Histoire de la folie au musée des Arcades

Et pour poursuivre la visite : http://psychiatrie.histoire.free.fr/index.htm

Compte rendu de la visite au musée :

 
On ne pensait pas que cet univers se cachait derrière ces murs. Cela nous faisait penser aux camps de concentration en Autriche (par exemple). On n’a pas ressenti l’aspect médicalisé de cet hôpital bien que les méthodes aient changé .

Ce qui nous a choqué est la manière d’interner des personnes sans raison propre, il n’y avait pas d’avis légal. En étant enfermée, la personne devient folle.

La notion de pensionnaire reste vague et à préciser. Le nombre de personnes en lien avec l’hôpital (20 mille) reste impressionnant.

 

Par rapport au thème de l’art : la création artistique leur permet de rester en relation avec le monde extérieur. L ‘artiste est un être exceptionnel parce qu’inspiré, il n’a pas sa place dans la société. C’est un créateur, celui qui fait un monde, et non celui qui copie le monde existant, la réalité.
Groupe 2

 

Le début était intéressant mais à la fin les personnages précis étaient un peu plus rébarbatifs.

Une bonne initiation à la psychiatrie classique, mais on a pas vu l’évolution des traitements. Le mot « fou » a été employé à plusieurs reprises ce qui nous a légèrement dérangé, le mot « malade mental » aurait été plus adapté. Comparé au nombre de mots écrits sur le sol du musée, le choix était vaste.

On a pris connaissance qu’il y avait un musée à l’intérieur de l’hôpital.

Cela nous permet de voir des éléments qu’on ne soupçonnait pas, et de préciser notre opinion souvent moins précise que l’idée qu’on se fait de l’hôpital.

Réactions : Peur fascination.

Intérêt : La nature humaine, réponse à la question anthropologique, qu’est ce que l’homme ?

 

La conscience, le sujet humain (qui suis-je ?), l’inconscient psychique, le désir, autrui. Le rapport à l’autre, la frontière.

Le vivant au sens biologique. L’aspect médical, le corps et l’esprit (aujourd’hui la neurobiologie)

Thème nature et culture, la folie est relative à une civilisation. Le traitement de la folie est toujours social et culturel à intérêt anthropologique, ethnologique, sociologique et même historique.

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