Le bonheur

P1010890Le bonheur

Le souverain bien c’est le bonheur en tant qu’absolu et il y a là, l’idée d’une morale. Le souverain bien est un but que tous les hommes désirent atteindre et qui commande tout les autres désirs. Tout ce que l’homme peut avoir comme aspiration.

Le problème est de définir son contenu et le moyen d’y parvenir.

Le mot bonheur nous rappelle qu’il peut ne pas dépendre de nous mais de la chance, de l’augure ( augure : mauvais présage ).

Dire le mot ‘souverain bien’ rappelle que les philosophes de l’antiquité lient le bonheur à la vertu, à la sagesse pratique.

Il se définit aussi comme béatitude, il se rapproche du contentement (chez Descartes) comme satisfaction d’un désir qui est en notre pouvoir, c’est celui qui ne désire rien de plus que ce qu’il a.

Cette satisfaction qui est d’autant plus forte qu’elle a était conquise.

Le bonheur est identifié au plaisir en tant que plénitude (chez Épicure), c’est à dire un état de satisfaction temporaire du vide ouvert par le désir.

(voir page 412, 414, 417)