour le stage : Le contexte multiculturel = > Travail sur le vivre ensemble 

-Appréhender l’autre culturel en évitant que l’accent soit seulement mis sur la différence

-Mettre l’accent sur la relation avec l’autre (et non sur le fait que l’autre est différent)

– Valoriser la dimension multiculturelle des établissements scolaires en mettant l’accent sur le patrimoine commun plus que sur les différences : créer l’échange et le dialogue

Proposition d’un atelier d’ethnographie : quels élèves (ou quel public cible), quelles activités pour quels objectifs ?

Approches : 

  • International
  • La diversité culturelle abordée par ce qui rassemble et ensuite par ce qui est différent (spécificités dans chacune des cultures)
  • La valorisation des cultures dans leur inventivité et leur héritage
  • La décentration pour éviter les jugements a priori, lutte contre l’ethnocentrisme, se familiariser avec des environnements culturels proches et / ou lointains, définir les cultures comme en interaction et en évolution constante 
  • Diversité culturelle comme patrimoine commun de l’humanité

Atelier:

Dans le cadre d’une séquence pluridisciplinaire sur l’eau, je propose une séance sur les mélanges solubles et insolubles comestibles : l’exemple de la préparation du café dans le monde. La séance proposée elle est interdisciplinaire  (S.V.T / Technologie /l’ouverture sur le mode /l’interculturalité)

Objectifs :

-Identifier les différences et les similitudes dans la préparation et la dégustation (Café Turc, Café Ethiopien, café d’aujourd’hui type soluble). 

  • Les aliments nécessaires
  • Les ustensiles nécessaires
  • Les techniques utilisées
  • L’état de l’eau ( forme, température, couleur, odeur)
  • La dégustation = la symbolique culturelle

(Le mieux serait de pouvoir inviter les parents pour qu’ils présentent aux enfants les ustensiles traditionnels, la préparation, expliquer les coutumes)

Atelier :

-Emettre des hypothèses sur la préparation du café

-3 groupes : Réalisation des 3 recettes avec prise de notes (dictée à l’adulte) et photos (identifier les éléments de la recette, identifier les étapes ,Identifier les ustensiles/ décrire l’eau, décrire le mélange)

– Présentation des 3 groupes à la classe / Repérer les différences et les similitudes et les différences dans la préparation.

– Visionner les dégustations du café dans chaque pays du monde travaillés.

(discuter des différences et des similitudes notamment la symbolique du moment).

– Ecoute d’un texte lu sur l’histoire du café (l’évolution international de sa préparation)

– Dégustation pour les parents

Atelier d’ethnographie

Mon atelier d’ethnographie

Contexte : Stage à venir en classe de CE2 à Bourguébus, commune plutôt rurale.

Mes représentations : Je pense qu’il s’agit d’un village tranquille, à peu près équivalent à l’endroit où j’ai grandi. Avant la journée d’observation, je pensais que l’école était petite. J’ai été surprise car il y a quand même 15 classes, pour plus de 350 élèves. Je pense que je vais être surprise aussi concernant la diversité culturelle parmi les élèves, je ne les connais pas encore mais j’ai remarqué beaucoup de prénoms qui avaient l’air d’origine étrangère. Je pense donc que ce sera très riche lors des activités sur le plurilinguisme que je projette de mettre en place.

L’atelier ethnographie :

On pourrait emmener les élèves à la découverte du quartier qui entoure l’école. Ils pourraient photographier ou dessiner les commerces et les lieux significatifs : la mairie, le stade, la poste, les commerces (boulangerie, coiffeur, boucher etc.).

Ensuite, on pourrait comparer nos observations avec le travail d’une classe qui habite un quartier urbain ou même une ville à l’étranger pour voir si le quartier est organisé de la même façon, si les mêmes types de commerces sont présents, et ça permettrait de faire ressortir les ressemblances et les différences entre les deux environnements.

Pour faire du lien avec mon ERVIP, qui porte sur le plurilinguisme, ça aurait été intéressant qu’il y ait par exemple un restaurant italien, un salon de coiffure afro, ou un kébab dans le quartier, mais je ne crois pas qu’il y en ait à Bourguébus… ça aurait permis aux élèves de mettre en évidence la diversité des langues et des cultures qui nous entoure et qu’on peut voir parfois à travers les commerces, dont les noms ou les indications sur les vitrines peuvent être écrits en langue étrangère (anglais, caractères chinois, arabe,…).

L’homme qui te ressemble

L’homme qui te ressemble

 

J’ai frappé à ta porte

j’ai frappé à ton cœur

pour avoir bon lit

pour avoir bon feu…

pourquoi me repousser ?

Ouvre-moi mon frère.

 

Pourquoi me demander

si je suis d’Afrique

si je suis d’Amérique

si je suis d’Asie

si je suis d’Europe ?

Ouvre-moi mon frère.

 

Pourquoi me demander

la longueur de mon nez

l’épaisseur de ma bouche

la couleur de ma peau

et le nom de mes Dieux ?

 

Ouvre-moi mon frère.

Je ne suis pas un noir

je ne suis pas un rouge

je ne suis pas un jaune

je ne suis pas un blanc

mais je ne suis qu’un homme.

Ouvre-moi mon frère.

 

Ouvre-moi ta porte

Ouvre-moi ton cœur

car je suis un homme

l’homme de tous les temps

l’homme de tous les cieux

l’homme qui te ressemble.

 

Petites gouttes de chant pour créer l’homme,

René Philombé, Ed. Semences africaines, 1977, Cameroun.

 

Ce poème a été choisi parmi plusieurs par les élèves, à la suite d’un débat coopératif mené en classe sur la différence et le respect.

 

Plusieurs poèmes sur ce thème ont été proposés aux élèves, ils ont été découvertes, lues, et expliqués en amont . Ce poème est relativement simple à comprendre, il n’a pas nécessité d’explication de vocabulaire particulière.

C’est d’ailleurs sa simplicité de compréhension qui a séduit les élèves. Ils ont tout de suite pu s’identifier, et comprendre le thème principal de ce poème.

 

Ce poème sera le noyau , le fondement d’un travail transdisciplinaire. Ainsi, on pourra travailler en découverte du monde pou sur les continents  ; de même que des travaux en production d’écrit ( écriture d’un poème coopératif – écrit à plusieurs) pourront être menés, de même qu’ un projet d’art visuel ( créer l’Homme qui ressemble à tous et qui ne ressemble à personne !) pourra être crée.